InvitéInvité | Sujet: Soltana Kamar Dim 27 Mar - 17:30 | |
| © Boréale « Telle un rayon de lune sur la surface gelée d'un lac serein...» feat. Aishwarya Rai© Boréale | Soltana Kamar ¤ AGE : 29 ans ¤ NE(E) LE : 2 avril 773 ¤ A : Vivedune ¤ LIEU DE RÉSIDENCE : Erebor, mais étant guerrière, elle vit un peu partout ¤ NIVEAU SOCIAL : Petite noblesse ¤ GROUPE : Guilde des Guerriers ¤ ALLÉGEANCE : Augustus
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TEST RP (20 lignes minimum)
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DISCOURS DE FLORIAN COEURBOIS DEVANT LES GUERRIERS LORS DE L'ADMISSION DE SOLTANA KAMAR
« Et une femme, encore ! Et bien plus qu'une femme, une princesse, de surcroît ! Pour qui donc nous prend-on ? Nous ne sommes pas des nourrices ou des servantes, nous ne sommes point ici pour protéger mademoiselle contre ceux qui viendront un jour l'attaquer ! Nous sommes formés pour servir et affronter, pour être la force que d'autres non pas, pour être le bras que certains ne peuvent avoir et donner vie, donner mort, donner puissance ! Pas pour jouer à la poupée et à la demoiselle de compagnie. Des siècles que nous existons, des siècles d'hommes et de guerriers ont vu défiler ces dames délicates dans leurs rangs, avec toujours le même résultat : la mort et le déshonneur, les corps bafoués et l'échec, toujours l'échec. On me dira que celle-ci n'est point pareille aux autres, qu'elle est de la noblesse, qu'elle n'a pas cette âme de biche fragile que les autres dames de cour arborent comme un précieux bijou. N'en reste-t-elle pas moins une femme ? Je ne serai convaincu que lorsque je verrai le sang couler de sa lame et de ses doigts, que lorsque sa bouche vermeille et ses longs cheveux de jais seront tachés de la mort, que lorsque la force qu'on lui prétend deviendra réelle à mes yeux et à ceux de la Guilde.
Soltana Kamar, je te convoque en duel. » Il s’avança, la démarche assurée, devant tous ses frères d’armes. Et sœurs. Celui-là avait l’air de l’avoir oublié. Beau parleur ? Très con surtout. L’esprit borné, et fermé. Comme beaucoup d’autres. Ceux-là préféraient se taire, mais le pensaient également. Et ils se prenaient pour des hommes ? Même pas capable de clamer haut et fort leurs opinions. Et pourtant, il n’y a pas que des homes à la guilde. Les femmes, bien que très minoritaires, sont aussi là. Moins vantardes que les autres, mais fières. Elles cherchent à ce qu’on les respecte. Pas comme des dames ayant besoin de protection, mais comme des frères d’armes. Elles sont guerrières, elles l’ont prouvé. Coeurbois, Soltana ne l’aimait pas. Mépris et insolence ressortait de son visage. Et un orgueil plus gros que lui-même, trop gonflé. Un homme insupportable, et rattaché à des idéaux. Elle était née de sang noble, exactement, et elle en était fière. Elle le méprisait et pourtant, elle ne lui avait rien fait pour qu’il la traite ainsi. Il l’insultait à prononcer son discours. Et elle ne le supportait pas, elle ne voulait pas se faire marcher sur les pieds. Peut-être aurait-elle dû rester avec sa couture et ses dentelles, comme toute femme qui se tait et subit toute sa vie. La jeune femme n’y pensa même pas une seule seconde. Elle ne cherchait pas à se faire apprécier par hypocrisie, juste pour son petit minois et la dot qu’elle apporterait si elle se mariait. Non pas du tout, cette vie paraissait si invraisemblable maintenant. C’était une femme, de celles qui prouvent ce qu’elles valent, qui sont indépendantes, sûres d’elles et qui n’auront jamais besoin d’un homme pour veiller sur elle. Un sourire narquois naquit sur ses lèvres lorsque cet idiot termina son discours. Alors comme ça, il la provoquait en duel ? Ce type trop sûr, trop fier, trop imbu de sa personne. Il s’imaginait sans doute qu’une femme demeurait incapable de se battre. D’ailleurs, il avait été assez explicite dans ses propos. Pas besoin de reprendre les termes. Elle avait compris qu’il ne la respecterait pas à sa juste valeur, qu’elle était bonne à enfanter et donner le sein. En gros. Crétin. Elle devait faire ses preuves ? Ben voyons ! Elle méritait ce statut, sinon, personne ne l’aurait acceptée en tant que telle. Son pauvre petit discours de merde ne ferait pas changer les choses. Elle était admise point. Il devrait la supporter parce qu’ils seraient amenés à se côtoyer. Qu’il le veuille ou non, il la respecterait. Et s’il ne le voulait pas, elle l’égorgerait. Elle ne voyait pas comme un frère d’armes, un guerrier comme elle. Non. Pas en l’insultant de la sorte. C’était une menace ouverte, une provocation. Elle réagirait, elle ne se laisserait pas faire. Et s’il fallait pour cela que le sang gicle, elle ne se gênerait pas. Ah le sang. Un délice de le voir sortir du corps de ses adversaires. Un besoin même qu’il coule, pour faire mal. Ce qu’elle pouvait aimer cela. C’était son élément, elle était baignée dedans depuis toute petite. Pas de tendresse, pas de pitié. Tu es un ennemi, tu meurs. Ami, ta vie est épargnée jusqu’à ce que tu trahisses de n’importe quelle manière. Lentement, elle frappa dans ses mains. La seule parmi tous. Clap. Elle se leva. Clap. Elle lui darda un regard méprisant. Clap. Elle commença à s’avancer vers lui, féroce. Pas de longs discours, juste de l’action. Il ne comprendrait que par la force du combat, par les coups qu’il recevrait. Le langage, il ne connaissait pas. Aujourd’hui, il avait tout de même montré qu’il ne se réduisait pas à des beuglements, et qu’il pouvait s’exprimer. Bravo Florian. « Tu n’as pas à remettre en cause mon admission. Je le mérite. » Elle continua sa progression, vers lui, une main sur son fourreau. Alors comme ça il la cherchait ? Il allait la trouver. Elle dégaina son arme. Peu importe le lieu, peu importe ce qu’ils diraient, eux qui assistait à la scène. Elle s’en fichait, il l’avait insulté, et c’est tout ce qui comptait. Elle ne le laisserait pas continuer. S’avançant vers lui, les lames se rencontrèrent. Plus un bruit. Silence. Seul le bruit du métal résonnait. Personne n’intervint, personne ne les empêcha de régler leurs comptes. Elle avait la souplesse et l’agilité d’un chat, retombant toujours sur ses pattes à chaque coup porté. Le sang commençait à rougir sur les lames, juste quelques écorchures. Oh elle avait tellement de haine qu’elle le voulait mort. Elle savait pourtant qu’elle ne devait pas le faire, qu’il fallait qu’elle s’arrête avant de lui porter un coup fatal. Le combat se déroula, monotone. Les deux adversaires luttaient efficacement l’un contre l’autre. Seul un moment de distraction changerait la donne, à l’avantage d’un des deux combattants. Ce fut l’homme qui flancha, croyant prendre par surprise la femme qui réagit au dernier moment. Elle avait gagné. Faisant perdre l’équilibre à l’homme, elle fit voler son arme au loin et se rua sur lui, visant sa lame au niveau de son cou, prête à frapper. Non elle ne pouvait pas. Mais il ne s’en sortirait pas ainsi. La pointe dériva sur la gauche jusqu’à l’épaule et s’enfonça dans la chair, remontant jusqu’à la main. Il aurait du mal à se battre avant un moment. Intelligent comme il l’était, il demanderait au côté gauche de remplacer le droit, en piteux état pour le moment. « Manque moi de respect de la sorte et c’est ta petite face de rat que j’égorge le prochaine fois. » Elle avait le visage en sueur, et pas mal de traces de sang un peu partout sur elle. Qu’importe, elle s’en foutait. Fini avec lui. Sans un regard pour ses frères d’armes, elle rangea son arme et s’en alla. Chacun ne pourrait plus ignorer à qui il s’adressait dorénavant.
CARACTERE (8 lignes minimum) Issue de la noblesse, Soltana a reçu une éducation, une certaine culture qui lui a été transmise, ce qui fait d’elle une guerrière très intelligente. Engagée du côté d’Augustus, elle est très loyale envers lui et si un jour elle découvre que quelqu’un de son entourage fait partie des rebelles, elle n’hésitera pas à le dénoncer à l’Empereur même si ça lui fait mal. Pour elle ce sera une trahison, qui ne la laissera pas indifférente, mais sa loyauté prendra tout de même le dessus sur ses sentiments. Elle déteste l’échec, elle le méprise, elle ne le supporte pas. Cherchant toujours à se venger d’un affront, elle porte une épée au niveau de la taille, ayant maintenant renié les robes et la couture. Son tempérament l’invite à fuir cette vie ennuyeuse à laquelle elle ne se fera jamais. Avoir des enfants ? C’est une blague n’est-ce pas ? Ce serait perdre sa liberté, l’enfermer dans une tour d’ivoire, et il est hors de question que cela arrive un jour. Elle vit au gré du vent et aspire à plus d’indépendance encore. D’apparence froide, elle ne se montre que très rarement chaleureuse et humaine. Certains la qualifieraient même de barbare. En effet, elle n’hésite pas une seule seconde à tuer ses ennemis, comme s’ils n’étaient pas des êtres humains mais plutôt des adversaires à détruire. Pas de pitié pour eux. Cette femme ne manque pas de sang-froid et peut déstabiliser certains guerriers n’ayant pas l’habitude de côtoyer une femme au combat surtout si la dite femme se bat comme un homme. La violence c’est son rayon, elle y goûte depuis son enfance, elle a été élevée dans cette optique. Elle est plutôt jalouse et bornée, quand elle est sûre d’avoir raison, elle s’oppose fortement à ceux qui ne sont pas de son avis. Essayez donc de la faire changer d’avis concernant son allégeance, vous risquez de vous prendre un coup d’épée dans le ventre …
HISTOIRE (10 lignes minimum) Née à la cour d’Erebor, ses parents n’imaginent pas le chemin que leur petite fille cadette choisira quelques années plus tard. Pour une femme, sa vie se résumé à se marier à un homme, si possible riche et ayant une position influençable sans oublier d’avoir de belles hanches pour porter beaucoup d’héritiers et assurer la descendance de son époux. Pour l’occuper ? Il y a des passe-temps très lucratif, comme la couture, la broderie, les dernières rumeurs de la cour et veiller à ce que le repas soit bien prêt au moment où le mari rentrera de la guerre ou sortira de son bureau où il a passé la journée sur ses tâches. Une femme trop indépendante ? On l’a fait grosse d’une dizaine de gosses pour que son instinct maternel soit plus puissant que ses désirs d’évasions. Et bien sûr, pas le droit de tromper son mari, pour que ce dernier soit certain que ces enfants soient bien les siens et pas ceux de quelqu’un d’autre.
Une vie merveilleuse attendait Soltana n’est-il pas ? Cette jolie petite princesse allait adorer ce qui l’attendait. Seulement, son enfance n’allait pas se dérouler comme pour les autres filles normales, heureusement pour elle ou sinon elle aurait fini par étouffer sous la dentelle. Ses parents l’éduquèrent du mieux qu’ils le purent, elle apprit tout ce qu’une dame de son rang devait apprendre. Curieuse, elle n’hésitait pas à s’aventurer dans les lieux qui lui étaient interdits d’accès. C’est ainsi qu’elle découvrit l’existence de la salle d’arme alors qu’elle avait à peine six ans. Petite fille espiègle qui rêvait de liberté en dehors de toutes les leçons d’éducation pour devenir une vraie petite femme. En apparence, devant ses parents, elle obéissait, mettant en application tout ce qu’on lui enseignait. Lorsqu’elle s’évadait de sa chambre, elle changeait tout de suite de comportement, un peu sauvage, très animé et enjoué, et retirait cet air calme qu’elle devait toujours adopter, en n’importe quelle circonstance.
En découvrant ces hommes s’entraîner à l’art du combat, elle en fut littéralement attirée, ne pouvant détourner ses yeux des combattants. Le maître d’armes remarqua bien que la petite princesse paraissait fascinée par ce qu’elle découvrait. Ne disant rien, il la laissa faire. Il n’étai pas là pour lui dire ce qu’elle devait faire ou non, et elle ne dérangeait pas. La petite fille s’approcha de ce dernier dans l’intention de lui demander de lui apprendre. Elle ne savait pas vraiment ce que c’était, en quoi cela consistait, mais ce dont elle avait observé suffisait à lui donner envie d’apprendre. Le maître d’armes émit quelques réticences, une femme ne devait pas apprendre l’art du combat, ça n’était pas digne de son rang. Lisant l’émerveillement et la fascination dans les yeux de Soltana, il accepta sous réserve que la petite n’en touche mot à quiconque. La demoiselle promit et c’est ainsi que s’installa une sorte de rituel entre les deux personnes. Les cours se déroulaient dans les appartements du maître d’armes, pour qu’on ne les dérange pas, la porte demeurait toujours verrouillée, et les rares fois où l’on désirait parler avec lui, la demoiselle se dissimulait sous le lit pour ne pas se faire voir.
Soltana continua son petit manège, se montrant docile devant ses parents et la cour, satisfaits devant cette perle qui embellissait au fil des années. Elle jouait très bien son jeu, c’étai si facile. Si simple de les berner tous, ils ne voyaient qu’un pâle reflet de sa personnalité, ne la connaissanr que pour ses sourires et son petit air niais et son physique attirant. Montrer ce que la cour voulait bien voir. Elle évitait de montrer son intelligence, son père lui avait enseigné certaines matières, pour l’instruire. Elle avait la chance de savoir lire et écrire. En cachette, elle s’entraînait. L’homme lui enseigna tout ce qu’il pouvait, et bientôt l’élève dépassa le maître. Elle était farouche, elle se défendait comme une diablesse, elle avait ça dans le sang.
Même s’il lui arrivait de paraître à la cour d’Erebor, sa vie dans le désert l’écartait du monde. Elle avait l’habitude des températures difficiles du désert et à la rudesse des sables. Malgré cela, elle n’en demeure pas moins protégée, c’est une princesse tout de même. Elle croisa le chemin de la guilde des guerriers à Erebor. Entendant les ragots de ses voisines de table qui disaient que des membres de la guilde des guerriers séjournaient dans la ville, Soltana fit tout pour les rencontrer. Elle voulait leur parler, les questionner. Eux connaissaient l’art du combat, eux savaient manier les armes. L’un d’entre eux lui dit qu’elle n’avait quasiment aucune chance de faire partie de la guilde, tout simplement parce qu’elle était une femme. Déterminée à prouver ce qu’elle valait, et connaissant désormais leur existence, elle ne demanda qu’une seule chose : où est ce qu’elle pourrait les trouver : dans la capitale, dans la Tour de la Guilde des Guerriers. Elle voulait devenir une guerrière. Ce n’était plus un rêve, c’était un but.
Il fallait juste prévenir ses parents de sa décision. Adieu double jeu, finis les mensonges, terminées les cachotteries, elle irait droit au but. De retour dans le désert, elle prépara son voyage. Elle ne reviendrait plus, elle reniait son titre pour accomplir son rêve. Le chemin à parcourir serait long, sans doute serait elle amenée à user de son apprentissage aux arts du combat pour survivre jusqu’à sa destination. Elle annonça son départ un soir, portant une tenue de voyage et un sac, ainsi qu’un poignard à sa taille. Elle fut froide et directe, elle savait que personne n’accepterait son choix, et elle s’en fichait. Elle avait choisi son chemin.
Elle n’attendit même pas la réaction de sa famille. Après avoir parlé, elle tourna les talons n’écoutant même pas les hurlements de sa mère outrée et de son père choqué. Elle était certaine de son choix plus personne n’avait le droit de lui dicter sa conduite. Âgée d’à peine dix-huit ans, elle était assez grande pour faire ses propres choix. Apparemment, personne ne s’opposa à son départ puisque les gardes ne l’empêchèrent pas de sortir de l’enceinte du palais. De toute manière, sa famille n’avait qu’à s’incliner.
Le voyage fut long et éprouvant. Elle croisa plusieurs obstacles sur son chemin, en particulier des pillards des dunes. Elle apprit à tuer, seule possibilité pour une femme seule de survivre contre ceux qui lui voulaient du mal, et elle commença à apprécier le goût du sang. Elle tuait pour la première fois de sa vie, et ce ne fut pas pour elle une expérience traumatisante.
Arrivée dans la guilde après tant de distance parcourue. Son but. L’heure de faire ses preuves, de montrer ce qu’elle valait. Ce serait difficile de se faire respecter c’était certain. Elle y arriverait. Elle avait confiance en elle, elle pouvait montrer de quoi elle était capable. Forcément, elle soulèverait de vives revendications par son sexe, mais qu’importe, elle intégrerait la guilde, à n’importe quel sacrifice.
Ce ne fut pas simple. Elle divisa les hommes, entre ceux qui la soutenaient et les autres qui s’opposaient à ce qu’elle intègre les rangs. Elle mit tout le monde d’accord lors de son admission au sein de la guilde lorsque Florian Coeurbois la provoqua en duel (voir test RP). Elle a conscience que certains ne l’accepteront jamais comme une guerrière à part entière, du moins elle aura réussi à mettre tout le monde d’accord quant au respect qu’elle demande à son égard. Elle sait se défendre, elle sait se battre, elle est sauvage, agile, destructrice. Personne n’a la permission de remettre ses capacités en doute sous peine de l’insulter et l’offenser. Elle sait se battre et bien mieux que d’autres guerriers de la guilde.
Ses ennemis, elle n’a aucune pitié pour eux, notamment pour les rebelles qui s’opposent à l’empereur. Soltana est en effet partisane d’Augustus et elle compte bien se débarrasser de tous les opposants en les faisant souffrir le plus possible. Pas de pitié pour les traitres. Elle aspire également à se faire remarquer par le tyran, lors de ses combats dans l’arène et ainsi obtenir ses ferveurs. La jeune femme a des ambitions, elle ne se contente pas de ce qu’elle a quand elle peut obtenir plus. Sa manière de se battre, si féroce, si impitoyable et pourtant avec grâce et agilité attire la foule. Elle fait en effet partie des favoris du peuple. Une déesse barbare qui ne cherche qu’à éliminer les infidèles et les traitres, c’est plutôt inédit. C’est une guerrière souvent sollicitée pour des combats privés et autres duels entre nobles réalisés par l’intermédiaire des champions. Une femme destinée à être mariée et avoir des enfants ? Avouez que ça aurait été du gâchis de la condamner à cette vie. Elle vaut bien mieux que cela, elle le sait, elle le montre, et elle en veut toujours plus.
Si belle en sortie de combat, le corps en sueur, l’arme à la main, les vêtements couverts de sang et de sable, les cheveux ébouriffés : Le sourire aux lèvres, la voici dans son élément.
LIENS (4 lignes minimum par lien) SIEGFRIED NIBELUNGEN Heureusement qu’elle aime le sang. Les guerriers le côtoient sans cesse, et leurs mains en sont souvent recouvertes. Ce n’est pas un problème pour Soltana fascinée par cette couleur pourpre. Elle a en plus trouvé un partenaire attiré lui aussi par ce liquide. De quoi les réunir tous les deux après que Siegfried se soit introduit dans ses appartements. Eprouvent-ils l’un pour l’autre quelque chose ? Point du tout, seule leur folie mutuelle, leur goût pour le sang les lie. Pas étonnant que leurs étreintes soient brutales et sanglantes, entre eux est né un désir violent et animal qui les jette l’un sur l’autre comme des sauvages. Ils conservent même des traces de ce qu’il s’est passé entre eux par des plaies, des coups et des bleus. Un complément parfait pour la jeune femme.
JODHAA ANDHAAR Cette femme, elle ne l’apprécie pas décidément. Dommage, leurs goûts communs auraient pu les rapprocher. Elles se ressemblent, aimant le sang, côtoyant la mort et vivant dans la violence. Pourtant, elles n’ont pas les mêmes valeurs, l’une contre et l’autre pour l’Empereur. Soltana ne trahira jamais Augustus, hors de question qu’elle devienne son ennemi. Jodhaa apparaît comme une femme prétentieuse en plus, elle a du mal à la supporter.
MELSANT DE SEVERAC Ce n’est pas une folle envie sanguinaire entre eux, c’est l’homme qui la rend différente. Avec lui c’est moins violent, moins sanguinaire. Soltana se montre quelque peu changée, elle apparaît plus comme une noble. Elle ne le considère pas comme les autres hommes, il y a quelque chose entre eux. Cette attirance lui joue des tours, elle refuse de se l’avouer à elle-même et elle hésite un peu, ayant le pressentiment qu’il cache quelque chose …. Mais quoi ?
HIEMAIN DE SYLVAMIR Elle est une femme, aurait préféré être un homme. Hiemain exauce tous ses désirs, il est libre comme l’air, il décide au jour au jour de la manière dont sa journée va se dérouler. Même si la guilde des guerriers a permis à la jeune femme de quitter la vie à laquelle elle était condamnée, elle admire cet homme qui incarne pour elle un modèle, souhaitant atteindre un jour sa prestance et sa puissance. Soltana sèmera le doute en lui lorsque Baudoin commencera à mettre la balance du côté de la rébellion, c’est ainsi qu’elle l’emmènera vers Augustus, entraînant Hiemain dans son fanatisme.
EN VRAI ¤ PRENOM ; PSEUDO : Boréale, Eos, Crépuscule ^^ ¤ AGE : 18 ans ¤ OU AS-TU CONNU DRAGONVALE ? Grâce à PRD ¤ TON AVIS ? DES SUGGESTIONS ? Premier forum médiéval fantastique que j'essaie ^^ ¤ AUTRE(S) COMPTE(S) : pas d'autres comptes ^^ ¤ LE MOT DE LA FIN : Coucou ! =)
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Dernière édition par Soltana Kamar le Lun 28 Mar - 12:50, édité 9 fois |
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