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« Folie pour folie, prenons les plus nobles - Flaubert »

feat. Johnny Depp © Pan’da

Enguerrand Sigbelian ¤ AGE : 39 ans ¤ NE(E) LE : Mars 763 ¤ A : Euphoria ¤ LIEU DE RÉSIDENCE : La tour de la confrérie noire ¤ NIVEAU SOCIAL : Petite bourgeoisie ¤ GROUPE : Confrérie Noire ¤ ALLÉGEANCE : Rebelles

HISTOIRE & CARACTERE (40 lignes minimum)

Enguerrand s’était levé d’humeur tout à fait joyeuse ce matin. En fait, il était rare que le curieux personnage se lève du mauvais pied. Aujourd’hui, pas de victime à assassinée et c’est pourquoi l’assassin de la confrérie noire s’était fixée un but important pour la journée : trouver la meilleure place pour se faire un joli jardin. Certes, ce pouvait être banal, mais Enguerrand avait grandis dans une famille où la flore était d’une importance capitale. En effet, lorsque l’on concoctait des potions illicites, il n’y avait qu’avec certaines plantes que l’on pouvait obtenir des effets hallucinogènes. Le fantasque assassin ne se faisait évidement pas un jardin pour s’adonner au métier de ses parents, mais plutôt parce qu’il avait toujours eu une passion pour l’horticulture. Il aimait les couleurs flamboyantes des fleurs et leur odeur parfumés. Pour Enguerrand, les fleurs étaient sans doute les êtres vivants les plus pures de ce monde. En effet, le pauvre avait parfois beaucoup de difficulté à établir un contacte avec les humains puisqu’il était quelque peu spécial en son genre, mais il n’en souffrait pas vraiment. De toute façon, sa bonhomie réussissait à en toucher certain, ce qui faisait en sorte qu’il n’était pas complètement seul. Il se trouvait aussi quelques activités tel le jardinage pour parer l’ennuie lorsqu’il ne faisait pas son boulot d’assassin.

Après s’être habillé, il sortit donc à l’extérieur de la tour et partit à la recherche de la meilleure place pour son futur jardin. Il fallait un endroit ensoleillé et une bonne terre qui lui donnerait de magnifiques fleurs en santé. Pourquoi pas des légumes et des fruits aussi? Enguerrand sentit l’excitation l’envahir lorsqu’il vit l’endroit parfait et que son cerveau divagua sur les diverses plantes qu’il allait pouvoir voir grandir dans ce magnifique petit coin de terre. Il émit un rire et applaudit des mains. Il commença ensuite à mesurer le terrain en faisant de grand pas. Quelques passants curieux froncèrent les sourcils en voyant l’étrange homme calculé à voix haute tout en faisant de grands pas. Lorsque le calcul fut bon, Enguerrand forma la forme d’un cadre avec ses doigts pour voir ce que ça donnerait une fois le tout fleurit. Il posa ensuite ses mains sur ses hanches, un sourire satisfait sur les lèvres. La variété florale qu’il allait avoir dans ce jardin allait embellir un peu l’endroit et mettre de la couleur. L’esprit un peu atteint d’Enguerrand se mit à imaginer ce que le jardin allait donner une fois que les pousses allaient atteindre leur maturité. Il pourrait aussi planter des arbres fruitiers à côté de son petit carré de terre. Oh oui! Maintenant il était content du résultat que ça allait donner. Son regard dévia ensuite sur la tour et un sentiment de fierté lui emplit le cœur : c’était agréable de savoir que l’on avait un chez sois. Enguerrand n’avait jamais vraiment calculé le nombre d’année qu’il faisait maintenant partit de la confrérie noire.

Ses souvenirs maintenant confus à cause des substances illicites qu’il avait eu l’habitude de prendre, Enguerrand parvint tout de même à déterrer un de ces souvenirs les plus importants : celui où un homme l’avait approché pour faire de lui un assassin. C’était le duc Nightingale. Trop enlisé dans l’oisiveté il y a de cela quelques années et trop déconnecté de la réalité, il n’avait jamais pensé s’impliquer politiquement, mais maintenant plus lucide, quoique encore parfois dans son petit monde interne, Enguerrand avait trouvé ce duc fabuleux. Il avait tout de suite adhérer à ses idées. A cette époque, il se rappelait qu’il avait été en exil à Lorgol pour une histoire bien détestable. Coureur de jupon alors qu’il n’était encore qu’un jeune oisillon qui venait tout juste de sortir de son nid, Enguerrand avait eu pour amante une jolie noble de la cour d’Euphoria. Malheur à lui, elle était la promise d’un riche seigneur, ce qui lui causa de fâcheux ennuie lorsque le dit seigneur le vit serrer sa dulcinée, tout en effectuant un contacte buccal plutôt explicite. Le seigneur l’apostropha et Enguerrand, nullement doué dans le maniement des armes du s’enfuir très loin. Quelques jours plus tard, il était recherché, car la jeune femme, n’ayant nullement envie de voir sa réputation se ternir, avait accusé Enguerrand d’avoir voulu la prendre de force.

Quelques mois plus tard, il devenait toutefois l’assassin le plus doué tout en parvenant à dorer l’image de la main de noire. Il goûta alors au plaisir de la fierté puisqu’il découvrit en lui un petit égo toujours prêt à se faire caresser. Il découvrit aussi un homme nullement effrayé et qui ne s’effarouchait point à l’idée de prendre la vie de quelqu’un. Au contraire, il aimait l’œuvre d’art à chaque fois différente que donnaient les flaques de sang de ses victimes sur la pierre d’une rue ou sur le plancher d’une demeure. Ce n’était pas tant l’acte de tuer qui lui plaisait, mais plutôt la couleur et la vue de leur sang. Rouge. Et ce rouge avait même divers ton de couleur selon la victime, ce qui fascinait notre énergumène. Oui, Enguerrand vivait parfois dans un monde de couleurs et de sons, c’est pourquoi il aimait tant la musique, la peinture et les fleurs (Oh! Des roses rouges! Il avait faillit oublier les roses pour son jardin). Oui, décidément, devenir assassin avait changé la vie de ce flamboyant personnage. En plus, cela l’avait rendu utile et il se plaisait à s’en vanter. C’est en partie grâce à lui si la petite Svanhilde, ainsi que ses seconds Siegfried et Sigvald, connaissaient maintenant l’art de l’assassinat. Il exprimait d’ailleurs un sentiment paternel très fort à leur égard et c’est pourquoi il ne se gardait pas de leur donner des présents ou de précieux conseils dès qu’il le pouvait. Oh oui, il les adorait comme un père aimerait ses enfants. Aujourd’hui toutefois, Enguerrand s’occupait plutôt des relations entre la confrérie noire et la guilde des voleurs puisque le timbré professeur semblait très proche de ceux-ci. En effet, quand on passe notre temps à chaparder quelques objets ça et là, on finit par tomber sur un voleur. Tout de suite, un sourire vint retrousser les lèvres du diplomate lorsqu'il pensa à son ami Vincent.

Fier d’avoir trouvé un endroit convenable pour son jardin, Enguerrand décida qu’il était grand temps de travailler un peu ce précieux coin de terre. Il décida qu’une visite au marché s’imposait, car il avait besoin d’outils adéquats pour ce genre de chose. Tout excité, Enguerrand décida d’aller à sa chambre pour prendre un sac et une bourse pleine de pièces.

***

Enguerrand aiguisait la lame de sa dague, tout en se remémorant le plan qu’il avait soigneusement élaboré. L’assassin de la confrérie noire connaissait son boulot ainsi que ses risques, d’autant plus que sa victime désignée était un courtisan qu’il savait important pour Augustus. En effet, le cruel roi voyait en ce noble une aide précieuse pour le maintient de son règne. Si Enguerrand échouait, il risquait d’avoir de gros problèmes. Toutefois, l’assassin ne s’angoissait pas comme à ses débuts. Il avait confiance en ses talents. De toute façon, la confrérie noire ne serait sans doute pas ce qu’elle serait aujourd’hui si sa lame n’avait pas tranchée autant de gorge de partisans d’Augustus. Enguerrand en exprimait d’ailleurs une fierté pratiquement démesurée et il ne se gardait pas de le faire rappelé à n’importe quel assassin qui osait trop le défier. Il aimait cette autorité dont il pouvait jouir. Certes, il savait toutefois s’effacer quand c’était le temps puisqu’il n’était tout de même pas le chef incontesté de cette confrérie, mais son orgueil le poussait parfois à faire étalage de son talent.

Sa lame fin prête pour trancher la gorge de ce partisan d’Augustus, Enguerrand remit sa dague dans son fourreau et enfila une cape noire. Si Enguerrand était un homme d’une grande bonhomie dans la vie de tous les jours, il était toutefois d’une grande froideur lorsqu’il était en mission. Calculateur et méticuleux, il devenait d’un sérieux déstabilisant. Tuer n’était plus vraiment quelque chose qui ébranlait sa bonne conscience, surtout parce qu’il savait que ses assassinats n’étaient jamais gratuits : ils cachaient un but précis et c’était pour venger tout ceux qu’Augustus avait injustement tué et ce par simple cupidité. Bien sûre, Augustus ne lui avait pas fait du tort personnellement, mais Enguerrand détestait l’injustice. Pour lui, c’était de la mauvaise herbes dont on devait se débarrasser au plus vite et si on prônait les idéaux de lord Augustus, on prônait l’injustice. Lorsque le duc de Nightingale était venu le voir, l’assassin avait compris cette importante chose et il s’était dit qu’il avait enfin trouvé un but.

Enguerrand enfila sa capuche et s’enfonça dans les souterrains. Après quoi, il sortit dans la nuit pour se diriger vers l’auberge où sa victime résidait pendant son voyage. A cette heure, elle devait dormir et Enguerrand avait mille tour pour parvenir jusqu’à sa chambre. Certains diront que c’était bien lâche de tuer des hommes pendant leur sommeil, mais Enguerrand n’avait jamais dit qu’il fallait tuer avec prestance pour être assassin. Pour lui, c’était l’efficacité qui comptait. Il parvint à se glisser subtilement jusqu’à la chambre de sa victime et lorsque Enguerrand fut tout prêt du lit, il se pencha au-dessus du visage du courtisan d’Augustus: il dormait paisiblement, ce qui arracha un sourire à l’assassin. Le courtisan s’agita et finit par ouvrir les yeux. Enguerrand profita donc de son moment de surprise pour lui envoyer la main et lui trancher ensuite la gorge. L’assassin s'enfuie ensuite discrètement par la fenêtre, laissant sa victime baigné dans son sang, les yeux encore ouvert de surprise

LIENS (4 lignes minimum par lien)

BAUDOIN CHANTSOMBRE ft. Misha Collins
J’ai beau lui avoir donné des chances, je suis décidément incapable de m’entendre avec lui. Je n’arrive pas à comprendre comment un homme peut avoir si peu de personnalité. Il est trop silencieux et ses manières manquent un peu de panaches. Allons Baudoin, un peu de verve bon sang! Nous n’avons pas du tout les mêmes techniques non plus en mission ce qui fait en sorte qu’on ne peut pas du tout travailler ensemble. Ce serait la catastrophe, que dis-je, le cataclysme assuré et il vaut mieux éviter cela.

JODHAA ANDHAAR ft. Freida Pinto
Jodhaa, suave et tentatrice créature. Ta jeunesse, ta beauté et cette perversion qui t’habite m’ont attiré dès les premiers instants où tu es entrée dans les rangs de la confrérie noire. Tu détonne du lot et l’originalité m’a toujours attiré. Jolie rose dont les épines peuvent piquer si on ne la cueille pas avec précaution, j’ai désiré faire de toi une amante avec qui il me plairait de satisfaire mes désirs charnels, un défi que j’ai réussit à relever. En effet, à mon plus grand plaisir, tu n’as pas hésité à me laisser relever tes jupes, expérience qui ne cesse toujours pas de se répéter aujourd’hui.

SAMTHÄNN DE VALDIS ft. Misha Barton
J’adore cette petite. Un jour, alors que je n’avais rien à faire et que j’étais au marché pour faire quelques petits achats, je suis tombé sur cette jeune femme qui semblait dérouté. J’ai tout de suite proposé mon aide, désireux de passer le temps tout en faisant une bonne action. Connaissant Lorgol comme ma poche, je lui ai donc fait découvrir quelques petits endroits agréables et insolites pendant quelques jours. Nous nous sommes entendus dès les premières minutes où nous nous sommes adressé la parole. Malheureusement, je ne l’ai plus revu depuis et je dois avouer qu’elle me manque un peu.

VINCENT DE RIVEPIERRE ft. Jonathan Rhys-Meyer
Je vole régulièrement l’argent et les objets de valeurs de mes victimes et c’est pourquoi je les apporte à Vincent pour qu’il les écoule. J’aurais toutefois du savoir que mon ami allait aussi tenter de me convaincre de devenir voleur à mon tour, puisqu’il semble trouvé que j’ai un certain talent pour cela. Je ne peux évidemment pas lui dire que je fais partie de la confrérie noire et c’est pourquoi je me contente de refuser en prétextant mille raisons. Je connais toutefois Vincent et je sais que celui-ci ne lâchera pas le morceau de sitôt, malgré mon entêtement catégorique. Outre cela, c’est un bon ami que je respecte énormément.

EN VRAI

¤ PRENOM ; PSEUDO : Doudou, Ronron, Ronronette, bref, un tas de surnoms :face : ¤ AGE : 20 ans, mais 12 ans d’âge mentale *sors loin* ¤ OU AS-TU CONNU DRAGONVALE ? Grâce à Lolo de mon cœur *__* ¤ TON AVIS ? DES SUGGESTIONS ? Z’êtes tous beaux *__* ¤ AUTRE(S) COMPTE(S) : Pas pour le moment mes petits :face : ¤ LE MOT DE LA FIN : Uni Dragonvale Sit sempiteram gloriam. Qui vitam sine termino nobis donet in patria. Amen. *sbaf*

© Adastra

ROOONROOOON ♥♥
ENGUERRAAAAAAAAND
Enfin Bon courage pour ta fiche, et je vais vouloir un lien.

Owiiiiiiiiiii Eguerrand !
Bienvenu !