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« Mieux vaut périr avec honneur que survivre par lâcheté. »

feat. Jared Leto © Ikuinen

LIAM LIONEL D'OUTREVENT ¤ AGE : 29 ans ¤ NE(E) LE : 7 janvier 773 ¤ A : Souffleciel ¤ LIEU DE RÉSIDENCE : Tour de la Guilde des Rebelles ¤ NIVEAU SOCIAL : Duc héritier d'Outrevent - déchu ¤ GROUPE : Guilde des Rebelles ¤ ALLÉGEANCE : Rebelles

TEST RP (20 lignes minimum)

Arven, la Cité aux milles tours. Milles tours, mille et un secrets qui tissaient un réseau d’intrigues et de volontés contradictoires. Disparates comme ces tours dont aucune ne s’accordait sur l’architecture la plus convenable à la capitale d’un royaume. Royaume aux valeurs bafouées, au nom même sali. L’union des Duchés avait perdu de sa majesté pour devenir le moyen honteux d’étendre un pouvoir rougi par le meurtre, une union ah… Si elle l’avait été réellement un jour, deux siècles avaient transformé Arven en un territoire asservi. C’était une injure aux rois et reines qui l’avaient construit, une dague en plein cœur des familles régnantes - ou plutôt dans leur dos, l’Usurpateur n’avait aucun honneur. Si détestable cela soit-il à admettre, ce dernier imposait ses règles : s’il n’avait le cran d’affronter ses adversaires, alors ses adversaires resteraient dans l’ombre. Ce n’était pas pour plaire à Liam d’Outrevent, héritier déchu mais qui n’en représentait pas moins fidèlement sa lignée, seulement la leçon était apprise ; il fallait passer inaperçu le temps de préparer le terrain pour avoir une chance d’attaquer. Passer inaperçu comme la tour qui l’abritait, car tous deux étaient rebelles, des indésirables que le soi-disant Libérateur écraserait dès la première occasion. Une garde baissée et c’était un coup d’estoc, voire le coup fatal. La garde de la Guilde des Rebelles ? Une tour insoupçonnable, d’apparence abandonnée. En quelque sorte, un reflet plus fidèle au royaume que le palais impérial : une façade rongée par les rats qui grignotaient tout ce qu’ils pouvaient à l’instar de l’Usurpateur et de ses pions réduisant la terre d’Arven à un squelette fumant dont on n’avait de cesse de se nourrir, une façade sous laquelle la grandeur des temps passés persistait à vouloir refaire surface. Cette grandeur, Liam était prêt à tout pour la rendre au royaume et c’est pourquoi il entrait dans cette tour, s’y enfonçait jusqu’aux sous-sols où il devenait véritablement le chef des Rebelles après n’avoir été qu’un hors-la-loi devant se cacher pour sa survie. Avec lui, le crépuscule descendait sur Lorgol, comme un allié prêt à camoufler la réunion clandestine qui allait se dérouler.

Les sous-sols, le véritable foyer des dissidents, n’avaient que peu de résidents, et pour cause personne ne devait se douter de son emplacement. La discrétion faisait depuis neuf ans partie de la vie de l’ancien héritier d’Outrevent qui avait dû apprendre à faire profil bas. Apprentissage qui l’avait fait aller contre lui-même, mais qu’il savait indispensable. D’un geste habitué, Liam ôta sa cape tout en ouvrant le battant de ses appartements. A l’image de ce qu’on lui avait enlevé à Souffleciel, la pièce exposait un mélange subtil de faste et d’austérité. Le blason familial décorait un mur, bien que ce ne fut bien plus qu’une décoration – il n’était pas homme à « décorer ». Un rappel. Sa maison, sa famille, ses valeurs profondément ancrées, sa cause. Le regarder ravivait à chaque fois la flamme, à chaque fois plus intense. Lui faisait penser à Lisbeth qui risquait sa vie aux heures les plus claires, alors que lui travaillait dans l’ombre, caché dans une tour, une tour éloignée même du moindre soupçon. Il ne supportait pas la savoir exposée ainsi et, en même temps, il était le plus à même de savoir ce qu’elle valait, tout ce dont elle était capable ; tous deux étaient faits du même bois.

« Un jour, nos rêves s’accompliront et ce ne sera pas le fruit de miracle… »

Un murmure, une affirmation alors que l’azur de ses yeux rencontrait celui du blason. Aucune hésitation, la justice reprendra ses droits. Sa très chère sœur en sera son bras armé, quoique pensait le roi mysogine ; en un sens, son défaut devenait un avantage : celui-ci ne se méfiait pas suffisamment de la gente féminine. Tout comme Lisbeth, Cyselle, Svanhilde, Kerig, Chart étaient la clé de la liberté. Lui, eux, les rebelles, le peuple, tous ceux qui s’opposeront de quelque manière que ce soit au régime imposé. La lutte ne finirait pas tant que la dictature souillerait Avren, Liam d’Outrevent s’en assurerait jusqu’à son dernier souffle. La retraite était un mot banni de son vocabulaire et il se félicitait d’ailleurs de la recrudescence des actes de rébellion depuis que le Duc D’Outrevent, son père, lui eût légué les rennes de la Guilde. En ce moment même, ils planchaient sur l’interception d’un corps armé chargé par l’autorité royale d’écumer le Duché de Nightingale, dont le but était d’arrêter – officiellement évidemment – des mages récemment éveillés qui seraient à la recherche de Dragonvale. Une réunion était par ailleurs prévue cette nuit-là afin de rassembler les informations collectées. Cyselle avait encore une fois été d’une aide précieuse, son ami d’enfance se devait de l’admettre bien qu’il ne considérât pas la Guilde des Espions comme la plus noble qui soit. Amis d’enfance avant anciens fiancés, Liam n’avait jamais pu la considérer autrement. Ils n’avaient d’autres choix que de se considérer de la sorte à présent et si cela soulageait l’homme indépendant qu’il était, cet état de fait rappelait aussi bien que les héraults la déchéance dont on avait teinté son nom.

Liam D’Outrevent, duc héritier déchu de ses droits, hors-la-loi, chef de la Guilde des Rebelles.

C’était ce qu’il était dorénavant et il assumerait sa position quoiqu’il en coûte. Jusqu’à ce que le joug de l’Usurpateur ne s’étende plus qu’à son corps froid.

CARACTERE (8 lignes minimum)

Commençons par ce qui n’étonne guère, par ce que tout un chacun s’attend d’un Outrevent : l’intégrité de Liam est d’une facture aussi majestueuse que les œuvres d’art provenant du duché de Lagrance. Trop fier reprocheront certains qui pourraient parfois même le juger hautain, mais cela il ne l’est pas en vérité. Certes, il a sa fierté qu’il n’abaissera jamais en-dessous de ses principes et de ses capacités, mais hautain non. Campé sur ses positions, cela, effectivement. L’éducation outreventoise a formé un homme d’honneur, forgé de courage et d’idéaux d’équité, voilé d’une loyauté inébranlable. Quand Liam donne sa confiance ou énonce une promesse, aucun retour en arrière n’est possible – à moins que vous l’ayez poignardé dans le dos évidemment. Si elle s’applique aux autres, cette loyauté comprend aussi de rester fidèle à lui-même, et c’est ce qui le rend si implacable. Les valeurs familiales font qu’il considère certains éléments comme allant de soi, ce qui l’amène à paraître idéaliste, encore plus en cette époque tourmentée. Et il l’est, profondément. Est-ce une qualité ou un défaut, c’est une autre question à laquelle le rebelle répondrait qu’il n’y a point d’idéalisme à appliquer les plus nobles principes et à faire en sorte qu’ils soient appliqués. D’une part, cela amène des attentes qui ne peuvent être comblées, ce dont un esprit terre à terre a pleinement conscience, d’autre part cela lui lègue une passion enflammée à ses idéaux, un moteur inépuisable pour poursuivre ce en quoi il croit. Tout est en nuance, car le manichéisme est bel et bien une invention humaine.

Cet idéalisme allié à sa détermination est le facteur de sa témérité. Sûr de lui, il agit selon ses principes, mais cela ne signifie pas qu’il fait bien ; il manque de réflexion avant d’entreprendre quelque chose, heureusement sa sœur et ses lieutenants arrivent parfois à le brider. Chef charismatique et solitaire, Liam a pour lui des talents de meneurs ainsi qu’un souci pour son peuple que l’Usurpateur ne comprendra jamais. Intimement attaché à ce qu’il fait, il ne peine pas à animer la flamme des rebelles. D’un autre côté, il a tendance à l’animer trop vivement et risque parfois de faire oublier à ces gens qu’ils doivent impérativement conserver leur couverture pour leur bien, autant que pour le bien de la lutte. La déchéance lui a appris que le dictateur était mauvais joueur et n’acceptait un combat en bonne et due forme, le duc rebelle a néanmoins des difficultés à faire taire sa soif d’affrontement régulier, n’appréciant guère la dissimulation et les faux-semblants. Ce qu’il est obligé d’utiliser et ce qui l’insupporte d’autant plus, détestant la soumission, de quelque forme qu’elle soit.

Austère et indépendant, le rebelle paraît distant. Si cela venait à l’origine de sa position à Souffleciel , cela n’a fait que se développer depuis qu’il fut déchu car, dès lors, la méfiance était question de survie. Cela dit, ce n’est qu’une extension de son caractère. Malgré cette apparence, Liam se découvre protecteur à l’égard des personnes qu’il chérit, sa sœur en premier lieux – il serait même inutile de le préciser, cela va de soi. Un esprit vif et jaloux se cache également sous ces traits ouverts. La jalousie est un péché, mais les émotions sont surtout des bénédictions.

Spoiler:

HISTOIRE (10 lignes minimum)

« Le temps est-il la roue qui tourne ou bien la trace qu'elle laisse ? »

- Robin Hobb -

Des cris dans un château en expectative. Des cris de souffrance et d’éveil qui formaient le concert du renouveau. Puis des soupirs exténués, de soulagement et de joie. Le premier enfant de la maison d’Outrevent était né, en ce septième jour de janvier de l’an 773. Baptisé Liam, il sera voué à représenter son duché aussi dignement que ses ancêtres. Ainsi, son éducation débuta très tôt afin que les valeurs familiales s’inscrivent profondément dans le caractère de l’héritier. Avant qu’elle ne commence sérieusement, des cris résonnèrent une nouvelle fois, trois ans plus tard. Seulement, une voix s’éteignit. La duchesse perdit la vie en donnant son dernier souffle à une jeune fille prénommée Lisbeth. Liam n’avait que trois ans, il ne comprit pas réellement ; sa mère, présence rassurante mais distante, était de voyage. Sa sœur fut d’abord une curiosité, un futur compagnon de jeu, mais dès qu’elle grandit et qu’il prit conscience de la réalité, Liam veilla sur elle. Présence de son sang pour qu’elle ne souffre pas d’une absence.

Ils suivirent la même éducation rigoureuse, devenant par la même occasion aussi complices qu’un frère et une sœur puissent l’être, voire plus. La droiture, l’honneur, le courage, la justice, la loyauté furent des principes enseignés par toutes les circonstances. Chez les Outrevent, il s’agissait bien plus que des mots ou des codes de conduite à appliquer dans certains contextes, c’était une manière de vivre, une flamme qui devait crépiter à l’intérieur de soi. Faillir et elle s’éteignait, parce que ne pas respecter ces valeurs, c’était renier son sang.

C’est durant cette enfance que le jeune homme fit la connaissance de sa promise, Cyselle de Lagrance. Duché fastueux et voisin d’Outrevent, des rencontres se succédèrent facilement afin de lier les enfants avant d’unir de jeunes gens. Une sorte de compromis : le choix de leur union ne leur était pas donné, en contrepartie loisir à eux de la rendre plus douce, voire désirée. Liam se plia évidemment aux requêtes de son père le duc ; c’était son devoir et il l’acceptait. Bien vite, le devoir se transforma en amitié. Les années passèrent et s’il aimait Cyselle, ce n’était pas de cet amour enflammé qui embrase les amants.

Maison de fervents opposants, les descendants de la lignée des créateurs de la Guilde des Rebelles apprirent tôt la situation impardonnable dans laquelle Augustus avait fait sombrer Arven. En tant qu’héritier du titre, Liam se rendit compte par lui-même des coups donnés au peuple et du pouvoir ducal qu’on avait étouffé en s’acquittant de quelques tâches, observant, lisant, écoutant. La terre dépérissait, les moissons étaient chaotiques, le peuple vivait dans la peur, la peur que leur terre ne meure définitivement, la peur du roi et de ses massacres d’insurgés, les duchés n’étaient plus que des caricatures de ce qu’elles avaient été, des symboles creux pour éviter une offensive directe de la part des duchés asservis. Asservis, ce qu’ils étaient, tout le monde, il ne le supportait pas. Cependant, il dut faire des efforts pour garder la position de sa famille dans le secret, ce qu’il fit jusqu’à ses vingt ans. A quoi bon jouer le vassal obéissant ? A quoi bon ces faux-semblants, sinon à conforter l’Usurpateur sur son trône ? Dominés, ils ne l’étaient certainement pas ! Mais comment le peuple pourrait s’animer, rejoindre les Rebelles alors que ceux-ci n’avaient même pas le courage d’affronter officiellement le fléau ? Ce qu’il fallait, c'était une opposition soudée, marquée, menaçante. Ce qu’il fallait, c’était la confiance, montrer que la cause se poursuivait et qu’Arven était soutenue. Quand une nouvelle taxe s’abattit durant l’année 793, Liam d’Outrevent fit ce que cette flamme qui ne l’avait jamais quittée lui dictait : il exhorta les Outreventois à ne pas payer la taxe tout en se nommant garant de l’acte. Son peuple, sa responsabilité. Sa maison n’était-elle pas censée lui assurer la sécurité ?

La sécurité, ou du moins la survie, c’est ce qui poussa le téméraire à fuir Souffleciel pour rejoindre Lorgol. Son discours n’avait évidemment pas été accueilli par des applaudissements ; les seuls qui voulaient frapper étaient des soldats voués au dictateur venus expressément dans la capitale d’Outrevent pour couper la langue traîtresse de Liam. Bien sûr, ils ne se seraient pas contentés de la langue. Aussi insupportable que cela fut-ce à son cœur honorable, il n’eut d’autre choix que de fuir. Direction Lorgol pour contacter le duc son père à qui il demanderait un véritable poste dans la Guilde des Rebelles. S’il était déchu de ses droits, il n’était pas mort et continuerait donc à se battre. Son héritier devenu hors-la-loi, Lionel d’Outrevent rentra dans sa capitale après avoir légué son statut de chef de la Guilde à son fils, prétextant devoir reprendre son duché en main. Ce qui était le cas, bien que Lisbeth se trouvât toujours là-bas. Cela dit, dans tel contexte, il fallait ne pas attirer l’attention, faire bonne figure pour ne pas être démasqué. C’est pourquoi le duc envoya sa fille à la cour à sa place, ne voulant pas éveiller de soupçons avec la disparition soudaine de représentant d’Outrevent juste après le scandale de l’héritier. Les convictions étaient histoire de famille chez eux, Lisbeth tout autant dissidente et elle pourrait ainsi aider la cause dans l’antre même du dragon. De son côté, le duc veillait à la cellule de rebelles d’Outrevent. Les atouts étaient placés.

Savoir Lisbeth à la cour éveilla inquiétude et colère chez son frère. Un bruit, un doute, une jalousie ou qu’importe les viles intrigues qui composaient dorénavant le palais impérial et elle serait déjà dans la gueule du loup. De plus, si elle fut envoyée là-bas, c’était à cause de lui. Il détestait ne pas pouvoir la voir plus souvent, ne pas pouvoir être à ses côtés. Car Liam était devenu un ennemi officiel de l’ordre public, un parjure que l’échafaud attendait. En plus de cacher ses véritables convictions, il devait à présent se cacher, lui, son nom, son titre. Force lui fut d’apprendre à travailler dans l’ombre. Kerig fut d’une aide indiscutable pour connaître Lorgol aussi bien que ses fontes, ne furent pas rares les nuits où le noble emmenait celui qui venait de rejoindre ses rangs dans les méandres de la ville pour que ce dernier lui montre chaque petite ruelle qui pourrait un jour sauver des vies.

Durant ces neuf années de clandestinité, Liam réaffirma la Guilde, autant dans le réseau même pour atteindre une efficacité optimale tout en s’efforçant d’attiser la passion de ses membres que par leurs actions, plus importantes, plus audacieuses. Accroître les défaites du dictateur, le défier par des pamphlets pour que tous se rendent compte qu’Augustus n’était qu’un Usurpateur. Pour qu’ils sachent qu’il ne pourrait rester victorieux si l’on agissait et s’alliait contre lui. Que le peuple sache qu’Arven n’était pas abandonné à l’oppression, au sang et à la mort, que l’espoir brûlait chaque action du régime qu’il pouvait et que le feu ne s’éteindrait pas tant qu’il y avait à brûler.

Liam y mettait à profit toutes les connaissances accumulées lors de son apprentissage et son éducation militaire et de leader. Héritier, il avait été éduqué pour reprendre le titre de son père et avait été ainsi appelé à démontrer des talents qu’un seigneur et chef se devait d’avoir. D’autant plus qu’il était déterminé à retrouver son honneur, en déposant le roi, en permettant à un roi ou une reine légitime de siéger au palais impérial et en retrouvant son nom qu’il pourrait de nouveau porter publiquement. Au moins ce nom était-il épargné de la honte de la soumission. Pour cela, les alliés sont des relations à entretenir ; avec plaisir et inquiétude pour Cyselle, avec devoir et réticence pour Svanhilde Nightingale, l’Oracle de la Confrérie Noire.

Une phrase résume la vie présente de Liam d’Outrevent :
« Aux armes, rebelles. Arven vous appelle. »

LIENS (4 lignes minimum par lien)

(C) Hollow art

CYSELLE DE LAGRANCE ft. Diane Kruger Alliance de l’azur et du pourpre, Cyselle et Liam étaient promis l’un à l’autre alors qu’ils n’en étaient encore qu’à l’aube de leur vie. Ainsi, de nombreuses occasions les rapprochèrent, amis avant même de comprendre leur destin. Le temps forge des amitiés solides, aussi solides que la loyauté des d’Outrevent ou que le pacifisme des Lagrance ; la déchéance de Liam n’eut dès lors pas de conséquence négative à leur relation. Au contraire, éviter le mariage les arrangea tout deux – que Cyselle éprouve la même chose arrangea également l’homme qui n’escomptait pas perdre son amie après son titre. L’héritier, ou plutôt l’ancien héritier, d’Outrevent n’envisageait d’entraver son indépendance, à vingt ans et encore moins à présent dans sa situation. Le hasard les amena à se retrouver à Lorgol où, de fiancés, ils devinrent alliés contre la dictature. Une alliée en qui Liam a entièrement confiance… Ça ne court par les rues et c’est aussi précieux que son intégrité.

(c)Hollow Art

LISBETH D'OUTREVENT ft. Bridget Regan Sa sœur est sans conteste la personne à laquelle Liam tient le plus au monde. Complémentaires, il a besoin d’elle autant qu’elle a besoin de lui et gare à qui approche Lisbeth de trop près. Il sait la femme forte et courageuse qu’elle est, mais il ne peut éteindre ses élans protecteurs, cette petite voix qui lui dit que n’importe quoi pourrait lui arriver lorsqu’elle se trouve au loin. Leur lutte commune les lie davantage encore et, à eux deux, Liam ne doute pas de leur efficacité. Lui devant se cacher, la distance et le silence sont des maux intarissables que des entrevues clandestines ne soignent que temporairement

(c)Hollow Art

SVANHILDE NIGHTINGALE ft. Scarlett Johansson En devenant chef de la Guilde des Rebelles, Liam devanait un allié de Svanhilde Nightingale. Duchesse déchue de ses droits, réfugiée à Lorgol dans le but de renverser l’Usurpateur, si ça ne tenait qu’à ça, Liam respecterait la jeune femme comme il se doit. Cependant, elle est l’Oracle de la Confrérire Noire, un assassin, une femme qui se tapit dans l’obscurité pour frapper dans le dos. L’estime descend, dès lors. Selon le rebelle, Svanhilde s’abaisse aux pratiques du dictateur. Qu’importe ce qu’elle en répond, il n’est pas prêt d’écouter ses arguments, encore moins d’acquiescer. Mais la cause les réunissant, ils ne peuvent se permettre de faire cavalier seul… Liam réussira peut-être un jour à convaincre la duchesse de la bassesse de ses actes… ou pas.

(c)Hollow Art

KERIG SÖREN ft. Taylor Kitsch Une rencontre due au hasard, Kerig aurait pu laisser les rebelles se débrouiller avec la garde impériale, mais il n’en fit rien, les guidant plutôt dans le dédale de Lorgol. A priori, un homme non soumis et téméraire : Liam se présenta et lui proposa de rejoindre ses rangs. Kerig accepta et Liam ressentit la rage qui animait ce dernier à l’encontre d’Augustus. Il sut dès lors qu’il pouvait lui faire confiance, mais tenta également de le canaliser pour que sa rage devienne un outil plutôt qu’une tempête incontrôlable qui aurait tôt fait de leur faire défaut. Kerig aida son chef aux arts de la discrétion et, au fil du temps, la confiance en lui s’accrut au point que l’ancien voleur devienne lieutenant et le Guide de la guilde. Un lien solide les lie bien que nombre de leurs convictions et leur caractère divergent énormément.

EN VRAI

¤ PRENOM ; PSEUDO : Kettricken ¤ AGE : 20 ans (mais 5 ans dans ma tête xD) ¤ OU AS-TU CONNU DRAGONVALE ? Sur PRD et surtout par Soltana qui m’a mis le PV devant les yeux (la fourbe, j’ai pas pu résister !) ¤ TON AVIS ? DES SUGGESTIONS ? Contexte travaillé, un joli design, je n’ai rien à dire comme ça^^ A vrai dire, j’ai eu un coup de cœur, pour vous dire je ne cherchais aucun forum où m’inscrire xD ¤ AUTRE(S) COMPTE(S) : Non ¤ LE MOT DE LA FIN : OH punaise, j'ai peur

© Eden Memories

Liam L. d'Outrevent a écrit:

Oh ma Svania, quand comprendras-tu que le sang te souille autant que l'Usurpateur souille Arven ?

Bienvenuuue Oh un Liam. Oh un Jared *sors très loin*
Bon courage pour le reste de ta fiche, le plus dur est fait

Oh, bienvenue ! Un Jared. J'ai toujours eu un petit faible pour...*ZBAAAM* Bref =D Bonne chance pour ta fiche \o/

Liam L. d'Outrevent a écrit:

Merci 'Rand =D (compliqué ton nom, surtout à cette heure oO)

Solt (oh, ça me fait penser à Salt, deux guerrières en même temps.. okay, je me tais), toi, si je te vois encore déformer ma fiche, ça va aller mal ! XD

Svania, si ce sont des mots doux pour toi, alors ne t'inquiète pas, tu en auras en veux-tu en-voilà xD

Je continue certainement ma fiche demain (enfin, tout à l'heure) =)

Bienvenuuuue ! Oh Jared *-*
Bon courage pour le reste de ta fiche !