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 XII - Encyclopédie de Dragonvale, Livre Douzième

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MessageSujet: XII - Encyclopédie de Dragonvale, Livre Douzième   XII - Encyclopédie de Dragonvale, Livre Douzième I_icon_minitimeSam 16 Nov - 18:44




Les Loups des Mers
L'Archipel




« Piraterie : Scandale, déloyauté, barbarie. Liberté »


L'Archipel pirate a vu le jour il y a des millénaires, lorsque les anciens royaumes d'Ibélène et de Faërie se sont scindés pour former les royaumes d'aujourd'hui, suite au combat de la première Rose Écarlate contre les Dragons qui étouffaient le continent. Au Fou Noir de l'époque, Rhéa de Brémont, venue du groupuscule pirate avec son navire Audacia, on confia les îles au large d'Ansemer, avec la liberté d'en faire son royaume, détaché de toute autre couronne à part la sienne propre. Rhéa fonda l'Archipel, nation libre, chevaucheurs des mers, champions des flots, peuple amoureux d'infini et d'absolu, avec l'océan sous leurs pieds et les étoiles au-dessus d'eux. Cela fut délicat, et compliqué au départ, bien sûr - les loups des mers étaient à l'époque tout autant nourris d'idéal que de vice, et fédérer les pavillons noirs fut le travail de toute une vie auquel Rhéa s'attacha avec la détermination qui était sa qualité première, aidée en cela par la magie attardée dans son arc enchanté Vespéral, et le carquois de ses flèches Auroral. Le travail d'une vie, oui, faite de combats, du son des sabres s'entrechoquant, de l'écume sous l'étrave de son navire, des hurlements à l'abordage, du vent dans ses cheveux et de la lumière du soleil dans ses yeux - Rhéa ne cessa jamais d'arpenter les mers à bord de l'Audacia, navire-amiral de la nation qu'elle avait créée, modèle de piraterie et de loyauté à la couronne qu'on lui avait donnée.

Ainsi naquit l'Archipel, fait de poudre, de sel et de vagues, né de l'âme de Rhéa de Brémont, et nourri de l'exemple de l'Audacia.


« Piraterie : Allégeance consentie, loyauté offerte, librement accordée »


A la mort de Rhéa, expirant paisiblement sur le pont de son navire à un âge avancé, la figure de proue qui la représentait, un arc et un carquois à l'épaule, fut démontée et placée avec le plus grand des honneurs dans la résidence des rois de l'Archipel, pour les générations à venir. Le navire fut mis en retraite et les années l'emportèrent lorsque ses planches cédèrent à la pourriture, ne laissant plus qu'un nom fier et respecté pour les légendes des siècles qui viendraient.

Néanmoins, en l'année 248 après l'unification de l'Empire, le duc Huguenin d'Ansemer perdit la raison. Devenu fou, il ferma ses frontières avant de réduire en esclavage ses sujets. Perdus, désespérés, ils finirent par en appeler à ceux qui ravageaient leurs côtes pour les supplier de leur venir en aide. Le roi de l'époque, Serbert Né-des-Vents, refusa de prime abord, tant les Ansemariens étaient devenus hostiles et peu tolérants vis-à-vis de la piraterie sous le règne d'Huguenin, avant de céder finalement aux prières des ansemariens de sa flotte qui plaidaient pour leur duché natal.

Le secours vint donc de la nation pirate, qui se révolta et entra en guerre contre Ansemer, avant d'abattre le duc fou. Jouant sur la déraison du duc, Serbert prit une décision cruciale : il fit sortir du palais la figure de proue étonnamment bien conservée de l'Audacia, intacte après toutes ces années, et la fit monter sur un navire sortant de l'assemblage, permettant à la légende de renaître. Pendant deux mois, l'Audacia hanta les côtes, les Ansemariens relayant la nouvelle de son retour au duc fou, qui s'affola du retour de ce fantôme du passé, avant de se suicider en se jetant des murailles de son palais lorsque l'Audacia entra dans son port, voiles gonflées et équipage hurlant son nom comme cri de guerre.

Les habitants, pour la seule et unique fois de leur histoire, acclamèrent les pirates - et c'est Clart Saldenow, capitaine du navire, à qui l'on offrit la couronne ducale. Depuis ce jour, Port-Sombre s'appelle Port-Liberté et il y a traditionnellement un quai où les navires pirates peuvent aborder et faire commerce - toutefois, s'ils dépassent l'entrée du quai, ils sont arrêtés.

Au fil des années et alors que les générations passaient, toutefois, les Saldenow perdirent de vue ce qu'ils devaient aux pirates, et s'éloignèrent de leurs origines. Le quai de Port-Liberté resta en place - le commerce avec les loups des mers apportait bien trop de profit pour s'en passer - mais les pirates redevinrent petit à petit les bannis des flots que l'on méprisait. La seule fille d'Huguenin, emmenée par les pirates lorsque Clart accéda au trône, avait entamé une nouvelle vie dans l'Archipel, et le sang des anciens rois d'Ansemer court toujours dans les veines de la lignée Jedidiah, à laquelle l'actuel capitaine de l'Audacia appartient.


« Piraterie : Union du Vent et de l'Océan »


La piraterie aujourd'hui est devenue un symbole qui émeut autant qu'il effraie. La diversité de la flotte placée sous les ordres du Roi Allister Ralj - ou Allistair, personne ne le sait vraiment, les pirates n'étant pas vraiment portés sur l’orthographe - réunit autant de bêtes sauvages et sanguinaires que de noblesse sage et avisée. Ainsi est l'Archipel : bariolé, métissé, fait du pire comme du meilleur de l'humanité, un royaume sans frontières sous la tutelle d'un roi sans couronne, un idéal d'absolu et de liberté sur l'empire infini des flots.

Pour entrer dans la piraterie, il suffit de se présenter au quai de Port-Liberté et de monter à bord du premier navire qui passera - soit le capitaine en accepte la demande, auquel cas bienvenue à bord, matelot - soit il la décline, et il n'y a plus qu'à attendre le navire suivant.

Chaque capitaine a autorité pleine et entière sur son bâtiment - il ne répond devant le roi que des actes impactant le reste de la nation pirate. C'est le souverain qui décide de l'attribution des postes de capitaine lorsqu'un capitaine périt en mer, il n'intervient cependant pas lors des cas de mutinerie - qui sont extrêmement rares sur les navires pirates, la loyauté étant au centre de leur culture. Quelle plus grande liberté, en effet, que de choisir à qui offrir son soutien ?


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MessageSujet: Re: XII - Encyclopédie de Dragonvale, Livre Douzième   XII - Encyclopédie de Dragonvale, Livre Douzième I_icon_minitimeSam 16 Nov - 18:48



Les navires pirates
L'Audacia
Capitaine : Philippe Jedidiah

L'Audacia est un navire bien à part dans la nation pirate, dont le prestige et la renommée éclipsent ceux des autres bâtiments de la flotte. Sorti tout droit des légendes, son histoire bien plus ancienne que tout le reste de l'Archipel inspire le respect et la terreur à chaque apparition de sa figure de proue qui cache son visage dans ses mains, un carquois dépassant de son épaule gauche et un arc couronnant la droite. Son équipage parle souvent d'une étrange sensation d'appartenance qui les envahit lorsqu'ils ont passé suffisamment de temps à bord : comme si le navire était conscient de leur présence et les accueillait à la maison avec plaisir après chaque escale. Les marins de l'Audacia sont d'une fidélité et d'un dévouement sans pareils : servir à bord du navire de la légende, c'est un honneur tout autant qu'une grande responsabilité, car véhiculer de telles valeurs d'honneur et d'humanité est parfois incompatible avec la sanguinaire passion des loups des mers. Alors oui, l'Audacia massacre lorsque c'est nécessaire - mais l'Audacia protège également, l'Audacia répare et compense, de son mieux, les exactions parfois commises.

C'est l'un des seuls navires de la flotte où les femmes sont admises, bien que depuis Rhéa elle-même nulle autre n'en ait été capitaine. Elles ont traditionnellement à bord une place aussi importante que les hommes, quelle que soit leur origine. C'est l'un des principaux atouts de la flotte insulaire et Allister Ralj n'hésite pas à faire appel à eux en cas de besoin.

A chaque fois que l'Audacia est détruit, ou trop ancien pour continuer à naviguer, la figure de proue est montée sur un nouveau bâtiment - et immédiatement, l’équipage rescapé s'y sent chez lui. Cela fait six cent ans que l'Audacia est ainsi préservé - et la nation pirate ne peut que s'en féliciter.

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MessageSujet: Re: XII - Encyclopédie de Dragonvale, Livre Douzième   XII - Encyclopédie de Dragonvale, Livre Douzième I_icon_minitimeSam 16 Nov - 18:48



Les navires pirates
L'Adoracion
Capitaine : Connor Sant'Anna

C'est un navire fin et élégant. Il a la grâce aérienne d'un oiseau des mers taillé pour la course : c'était à l'origine un bâtiment corsaire pris par traîtrise par le capitaine Sant'Anna. Il put se débarrasser de la misérable coque de noix sur laquelle il naviguait jusque-là, et des brutes épaisses composant les trois quarts de son équipage, pour s'approprier avec l'accord du roi sa belle prise de guerre et les esclaves erebiens enchaînés à bord, apparemment capturés par le corsaire sur un navire pirate se livrant au trafic, abordé et coulé peu avant. Il leur a offert un choix : la mort de sa main, ou la vie de pirate à bord de l'Adoracion. Nombreux sont ceux qui ont choisi la vie et servent maintenant de tout leur cœur, décidés à rendre au continent insolent chaque coup de fouet et chaque brimade. L'Adoracion ne bénéficie pas d'une réputation aussi fantastique que l'Audacia, mais il est réputé pour la droiture et l'honnêteté qui règnent à bord, et la courtoisie avec laquelle les femmes capturées sur les riches bâtiments abordés sont traitées avant d'être rendues intactes à leur famille - contre une jolie rançon, évidemment.

Connor Sant'Anna admire le capitaine Jedidiah et souhaite faire de son navire un bâtiment aussi méritant que le sien. Le roi des pirates les envoie régulièrement en mission ensemble, n'ignorant rien de l'entente cordiale qui règne entre les deux navires, sans aucune rivalité mesquine.

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MessageSujet: Re: XII - Encyclopédie de Dragonvale, Livre Douzième   XII - Encyclopédie de Dragonvale, Livre Douzième I_icon_minitimeSam 16 Nov - 18:48



Les navires pirates
L'Orichalque
Capitaine : Allistair Ralj

Forteresse de bois prise aux Ansemariens il y a vingt ans, voilà une source de gloire pour son capitaine actuel. Massif et imposant, l'Orichalque est peut-être lent, mais c'est le bâtiment pirate le mieux armé de toute la flotte libre. Nul navire ne s'aventure à proximité sans un irrépressible frisson d'angoisse. Impitoyables et sanguinaires, les hommes qui composent son rude équipage sont bien connus pour leur férocité au combat. Ils sont globalement jaloux du prestige d'Audacia, qu'ils estiment ne pas mériter leur réputation magnifique. Ils jugent être plus méritants car leur adresse et leur force, leur côté sanguinaire et brutal leur assurent plus de gloire que les brillantes stratégies d'un équipage de femmelettes minaudantes. Le roi des pirates fait appel à son équipage lorsqu'une ville s'est montrée insolente et mérite punition : ils tuent les hommes, violent les femmes, emmènent les enfants, pillent sans distinction et ravagent tout sur leur passage - ils savent néanmoins se montrer cléments et humains le reste du temps, lorsque nul affront n'est à venger.

Ils sont le bras armé d'Allister Ralj, tout comme Audacia est son intellect supérieur. Bien qu'ils ne s'apprécient guère mutuellement, les deux navires sont complémentaires, et leurs capitaines se désolent de la rivalité entre leurs équipages respectifs. Comment leur faire comprendre qu'il y a autant d'honneur à être membre du navire-amiral de la nation libre, que du navire fondateur de la légende ?

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MessageSujet: Re: XII - Encyclopédie de Dragonvale, Livre Douzième   XII - Encyclopédie de Dragonvale, Livre Douzième I_icon_minitimeSam 16 Nov - 18:49



Les navires pirates
La Marie Sanglante
Capitaine : Louis-Pierre de Masonville

Bloody Mary, Bloody Mary... sonne ta cloche et que la mort arrive... La terrifiante légende ansemarienne de Bloody Mary a inspiré le capitaine de la Marie Sanglante qui a nommé son bâtiment d'après la malheureuse éplorée de l'histoire. Corsaire redoutable, Louis-Pierre de Masonville est un homme froid et cynique qui n'aime rien tant que la traque et la chasse. Pervers sous des dehors raffinés, il apprécie immodérément la torture des malheureux qu'il capture. Les voiles de la Marie Sanglante sont rouges, et inspirent une terreur sévère aux habitants des ports où le navire fait escale. Sa réputation est celle d'un bâtiment à craindre pour ses exactions impardonnables, qui sont pourtant effacées par sa renommé faite d'exploits et de réussites. Les quelques navires tombés devant la Marie Sanglante ont rejoint la longue liste des sacrifiés pour la liberté. Allister Ralj se méfie énormément de ce navire exsudant la perversité par toutes ses écoutilles, et les capitaines pirates se tiennent autant que possible à l'écart de ses menées malsaines.

Les conflits de ce navire avec les autres de la flotte sont monnaie courante - l'Audacia et l'Adoracion ont déjà eu affaire à la Marie Sanglante, et ne s'en sont tirés que parce qu'ils étaient ensemble, opposant à l'acharnement du capitaine de Masonville la science tactique du capitaine Jedidiah et le courage sans faille du capitaine Sant'Anna. Prenez garde, paisibles marchands, navires émigrants, si vous croisez les voiles teintées de rouge de la Marie Sanglante - priez, car nul n'est à l'abri de la plus extrême cruauté.

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MessageSujet: Re: XII - Encyclopédie de Dragonvale, Livre Douzième   XII - Encyclopédie de Dragonvale, Livre Douzième I_icon_minitimeSam 16 Nov - 18:51



Les navires pirates
L'Ancre Noire
Capitaine : Erst Voile-au-Vent

Les forbans, les lâches, les renégats. Ils font honte à toute la nation pirate : ce sont les sans scrupule, les sans courage, les profiteurs, les gagne-petit. Ils ne prennent aucun risque. Pour eux, les meilleures proies sont celles qui ne risquent pas de se défendre. Ce qui leur plaît ? Les vantardises sans fin et le prestige du pavillon noir, sans la sueur, le sang ou les larmes. Rejoindre cet équipage, c'est choisir la voie de la piraterie sans gloire ni honneur, mais c'est également un moyen de se faire la main avant d'intégrer un bâtiment plus prestigieux. L'Ancre n'est pas en excellent état : il porte les stigmates d'années passées dans les tempêtes et les embruns sans avoir été particulièrement soigné. Là où l'Audacia étincelle, où l'Adoracion rutile, où l’Orichalque brille, sur l'Ancre la crasse s'accumule. Le navire donne l'apparence d'un pirate plutôt négligé, et son équipage est à son image. Point de femme à bord, la piraterie, c'est une affaire d'hommes !

Allister Ralj ne fait pas souvent appel à son équipage honteux, mais il ne retire pas non plus son commandant au capitaine en poste ; là, au moins, il ne peut pas faire trop de dégâts... Il jalouse férocement Philippe Jedidiah et la renommée flamboyante de l'Audacia qui leur fait de l'ombre, à juste titre.

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MessageSujet: Re: XII - Encyclopédie de Dragonvale, Livre Douzième   XII - Encyclopédie de Dragonvale, Livre Douzième I_icon_minitimeSam 16 Nov - 18:51



Les navires corsaires
Le Sombre Roc
Capitaine : Antonin de Silure

Ruse et adresse. Sur son pont, de grands esprits se rencontrent et font du Sombre Roc un navire redoutable. La stratégie est un de ses points forts, qui compense largement sa voilure réduite et nombre restreint de ses membres d'équipage. Le Sombre Roc, c'est l'intellect brillant de l'armée belliférienne et la main de fer dans le gant de velours. Les marins y sont un peu bohèmes, mais tant que le travail est fait, personne n'y trouve à redire. Quelques soupçons de contrebande et de détournement de prises de guerre pesèrent un temps sur le prestigieux navire, mais faute de preuve, les accusations furent abandonnées. Crime imaginaire ou butin savamment subtilisé ?

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MessageSujet: Re: XII - Encyclopédie de Dragonvale, Livre Douzième   XII - Encyclopédie de Dragonvale, Livre Douzième I_icon_minitimeSam 16 Nov - 19:12



Les navires corsaires
La Dame de Grâce
Capitaine : Pierre Caliban

La ruse et l'habileté sont les maîtres-mots de la Dame de Grâce. Étroite et effilée, la coque du navire le porte en avant à une vitesse capable de rattraper la plupart des navires qu'il pourchasse. Son équipage s'est taillé une solide réputation d'honnêteté : aucune portion des abordages, aucune pièce issue d'un navire capturé, aucun bien précieux arraché aux pirates n'ont jamais été détournés. Pierre Caliban et ses hommes de bien, battant pavillon outreventois, ont voué leur vie à la traque des égorgeurs, des pillards, des violeurs, des assassins et des perturbateurs de la nation pirate. Sans trêve ni repos, ne cherchant ni la gloire ni la renommée, ils ne font qu'accomplir leur devoir avec un dévouement sans pareil. La technique de la Dame de Grâce est assez efficace : n'étant que légèrement armée, elle se glisse derrière sa proie et file la rejoindre à toute allure, ses voiles solides et son mât imposant la portant en avant aussi rapidement que le vent lui-même. Puis, une fois arrivée juste derrière sa cible, elle lâche ses hommes depuis les hauts cordages de ses voilures, et les corsaires pleuvent tels la plus féroce des averses sur le pont de l'ennemi.

Ces hommes sont connus pour la merci qu'ils accordent si les équipages abordés se rendent sans combattre : mais certains pirates tiennent plus à la liberté qu'à la vie et se défendent jusqu'à la mort. Nul ne sait vraiment ce qui motive Pierre Caliban sous ses airs sombres, mais sa droiture et son altruisme font de lui un homme loyal à sa couronne et dévoué au roi d'Outrevent.

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MessageSujet: Re: XII - Encyclopédie de Dragonvale, Livre Douzième   XII - Encyclopédie de Dragonvale, Livre Douzième I_icon_minitimeSam 16 Nov - 19:29



Les navires contrebandiers
Le Faucon des Mers
Capitaine : Citalphe Brusquevire

Le majestueux Faucon. C'est un navire de contrebandiers, dirigé par un ancien pirate : sous des dehors d'honnête navire marchand battant pavillon ansemarien, il s'agit en fait de la plaque tournante des échanges illégaux sur les flots. Il fournit ses riches clients en produits précieux provenant de tout le continent, à des prix défiant toute concurrence. Ses activités de couverture, en dehors du commerce, sont nombreuses : il prétend ainsi transporter de respectables familles d'émigrants, et cache sous leur apparence des rebelles et hors-la-loi sous le nez des autorités. Les femmes sont donc acceptées à bord, bien qu'avec une certaine répugnance : la libéralité du capitaine n'atteint pas la même tolérance que celle du capitaine Jedidiah, sous les ordres duquel sert sa sœur aînée. Leur présence est utile pour valider l'excuse de familles émigrantes - mais elles servent également comme passeuses et s'en tirent honorablement. C'est un navire un peu brut, mal dégrossi, mais robuste et résistant. Il peut affronter une grosse tempête sans trop de risques. Il tient bien la mer, et son gros tonnage lui permet de transporter une importante quantité de marchandises et de biens - ainsi que certains clandestins plus ou moins ignorés. Il entretient des liens d'amitié avec l'Adoracion qui écoule une partie de sa contrebande, avec l'Audacia qui a déjà volé à sa rescousse par deux fois contre la flotte belliférienne - même si c'était plus pour le plaisir de couler des navires ennemis que par réel altruisme. L'ambition ultime du navire, équipage et capitaine réunis ? Réussir à intercepter la flotte aux trésors belliférienne pendant l'un de ses déplacements.

Citalphe rend compte de ses activités à la Cour des Miracles, bien évidemment, et contribue à créer les liens entre les pirates et les voleurs de Lorgol.

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