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 Violaine • Nulle larme ne peut effacer les douleurs

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MessageSujet: Violaine • Nulle larme ne peut effacer les douleurs   Violaine • Nulle larme ne peut effacer les douleurs I_icon_minitimeDim 3 Mar - 4:31


Violaine

de Belle-Ancre





ithika


ithika


ft. Imogen Poots


07 décembre 777

à Espérie

24

de Lagrance

à quelqu'un

baronne de Belle-Ancre, fille de feu le vicomte des Espéries

Oursonne

Sommeil

Mages


Tu es là.
Je ne te vois pas, mais je le sais. Je le sens. Ta présence est pour moi aussi évidente qu'une lueur éclatante dans l'obscurité. Tu as froid, tu as peur. Tu trembles. Tu t'es engagée sur ce chemin forestier sans même savoir ce que tu y trouverais. Il y a en ces bois des bandits, brigands et autres maraudeurs qui se repaîtraient avec plaisir de ta terreur. Tu en es parfaitement consciente et pourtant, tu es venue jusqu'ici. Parce que ce que fuis est pire. Bien pire. Tu as couru sans vraiment te poser de question. Mais très vite, l'épuisement t'a rattrapé. Et tu t'es effondrée là, au pied de ce chêne centenaire qui s'élance jusqu'à la canopée. Tu es à bout de souffle, à bout de forces. La mort viendrait que tu l'accueillerais avec soulagement, pourvu qu'elle se révèle douce et apaisante. Pourvu que tout finisse. Enfin.
Est-ce pour cela que tu n'as pas esquissé le moindre geste à mon approche ? Est-ce cette résignation qui te tient immobile ou seulement une infinie terreur ? Pas une larme pour venir mouiller tes joues pâles - depuis combien d'années n'as-tu plus pleuré, endurant mille souffrance, mille humiliations sans plus réagir ? Tu m'attends, silencieusement, prête accepter ce que tu crois être ton destin. Mais faire face à la mort n'est jamais aisé. Pour ardent que soit ton désir d'en finir, tu ne peux empêcher ton corps de grelotter dans l'air glacé de cette nuit d'octobre, ton coeur de s'affoler devant la fin de ta triste existence.

Ne tremble plus, Violaine. Ce n'est pas la mort que je viens t'apporter, c'est l'espoir. Le renouveau. Dissimulée derrière un buisson feuillu, je t'observe, les yeux brillants. Ma petite humaine. Ma si douce, si fragile humaine. Je saigne de te voir ainsi, aux prises avec ta douleur et tes souvenirs. Finalement je m'avance pour apparaître à tes yeux fatigués et tu retiens ce cri premier qui te venait aux lèvres. Et je lis dans ton regard que tu as compris. Toi aussi, tu sais désormais. Que jamais mes crocs ne seront armes contre toi, que jamais ma stature imposante ne te menacera. Nous serons ensemble, jusqu'à la mort, quoi qu'il arrive. Je ne t'abandonnerai pas.
Et tu pleures. Pour la première fois après tant d'années de silence, tu pleures, venant baigner ma fourrure de tes larmes. Pleure, Violaine, pleure tant qu'il le faudra. Demain sera un jour nouveau. Le début d'une nouvelle vie.

Il t'a détruit.
Il a brisé ton enfance, maculé ton innocence, souillé tes rêves et tes espoirs. Il a fait de toi une ombre, une silhouette à peine aperçue, un nom jamais prononcé. Il s'est emparé de l'enfant qui délaissait seulement ses poupées et à son tour, il a joué. Avec ton âme. Avec ton corps. Jeu sans merci de celui qui sait être dans son droit.
Il t'a détruit.

Pourtant, tu aurais pu être heureuse.
Ton sourire, toujours si doux et éclatant, témoignait si joliment de ta joie de vivre. Un rien te passionnait, un détail pouvait attirer ton attention et la retenir des heures durant sans que tu t'en lasses. Tu étais curieuse de tout et de tous et, avec ce regard si pur, si limpide, tu interrogeais les gens autour de toi, les attendrissant par la seule beauté de ton innocence.
Oh tu n'étais certainement pas la plus parfaite des enfants. Comme tous, tu avais tes moments de colères, tes caprices et tes refus. Petite fille unique, enfant chérie, tu étais trop habituée à ce que tous se plient à tes désirs. Mais nul n'encourageait ce penchant et, avec le temps, tu avais finalement compris que tout ne pouvait advenir sur la seule expression de ta volonté. Tu avais vu, descendant avec ta mère faire la charité aux pauvres hères d'Espéries, que tu étais privilégiée au regard de tous ces enfants grelottants et affamés.

Oui Violaine, tu aurais pu être heureuse, traçant ta route avec philosophie et douceur, déjà si mature pour ton jeune âge. Mais les Puissances ne s’embarrassent pas de considérations humaines. Dardant leur attention sur toi, elles ont sonné le glas de ton avenir, te poussant vers celui qui deviendrait ton bourreau, ton geôlier. Ton époux. Jamais tes parents n'auraient accepté que soit noué le lien de soie autour de vos poignets. Mais au jour de tes noces, ils n'étaient pas là pour s'y opposer. Partis à Lorgol pour assister à une importante cérémonie officielle, ils n'en revinrent jamais. Seule leur voiture fut retrouvée sur le bas-côté du chemin. Envolées leurs richesses, disparus leurs effets. Et de leur destinée funeste, personne ne voulu jamais rien te dire. Mais tu n'as nulle peine à imaginer quels sévices et violences ils purent subir dans leurs derniers instants.
Tu t'effondras. Sitôt que la nouvelle te parvint. Des larmes à n'en plus finir, tu demeurais prostrée dans ta chambre, incapable d'un geste, d'un mot. Trop jeune pour envisager leur mort, pour la comprendre dans tout ce qu'elle signifiait. Toi qui avais tant de jours à venir, tu ne pouvais comprendre, ne pouvais admettre qu'ils ne reviennent jamais. Tu restas là longuement, tandis que d'autres statuaient sur ton sort. Tes treize printemps ne te permettaient pas de prendre possession du domaine de ton père dès à présent. Aurais-tu été un garçon, peut-être serais-tu entrée en possession de tes droits, conseillée de près afin d'être apte à diriger quelques années plus tard. Mais tu n'étais qu'une fille. Une adolescente, presque encore une enfant. Ton tuteur s'arrogea la responsabilité de tes terres, prétendant bien sur te les remettre à ta lointaine majorité. Mais une demoiselle est aisée à évincer. Un accord et quelques mois plus tard, tu étais fiancée. Les Espéries furent divisées entre ton tuteur et ton futur époux.
Un homme bien sombre que ce Gilles de Belle-Ancre. La trentaine presque venue, déjà veuf d'une épouse morte en couches, propriétaire d'une petite baronnie sur la côte, il n'était guère affable. Le jour de vos épousailles, qui fut aussi celui de votre première rencontre, te laissa un goût amer. Tu n'avais pourtant rien à lui reprocher. Sa froideur n'empêchait pas une parfaite courtoisie et ses manières n'avaient rien à envier aux plus hautes noblesses. Mais il t'effraya. Quelque chose dans son regard, dans sa gentillesse à l'égard de l'orpheline que tu étais, t'angoissais. Tu sentais le fiel dans ses mots, le mensonge dans son serment de te chérir et de te protéger. Mais ce désagréable ressenti n'était pas assez conséquent pour annuler votre mariage. Tu n'as rien osé dire tandis qu'était noué le ruban. Si tu avais su...

L'arrangement passé avec ton tuteur engageait ta vertu jusqu'à tes seize ans. Tu étais bien trop jeune pour être déjà initiée à la chair. Il n'en eu cure. Votre nuit de noce ne fut que le macabre prélude ce qui deviendrait ta vie d'épouse. Par deux fois, tu tenta de t'enfuir, d'avertir alentour ce qui se passait. Tu fus ramenée sans ménagements et, dans les yeux de ton tuteur qui prétendait n'en rien croire, tu lus bien assez tôt qu'il n'ignorait rien des sévices qui t'étaient infligés. Il n'interviendrait seulement pas à l'encontre d'un homme avec qui il avait scellé pacte si douteux. Il n'y avait guère que les servantes de la demeure pour t'accorder quelque compassion, quelque soutien. Dans le dos de ton époux, elles t'apportaient des crèmes calmantes à base de fleurs pour soulager les bleus nombreux qui constellaient ta peau de nacre.
Il fallut un an pour que ton corps achève de se transformer et à l'aube de tes quinze ans, tu portais déjà un enfant. Mais ton corps n'était pas prêt, pas assez robuste pour mener à terme une grossesse. Tu perdis le nourrisson dans ton quatrième mois et aucun de ceux que tu aurais pu par la suite enfanter ne survécut jusqu'à la naissance. Sorcière inféconde. Monstre. Les insultes furent nombreuses, les violences également. Mais jamais ton époux ne songea que ses coups répétés pouvaient être en cause.

Tu fuguas, encore. N'importe quel refuge, n'importe quel sort serait préférable au rien. La fougue rebelle de tes dix-sept ans ne supportait pas ce maître cruel. Mais tu fus rattrapée et les maux qui s'ensuivirent te firent abandonner toute velléité de départ. Tout espoir. Tu te résignas. Tu t'effaças, lentement. Les larmes se tarirent. Les mots moururent. Ombre silencieuse et diaphane, tu arpentais les couloirs du manoir sans plus te faire remarquer. En quelques bien rares occasions, ton époux te présentait à quelque ami, tel un objet fragile et superbe pour allumer l'envie dans les prunelles des autres hommes. Plus charmant et affable que jamais, il imputait ta dépression évidente à ton désir insatisfait de maternité, se montrait attentif et serviable. Trompeuse apparence, monstrueuse farce qu'il jouait à la face du monde pour que nul ne devine quels sévices il te faisait subir.

Les années passèrent. L'adolescente revêche devient une femme superbe, au teint de porcelaine, aux yeux d'orage, aux cheveux d'or. Au corps abîmé par les cicatrices. Un bibelot d'apparat. Jusqu'au printemps 802. Le frémissement de la magie parvint jusqu'à toi, commença à courir dans tes veines, à pulser au rythme de ton coeur. Personne ne comprenait ces endormissements soudains qui se multipliaient. Nombreux furent les domestiques renvoyés pour avoir été surpris à dormir pendant leur service. Et instinctivement, tu le savais, toi, que tu en étais la cause. Tu n'avais ni explication ni compréhension de ce phénomène. Mais tu le savais. Sans rien contrôler.
Quand il vint dans ta chambre, au début du mois d'octobre, avec sur les lèvres ce sourire carnassier qui te terrifiait chaque fois davantage... Son haleine était chargée des alcools dont il s'était enivré et tu savais, ô tu le savais si bien qu'il serait plus violent encore que quand il était sobre. Pourquoi as-tu cherché à lui échapper ? Pourquoi ne t'es-tu pas résignée à cette froide immobilité dont tu étais devenue coutumière chaque fois qu'il s'affairait sur ton corps ? Tu avais peur. Peur de lui, de cette lueur de folie dans ses yeux. Tu as voulu le repousser. Et il s'est endormi. Si brusquement, si profondément que tu l'as cru mort tout d'abord. Avant de comprendre.
Une domestique, attirée par le bruit sourd de la tête heurtant le plancher, t'as confirmé qu'il était en vie, a deviné que tu en étais à l'origine. Puis t'as engagée à fuir. Perdu dans ce sommeil profond dans lequel tu venais de le plonger, il ne se réveillerait pas de sitôt. Et puisque chacun savait qu'il te rejoignait ce soir, imbibé par la boisson, nul ne s'étonnerait de ne pas te voir pendant quelques jours. Le temps que les ecchymoses les plus visibles s'estompent. L'occasion idéale pour toi.

Tu es partie. Dans la nuit, le froid, en dépit de ta peur. Avec l'espoir de n'être jamais retrouvée.


J'aurais bien du mal à décrire ton caractère Violaine, le sais-tu ?Comment te décrire quand tu es si ambivalente, si différente de celle que tu aurais du devenir. Cette femme triste, craintive et effacée, ce n'est pas toi. Sans doute n'aurais-tu pas été de ces personne flamboyantes, qui laissent au coeur de ceux qu'elles côtoient, un souvenir impérissable. Sans être éblouissante, tu aurais été lumineuse. Par ce sourire si beau qui ne vient plus orner tes lèvres, par ta douceur et ta gentillesse. Tu aurais été vive et plaisante parmi les tiens, pleine de verve, d'humour et de délicate intelligence. Et sous les regards étrangers, tu te serais tue, baissant les yeux avec une déférence charmante. Jamais tu n'as su t'adresser aux inconnus, toi l'enfant qui te cachait derrière ta mère quand s'en venaient des invités. Tu aurais été parfaite, femme soumise en apparence sans jamais concéder de pouvoir à ton époux. Mère exemplaire et aimante. Amie fidèle à l'attachement indéfectible. Philosophe avisée et lettrée.

Je te sens surprise d'entendre ma pensée. Je n'ai nul besoin que tu me parles pour savoir Violaine, tu le sais. Je ressens chacun de tes souvenirs, le moindre de tes rêves. Je les partage. Aussi je sais que tu aurais pu être cette femme.

Mais le Destin en a décidé autrement. Les années ont éteint la lumière, ne laissant en ton âme si pure que ténèbres et désolation. La pâleur a remplacé sur tes joues le rose de la vie. Et tu as disparu. Pour échapper aux regards, aux colères, tu es devenue ombre, impalpable et immatérielle. Invisible. Les traits d'esprit qui auraient mis ton esprit brillant à l'honneur ne sont plus à l'ordre du jour. Silence et Discrétion. Tout pourvu que personne ne te voit, que nul ne s'intéresse à toi et ne te questionne. Il y a fort longtemps que plus un mot n'a franchi tes lèvres. Il n'est nulle plainte, nul regret que tu puisses te permettre d'exprimer. Nulle amitié à entretenir d'une agréable conversation. Alors oui, tu restes coite. Ton âme pleure, ton coeur saigne. Tout ton être hurle, au nom de cette douleur qui te consume à petit feu. Sans que le moindre mot n'échappe de tes lèvres closes, sans qu'aucune larmes ne coule.

Mais il n'est de jours sombres qui ne voient revenir le soleil. Nulle nuit qui ne soit succédée par l'aube. Nuls maux qui ne puissent guérir. Et toi, petite fleur fragile aux pétales arrachés, tu pourras te redresser, j'en suis certaine. Car il subsiste, tout au fond de toi, une étincelle infime. Une braise pas encore éteinte, prête à redevenir flamme pour qui saura l'attiser en douceur. Si légère, si délicate qu'un souffle trop puissant suffirait à l'achever. Et qui ne veut pas mourir. Un espoir.



Fragile

Délicate

Impressionnable
Craintive
Fidèle
Sensible

...




Cyselle de Lagrance

Diane Kruger

Sérénités


Tu l'aimes, n'est-ce pas, ta princesse ? Tu ne l'as pourtant jamais côtoyée, trop jeune pour les jeux de cour quand ta vie bascula. Mais ta loyauté est demeurée indéfectible. A tes yeux, il importe peu qu'elle ait épousé l'ancien empereur ou qu'elle soit enceinte de lui. Tu ne sais que trop bien que les mariages sont rarement affaire de coeur. Ton coeur se serre quand tous la vilipendent. Jamais tu ne renieras ta souveraine, quels que puissent être ses agissements.



Solange de Brenwyr

Tabrett Bethell

Mages
-- Vous pouvez écrire "groupe-couleur" pour que le nom du groupe se colore automatiquement ou "groupe" pour une couleur normale.

Tu ne connais que peu Solange, cette cousine des froides terres galliennes. Quelques rencontres, quelques voyages de vos mères en mal d'une soeur, vous ont permis de passer un peu de temps ensemble au temps de votre enfance et, en enfants vives et insouciantes, vous courriez alentour, ponctuant l'air de vos rires.
Mais ta mère est morte et avec elle, ton innocence. Quand Solange fut appelée à vivre à Lagrance, tu ne pus l'accueillir comme tu l'aurais voulu, déjà captive de ton sombre époux. Sans doute n'a-t-elle pas compris ta froideur d'alors, ta distance quand elle avait si cruellement besoin d'une amie au milieu des champs de fleurs. Alors tu n'oses te tourner vers elle aujourd'hui. Tu as bien trop peur qu'elle te rejette à son tour. Pourtant, elle est la seule famille qu'il te reste...


...


Je suis une étudiante bien décidée à enterre définitivement toute vie sociale.

Je l'aime ♥



Dernière édition par Violaine de Belle-Ancre le Lun 4 Mar - 12:19, édité 11 fois
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MessageSujet: Re: Violaine • Nulle larme ne peut effacer les douleurs   Violaine • Nulle larme ne peut effacer les douleurs I_icon_minitimeDim 3 Mar - 4:45

Qui c'est ? Rebienvenue en tout cas ! Ballon
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MessageSujet: Re: Violaine • Nulle larme ne peut effacer les douleurs   Violaine • Nulle larme ne peut effacer les douleurs I_icon_minitimeDim 3 Mar - 5:08

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MessageSujet: Re: Violaine • Nulle larme ne peut effacer les douleurs   Violaine • Nulle larme ne peut effacer les douleurs I_icon_minitimeDim 3 Mar - 5:55

Bienvenue ! =)
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MessageSujet: Re: Violaine • Nulle larme ne peut effacer les douleurs   Violaine • Nulle larme ne peut effacer les douleurs I_icon_minitimeDim 3 Mar - 7:37

Merci :love:
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MessageSujet: Re: Violaine • Nulle larme ne peut effacer les douleurs   Violaine • Nulle larme ne peut effacer les douleurs I_icon_minitimeDim 3 Mar - 7:54

re-bienvenuuuuuuuuuuuuuuuue :vv:
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MessageSujet: Re: Violaine • Nulle larme ne peut effacer les douleurs   Violaine • Nulle larme ne peut effacer les douleurs I_icon_minitimeDim 3 Mar - 8:05

Princesse Cyselle :roooh:

*s'incline*
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MessageSujet: Re: Violaine • Nulle larme ne peut effacer les douleurs   Violaine • Nulle larme ne peut effacer les douleurs I_icon_minitimeDim 3 Mar - 8:17

Welcome back ^^
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MessageSujet: Re: Violaine • Nulle larme ne peut effacer les douleurs   Violaine • Nulle larme ne peut effacer les douleurs I_icon_minitimeDim 3 Mar - 12:08

Elle a craquééééééé :red: ♥️
(Castiel aime les Lagrans, donc ça va KEU)
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MessageSujet: Re: Violaine • Nulle larme ne peut effacer les douleurs   Violaine • Nulle larme ne peut effacer les douleurs I_icon_minitimeDim 3 Mar - 14:16

Rebienvenue ♥
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MessageSujet: Re: Violaine • Nulle larme ne peut effacer les douleurs   Violaine • Nulle larme ne peut effacer les douleurs I_icon_minitimeLun 4 Mar - 12:33

Choupinette d'amour :puppy: Tu es validée ♥️
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MessageSujet: Re: Violaine • Nulle larme ne peut effacer les douleurs   Violaine • Nulle larme ne peut effacer les douleurs I_icon_minitimeLun 4 Mar - 12:35

Merci bien :puppy:
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MessageSujet: Re: Violaine • Nulle larme ne peut effacer les douleurs   Violaine • Nulle larme ne peut effacer les douleurs I_icon_minitime

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