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 IX - Encyclopédie de Dragonvale, Livre Neuvième

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MessageSujet: IX - Encyclopédie de Dragonvale, Livre Neuvième   IX - Encyclopédie de Dragonvale, Livre Neuvième I_icon_minitimeSam 9 Nov - 17:23



Voleurs et Gitans
La Cour des Miracles

« Le secret est dans l'ombre de nos pas. »



INTRODUCTION AUX SECRETS

La Cour des Miracles, un lieu bien étrange, emplie de mystères et de secrets, attisant la curiosité de chacun des habitants d'Arven sans parvenir à jamais les rassasier. Fondée en l'an 218 par celui nommé le premier Fils des Ombres, son histoire se fonde sur une légende urbaine dont la véracité n'est pas prouvée hélas, des voleurs démontant pierre par pierre une des tours de la capitale d'Arven, se l'appropriant de la sorte et la remontant dans un lieu secret appelé par la suite la Cour des Miracles, tenant fort bien son nom. C'est la place par excellence rassemblant les voleurs, les gitans, fils et filles de bohème et enfants des routes dévoués à une seule cause, à une seule personne. Grande famille fourmillante au cœur de Lorgol, elle trouve sa place dans toutes les grandes villes de chacun des royaumes, sur les routes d'Arven, les déserts et montagne d'Erebor, les champs de Cibella, les falaises d'Outrevent, les plages d'Ansemer ou encore les forêts de Sombreciel, les plaines glacée de Nightingale, les jardins de Lagrance et les plateaux de Bellifère.

Ce qu'on nomme plus communément la Cour des Miracles, c'est la place cachée au fin fond des rues de Lorgol, basé au pied de l'immense Tour des Voleurs, inconnue et secrète aux yeux de la population de la ville, piégée par son statut des Milles Tours. Ainsi, seul ceux qui connaissent déjà le chemin savent se rendre à la Cour. Mais la seule connaissance ne suffit pas, il est nécessaire d'être un ami, un fidèle, pour pouvoir prétendre à une entrée.

De nos jours, la Cour des Miracles est toujours un lieu très recherché puisque avec la chute de l'empire, c'est elle qui a pris possession de la capitale Lorgol. Les voleurs dominent la cité, contesté ou non, et l'entrée de la place est toujours aussi farouchement gardée. L'actuel Fils des Ombres règne en maitre, et fait dernièrement connaître ses exploits et ceux de ses hommes au travers d'Arven par le vol de l'héritière nouvelle née de Nightingale, Sigal, et du Cristal renfermant la mère de celle-ci, la reine Svanhilde Nightingale, en plein cœur du palais d'Euphoria. On ne sait pas ce qu'il en est aujourd'hui, mais les rumeurs prétendent que les Rois Castiel de Sombreflamme et Sigvald Nightingale sont venus demander audience pour récupérer ces précieux biens.




HIÉRARCHIE ET APPRENTISSAGE


Le Fils des Ombres
« Notre Roi, notre Seigneur, il va masqué, porté par les ombres et les rumeurs. Secret et inconnu, il est le Souverain sans Couronne, le Roi des Miracles, le Chef des Voleurs. »

C'est le nom que lui donne plus communément l'entièreté d'Arven, mais il est surtout le Roi des Voleurs et le chef incontesté de cette Guilde et de la Cour des Miracles. Il régit deux grands groupes qui lui doivent obédience : les voleurs et les gitans. Son rôle est des plus important et des plus complet puisqu'à l'instar d'un Roi, il gouverne ses sujets et doit leur promettre la félicité de leur action par-delà Arven. Criminel le plus connu au travers des royaumes, il est à la fois craint et admiré, connu et secret. Son identité véritable n'est révélée à personne, même pas à ses fidèles, et il va obligatoirement masqué. On le voit très rarement, même dans la Guilde. Ses ordres sont secrets, et il ordonne à ses plus proches alliés de dispenser ses directives pour lui.
Il est néanmoins le chef suprême sans qui aucune décision n'est prise, il dirige le conseil et sa présence est nécessairement requise. Il est aussi présent lors des jugements à crime grave commit envers la Guilde, présidant l'assemblé et restituant le verdict final.

L'actuel Fils des Ombres est Hiémain de Sylvamir. Son identité est bien entendu toujours cachée.


Les membres du Conseil
« Ils sont nos ainés, les doyens de la Guilde. Aux nombres de 12 ils  nous guident. Puissent leurs paroles être aussi sages que celles du Roi. »

Après le Fils des Ombres, ce sont les Maitres Voleurs les plus respectés de la Guilde, puisqu'ils appartiennent au Conseil. Habitant de Lorgol ou d'ailleurs, ils sont très souvent sollicité, leurs visages n'étant pour les voleurs pas cachés. Au nombre de 12, ils sont nommés à vie par le Fils des Ombres lui-même, qui peut les révoquer quand il le souhaite cependant. Leur rôle n’est cependant pas une obligation et si ils le souhaitent, ils peuvent rendre leur siège quand bon leur semble. Hommes ou femmes de confiances, ils ont maintes fois montrés leur fidélité et leur loyauté à la Guilde et sont souvent dépositaire de grands faits personnels.
Le Conseil ne peut pas se réunir sans le Roi. Les décisions qui sont prises sont d'ordres importants, voire capitaux, et nécessitent le plus grand des secrets. On peut comparer ces 12 voleurs aux Ministres d'un royaume, puisqu’ils administrent chacun une part de la Guilde.


Les Maitres Voleurs et les simples voleurs
« Leur renommée n’est plus à faire, leur habilité n’est plus à prouver. Jeunesse et grandeur se mêlent dans leurs actions. »

Vieux ou jeune, le grade de Maître est conféré à tous les voleurs qui ont su s’élever dans la Guilde, se faisant remarquer par le conseil, le Fils des Ombres ou par des actions non dénuées de charme et d’habilitée. Après de nombreuses épreuves, ils obtiennent ce titre et avec celui-ci le droit de prendre un apprenti et de jouir d’un respect tout particulier : devenir membre du conseil ou chef de cellule dans les villes qui présentent un QG de voleur. Ils sont assez nombreux, et malgré la jeunesse de certains, la majorité ne devient Maître qu’après beaucoup d’années d’exercice au sein de la Guilde.
Les simples voleurs sont bien évidemment les plus nombreux au sein de la Cour des Miracles, mais il ne faut pas croire que ce bas d’échelle signifie la honte à celui qui porte ce titre. Car rentrer dans la Guilde des voleurs est en soi une épreuve très difficile qui nécessite un apprentissage rigoureux et une fidélité à toute épreuve. Mais une fois le serment prononcé, le voleur est considéré à part entière comme membre de cette grande famille, à la différence de l’apprenti qui n’est encore que profane dans cet univers.


Le Novice et l’apprentissage des voleurs
« Toi qui souhaite entrer dans notre Guilde, tu n’es qu’un enfant. Il te faut tout apprendre, il te faut faire preuve de respect, et démontrer en ton cœur la fidélité. Tu es jeune, mais tu apprendras, ne nous déçois pas. »

Rentrer dans la Guilde des Voleurs est sans doute une des choses les plus compliquées en Arven. Etant la plus secrète de toutes les Guildes, elle ne permet pas à n’importe qui d’entrer en son sein. La hantise étant la traitrise, il est nécessaire qu’un lien de confiance soit préalablement établit pour pouvoir prétendre à une première entrée. Mais tout ceci n’est pas aussi simple. Il est nécessaire au novice d’avoir le soutien d’au moins trois voleurs, dont un membre du conseil ou le Fils des Ombres lui-même. Si ce critère est rempli, l’apprenti doit nécessairement être pris en charge par un Maître dans les trois voleurs qui ont validée son entrée. Un Novice n’est pas forcément bien vu au sein de la Cour des Miracles, puisqu’à ce stade là il n’est nullement considéré comme membre de la Guilde. Si il échoue ses épreuves, aucune chance ne sera redonnée (sauf cas exceptionnel). Pas spécialement dénigré, il n’est cependant pas mit en confiance par les autres voleurs qui entretiendront une méfiance constante jusqu’au résultat final.
Concernant l’épreuve pour entrer à part entière dans la Guilde, celle-ci est donnée par un membre du conseil ou le Fils des Ombres (forcément celui qui a validée l’entrée première). Après évaluation par ses trois Maîtres, si celle-ci est acceptée le Novice devient enfin voleur, ceci seulement après avoir prononcé son serment de fidélité devant le Roi et les membres du conseil. Il est à noter que trahir son serment revient au pire des crimes au sein de la Guilde. Le Novice est cependant autorisé à se retirer, même au tout dernier moment. Tant qu’il n’a pas prononcé les mots sacrés, rien ne le lie définitivement au Fils des Ombres et son autorité.




RÈGLES DE VIE ET FONCTIONNEMENT

La Cour des Miracles est bien plus que le nom d’un lieu, bien plus qu’une Guilde, c’est une immense famille où règne une vie grouillante et florissante. Mais cette harmonie est gérée par des règles. Celles-ci ne sont pas forcément nombreuses, mais les respecter est la base de la vie à la Cour. Y déroger, c’est s’attirer les foudres du conseil, et peut être même les Fils des Ombres.

Au cœur même du serment prononcé par tous les voleurs sans exception, trois mots sont l’essence même de Guilde. Trois mots d’une importance capitale : Honneur, Loyauté, Fidélité. Le respect de ces trois valeurs est essentiel. L’Honneur, les voleurs ne sont pas des barbares, des fils de chiens prêt à dénigrer leur propre Guilde pour leur profit personnel. La Loyauté, envers la Cour, les Voleurs et surtout le Fils des Ombres. La Fidélité, jamais Ô grand jamais un voleur ne devra trahir les siens et prononcer des mots contre la Guilde. Ces trois Valeurs sont celles qui dictent chaque jour les actes des membres, présentes dans leur vie comme dans leurs actions. Le risque est grand quand l’une de ces trois essences est oubliée. Du simple voleur au Fils des Ombres lui-même, chacun est tenu de les suivre et les respecter, car c’est le nom des voleurs qui est en jeu, celui de la Guilde toute entière, et de son honneur. "Et jamais tu ne traineras le nom des voleurs dans la boue."
La Cour des Miracles constitue en elle-même un monde à part, suivant ses propres règles, ses propres lois et donnant allégeance à un seul Roi. Tous crimes commis en son sein sont remis à la justice du Fils des Ombres et à sa clémence. C’est à lui que revient le droit de vie et de mort, de punition et de pardon, de bannissement et d’avertissement. Il est seul à décider du sort entre ses mains, et juge lui-même des crimes. Certains de ceux-ci annoncent une condamnation presque immédiate sans enquête préalable, telle que la trahison, qui est la pire des injures pouvant être commises, ou le meurtre de l’un des siens, sciemment ou non. Il n’est cependant pas impossible que pour ces crimes, le Roi des Voleurs choisisse de faire grâce au condamné. Mais si la vie ne lui est pas ôtée, c’est son honneur d’homme et de voleur qui lui est retiré, banni de la Guilde à jamais.

L’essence de la Cour des Miracles se définit par sa grandeur et par sa diversité. Si la Guilde rassemble les fidèles voleurs de tous horizons – nobles et pauvres, paysans comme intendants – elle provoque en son sein la rencontre avec les gitans de tous pays, eux même rassemblés dans trois groupes distincts, différents, mais liés par leur fidélité commune et incontestée au Fils des Ombres. Il est la voute, le pilier qui uni ces hommes et femmes à même la Cour des Miracles. Gitans des sables, enfants du désert et de la sécheresse, ils vivent entre les dunes d’Erebor jusqu’aux frontières, voyageant en nomade et embellissant la nuit par leurs danses profondes qui résonnent au-delà des âges. Gitans des glace, froid et solide, uni dans l’effort et leur précaire richesses, ils veillent, des glaciers aux plaines enneigées, toujours prêt à répondre à l’appel de leurs frères éloignés. Gitans des routes ou du monde, présent ici et ailleurs, nomades et voyageurs, invisible et présent, ils chantent leurs exploits, apportent les douceurs de leur communauté à tout peuple d’Arven qui souhaitent y gouter.

Retournons un instant sur les pavés de la Cour. Si celle-ci semble bien cachée, le hasard n’est pas coupable dans ce prodigieux bouclier, c’est bien la magie qui œuvre à la protection de ce lieu sacré. Seuls les fidèles aux Fils des Ombres, ceux qui ont prêté serment peuvent aller et venir dans la Cour à leur volonté, sans passer par un guide, ou un autre fidèle alliés. Néanmoins, certains invités peuvent détenir le passe-droit octroyés à quelques privilégiés, la seule contrepartie : toujours être accompagné par un voleur ou un gitan, auquel cas, l’accès lui serait refusé. Aucun ennemi, aucun profane, aucune âme infidèle n’est capable de trouver les chemins de la Tour cachée.




AU CŒUR DES SECRETS DE LA COUR DES MIRACLES
LEGENDES

Son nom n’est pas trouvé à la légère et celui-ci laisse place à de nombreuses histoires magiques ou poétiques, ancrées dans les chants des gitans et les archives des voleurs. Que serait le passé de cette communauté sans son lot de secrets associé. Car qui dit Miracles dit forcément légendes. Quelques une d’entre elles, qui valent la peine d’être contées :

L'immortalité du Fils des Ombres
Si il est bien une personne pétrie de secret au sein de cette Cour, c’est sans conteste le Roi. A jamais masqué, l’identité oubliée, personne ne peut savoir qui il est, et ce des siècles, les rumeurs le disent immortel. Et ce n’est pas faux de le considérer comme tel, puisque le secret de son couronnement réside dans les ombres. Dès l’avènement du premier Roi des Voleurs, il instaura une règle qui perdura toutes ces années durant : Si l’heure de sa mort devait sonner, il voulait lui-même choisir son successeur, non par les droits du sang mais par celui de la valeur. Ainsi fut donné à chaque fils et filles de la Guilde un matricule, un chiffre secret connu du Roi lui-même, et qui devait, à l’heure de sa mort, lui permettre de désigner dans le secret la personne qui serait le suivant pour porter la couronne invisible du Fils des Ombres. Authentifié par le conseil, chacun y laissant sa marque, et placé dans la salle des secret dans une boite scellée, le numéro du futur régnant y est déposé, et à la mort du souverain, chaque voleur traversera la pièce, un à un, pour prendre connaissance du matricule secret. Si l’un d’eux reconnait le sien, c’est dans le plus grand des secrets qu’il continu sa marche, prenant le papier lui-même et qui, le soir venu, se présente au conseil en étant masqué qui eux même identifieront leurs marques, et reconnaitront le nouveau Fils des Ombres.

La légende de la Tour des voleurs
La fondation de la Guide des voleurs ne s’est pas faite en un jour. Pourtant, il est une action que d’aucun ne peut prétendre contester, qui marqua d’une pierre blanche l’avènement de cette Guilde et sa réputation aussi sombre que miraculeuse. A l’époque, le Fils des Ombres dont le nom n’était que celui d’un voleur de grand chemin cherchait un moyen de faire reconnaitre cette Guilde qu’il venait de reprendre en main. Roi des Ombres, il devint Roi des Voleurs. Certains disent encore que c’est la magie qui fut à l’œuvre, mais ils seront toujours contestés par les fidèles de cette si amusante histoire. Lorgol se souvient encore très bien de ce jour, lorsqu’un matin, la tour de la Guilde des collectionneurs de tir bouchon vint à disparaitre, laissant à son emplacement des fondations vides, pas même un tir bouchon à récupérer, tout, absolument tout avait été volés, des pierres au mortier utilisé. Les mauvaises langues sont convaincantes pas vrai ? Rassurez-vous, vous qui lisez ces histoires, les archives ne se souviennent plus exactement à qui appartenait cette tour, et beaucoup aujourd’hui encore s’amusent à déformer la légende de la Tour volée : qui donnera l’ascendance la plus ridicule à cet édifice qui pourtant recèle désormais en ses murs plus de secrets encore qu’on ne puisse l’imaginer ?

La bibliothèque secrète de la Cour des Miracles
On dit de Dragonvale qu’elle possède la bibliothèque la plus complète de tout Arven. Tout aussi étendue et plus encore inaccessible, la bibliothèque de la Cour des Miracles recèle d’information en tout genre, de tout âge et de tout horizon. Précieusement cachée, divulguée aux oreilles de tous même aux voleurs eux même, elle tient plus de la légende que de la vérité, et pourtant, elle trouve sa place au fin fond des souterrains de la Guilde, dérobée derrière quelques murs, eux même piégés par les nombreux trésors depuis longtemps accumulés. Le Fils des Ombres est le seul autorisé à y accéder seul, la place étant protégée par les pavés qui reconnaissent en lui le seul Roi, le seul à pouvoir consulter ces connaissances infinies sur Arven, mais aussi sur des secrets bien plus anciens, bien plus précieux. Récemment, elle a été nourrie par la collection des archives de la Guilde des Espions, depuis peu abandonnée et dont la Tour laissé à l’abandon fut d’une facilité à voler, renforçant ainsi sa légende mais aussi les grandes connaissances de la Guilde des Voleurs. Celles-ci d’ailleurs ne cessent de s’agrandir, avec la montée en puissance des Gitans un peu partout de par le monde. La bibliothèque souterraine n’a pas fini de parler d’elle.

Le trône de pierre
Rares sont les grandes actions de la Guilde des Voleurs qui ont provoqué une tragédie. Et pourtant, il en est une notable qui restera à jamais marquée dans les archives comme un échec cuisant de la Cour. Ces dernières ressassent cet évènement aux alentours de l’an 433. En ce temps, les voleurs eurent la lubie de voler quelques trésor à chaque grands ducs et duchesses régnants. On dit que le collier de la duchesse héritière d’Erebor ou l’épée de rubis du Duc de Bellifère font désormais partis des richesses accumulées de la Cour. On dit aussi que la victime suivante devait être le Duc de Sombreciel, qui dans un élan de lucidité eut eu la fière idée de créer un trône d’une valeur sans précédent, cependant piégé, sachant qu’il serait volé sous peu. Et le plan marcha, puisqu’attiré par le gain, les voleurs dérobèrent cette pièce, qui finit non seulement à la Cour, mais surtout offert au Fils des Ombres. La mort attendait celui qui monterait dessus, telle était la vengeance du Duc de Sombreciel. Hélas, la tragédie arriva, fauchant la vie du Fils des Ombres, certes dans le plus grand secret, mais connu hélas de tous ceux qui le virent tomber sous le coup d’une épine dans le dossier, plongée dans un fatal poison Cielsombrois. A ce jour, le Fils des Ombres possède toujours son propre trône, mais d’une facture moins riche, pour à jamais rappeler ce sombre évènement. Tel est le secret qui se cache derrière le trône de pierre lugubre de la salle du conseil, impénétrable de tout piège et dont l’apparence dénote avec la brillance des autres sièges.

© Texte par Panteraa
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