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« La plus belle des roses cache toujours une épine »

© playgroundhustle■ Feat. Freida Pinto Mon amie la rose

JODHAA SORAJAÏ ANDHAAR J'ai vu le jour le 1er Février 776 à Vivedune. J'ai 24 ans. Je viens du Duché de Erebor. Mon allégeance va aux rebelles. Je suis issue des classes populaires.

LIENS

Mélisende de Séverac ; feat. Eva Green. - Confrérie Noire.

Folie contre folie. Mélisende très chère, tu es certainement celle qui me comprend le mieux. Même au sein de notre famille d'assassins nous passons toutes deux pour folles. Notre goût commun du sang et des conversations étranges font pesés sur nous les rumeurs les plus folles. Ensemble, nous repoussons les limites de l'horreur et du meurtre. Nos discussions sur les méthodes les plus sanglantes, les plus jouissives effrayent les autres, pauvres agneaux qu'attendaient-ils de deux folles ? Chère Mélisende, adorable reflet de ma folie je ne voudrais à aucun prix perdre une alliée comme toi.

Svanhilde Nightingale ; feat. Scarlett Johansson. - Confrérie Noire.

Svanhilde, ma belle, ma très chère amie. Oracle de la Confrérie tu es la raison première de ma venue. Tu as su réveiller l'espoir qui sommeillait au plus profond de mon coeur, l'espoir d'un monde meilleur où la paix serait notre seule et unique raison de vivre. Je suis dépendante de toi comme tu l'es de moi, je fais de toi une meilleure tueuse, froide et sans pitié. Svanhilde, ma tendre amie je possède à ton égard un respect sans fin, quiconque tentera de te faire du mal périra de mes mains. Il m'arrive parfois de penser à ton corps vibrant sous mes mains, mais ton statut d'Oracle te place pour moi au même rang qu'une déesse. Tu es sacrée pour moi Svanhilde.

Soltana Kamar ; feat. Aishwarya Rai. - Guilde des Guerriers.

Soltana, princesse guerrière. Ton talent est à la mesure du mien, malheureusement ta loyauté envers le tyran fait de toi mon ennemie. Mon être tout entier vibre de haine et de colère à ta vue, je ne te sous-estime pas, mais viendra un jour où je te tuerai, et ce jour là Soltana, je rendrais hommage à la grande guerrière que tu es. En attendant, il faudra que tu supportes ma présence et ma vue, car tant que je serais en vie je continuerais de narguer le tyran et ses soldats, qu'importe le prix à payer pour cela.

Ri Shi Tian ; feat. Yuri [M.O.V.E.]. - A la Cour.

Yuri, princesse gâtée enfermée à la Cour. Qui es-tu demoiselle saluant gravement la mise à mort de l'un des plus fidèle servant du tyran ? Pourquoi agis-tu ainsi ? Serais-tu là contre ton gré ? Tu as aperçue mon visage et pourtant je ne t'ai pas tué, pourquoi ? Je l'ignore. Curiosité face à ce geste de respect peut- être ? Je te retrouverai un jour et je comprendrais ton esprit. En revanche, petite princesse ne t'aventures pas trop au coeur de la Main de la Nuit, tu risquerais de ne plus entrevoir le jour.

Enguerrand Sigbelian ; feat. Johnny Depp. - Confrérie Noire.

Enguerrand, tu es différent des autres. Amant passionné et passionnant. Ta façon de penser me plaît, ton côté rêveur est reposant, presque attendrissant pour une tueuse telle que moi. J'aime nos aventures dans tout les recoins de la Tour qui regorge aujourd'hui de nos murmures et de nos cris de jouissances. Mon doux Enguerrand, toi qui sait si bien prendre soin de ta rose tu es l'un des rares que mon épine ne piquera pas. Joli jardinier, continue de tuer pour que nos corps soient encore en osmose.

EN VRAI

Mon prénom, pseudo c'est Madame X. J'ai 17 ans. J'ai connu Dragonvale par ma tendre et douce Zoubi. Mon avis, mes suggestions sur Dragonvale j'adore les codes ( xD ), et il est magnifique et je l'aime !. J'ai d'autres comptes ? Pas pour le moment héhé..

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TEST RP

Citation :

« La nuit est tombée sur Lorgol endormie. Dans la Tour de la Confrérie Noire, tes frères et tes sœurs assassins dorment paisiblement. De faction, il n'y a qu'Enguerrand Sigbelian qui vient de quitter ton lit pour prendre son quart, et Mélisende de Séverac qui rêve à son poste de garde, tout en haut de la tour. Il fait froid cette nuit, et tu escalades les marches menant au dernier étage, pour entrer dans les appartements de Svanhilde, l'oracle de la Confrérie et ton amie si proche. Tu grimpes dans son lit, tu chasses quelques pensées peu orthodoxes qui te traversent l'esprit comme à chaque fois que vous vous retrouvez seules, et vous vous endormez côte à côte, comme souvent. Tu t'éveilles une heure à peine plus tard : Svanhilde s'est levée et te demande de te préparer. Tu vas l'accompagner pour une nouvelle mission. Vous vous habillez en silence, et vous esquivez par l'une des sorties souterraines de la Tour. Votre mission ? Deux frères, dans une maison en périphérie de la ville. Ils y tiennent un bordel raffiné où les femmes sont maltraitées pour le grand plaisir de leurs clients, et une partie de leurs gains va enrichir les coffres de l'Empereur. Vous vous faufilez dans le bâtiment, et chacune d'entre vous se choisit une cible. Tu trouves la tienne : mais il est occupé avec une femme. Tu les observes depuis le coin sombre où tu t'es réfugiée quand Svanhilde te rejoint. Elle est éclaboussée de sang encore tiède et la flamme dans son regard indique qu'elle a tuée : comme toujours dans ces circonstances, elle étincelle de mort et de sauvagerie, et tu te souviens mieux pourquoi elle est l'Oracle de la Confrérie. C'est maintenant le moment pour toi d'accomplir ton serment d'assassin sur l'homme qui s'ébat dans la lumière ténue du chandelier, inconscient du Destin qui va le trouver... »

Encore pleine de désir ton regard se porte sur le corps d'Enguerrand, à présent levé. Il est l'heure pour lui de prendre son tour de garde, s'il ne tenait qu'à toi tu l'aurais déjà ramené dans ta couche afin de succomber une fois encore à cette luxure qui te caractérise tant.
Tu aimes sa façon un peu différente de voir le monde, son respect des femmes et de la nature, mais aussi sa façon de tuer. Oh oui, Enguerrand est un tueur et rien au monde ne pourrait plus t'attirer que cela. Ses mains pleines de sang parcourant ton corps, le cri de ses victimes et des tiennes se mêlant à tes hurlements de jouissance. « jolie fleur ? » , tu relèves ton regard et croises le sien satisfait. Tu sais déjà qu'au matin il reviendra. Tu aimes ce surnom qui correspond si bien à ta nature, une rose, des épines. Ton nom de code trouvé par les membres de la Confrérie Noire, tes frères et soeurs assassins. Tu te lèves et enfiles une ancienne chemise d'Enguerrand afin de rejoindre Svanhilde dans ses appartements. Ton fantasme, ton secret.

Pieds nus tu avances lentement. Tu as fais ce chemin tellement de fois que personne ne pourrait te surprendre et si cela arrivait, le poignard dans ta main suffirait à te défendre. Par la fenêtre ouverte tu regardes Lorgol endormie. Ville dirigée par ce tyran, Augustus. Tu rêverais de voir son sang couler, entendre gémir un roi, le voir à genoux devant toi, l'entendre supplier d'épargner sa vie. Une flamme de désir s'allume dans tes yeux, beaucoup te pense folle, peut-être l'es-tu, mais après tout qu'importe. Ici tu n'es pas la seule. Tu devines le corps de Mélisende au détour d'un couloir. Vous échangez un sourire complice, elle seule te comprend parfaitement. Son goût du sang fait d'elle une alliée particulièrement intéressante. Elle seule comprend cette passion qui t'anime, elle est ton reflet dans la glace, une amie digne de ton attention, ensemble vous escaladez les marches de la folie, allant toujours plus vite, toujours plus loin. Tu voudrais t'attarder avec elle mais déjà le froid envahie la Tour. Lançant un regard par dessus ton épaule à ta camarade tu t'empresses de monter les dernières marches qui te séparent des appartements de Svanhilde, l'oracle de la Confrérie, ton amie.

Si tu as accepté de rejoindre la Confrérie Noire c'était avant tout pour elle. Elle possède cette flamme qui te fait croire à un avenir meilleur. Elle t'offre l'espoir que tu pensais avoir perdu à tout jamais et sa présence t'est devenue indispensable. Tu lui fais confiance et tu donnerais ta vie pour elle, c'est d'ailleurs ce que tu fais chaque jour durant en accomplissant ta soif de sang. La Confrérie était le parfait compromis. Tuer pour un avenir meilleur. Te glissant dans la couche de la magnifique blonde, ton esprit se perd dans des images peu orthodoxes. Si tu n'avais pas peur de gâcher votre amitié tu aurais certainement tenté quelque chose. Sentir son corps trembler sous tes doigts, son souffle devenir irrégulier, tes lèvres qui ...
D'un mouvement de tête tu ordonnes à ton esprit d'arrêter. Tu n'es pas du genre à éviter les rêves et les fantasmes, mais pour toi, Svanhilde est sacrée, presque autant que la mort. Les yeux fermés, tu t'obliges à t'endormir mais ta méfiance domine et tu restes malgré tout consciente.

Une heure plus tard tu es réveillée par un bruit. Svanhilde est debout en train de s'habiller. Tu ne peux t'empêcher de l'admirer, dans ses yeux l'espoir et la détermination dominent. Tu sais qu'elle se prépare pour une mission. « Habilles- toi Jodhaa, tu m'accompagnes ce soir. »
Déjà tu sens le monstre se réveiller en toi, hurlant déjà du plaisir de tuer. Ce soir le sang coulera sur ta lame et tu en tireras un plaisir physique à la hauteur des talents d'Enguerrand. Tu enfiles ta tenue de mission et par dessus, une longue cape. Tandis que vous vous éclipsez par un souterrain, Svanhilde t'explique la situation. Tout ce que tu retiens c'est qu'ils tiennent un bordel dans lequel les femmes souffrent. La rage commence déjà à t'aveugler, tu es décidée à les faire souffrir. Vous traversez Lorgol en silence, sans le moindre bruit, jusqu'à la périphérie de la ville. C'est un magnifique bâtiment à l'architecture soignée. Telles des chats vous vous faufilez discrètement à l'intérieur, le décors est raffiné, mais il laisse cependant deviner qu'ici les femmes ne sont pas traitées comme il conviendrait de le faire. Déjà Svanhilde se dirige vers l'une des deux chambres, toi, tu t'approches discrètement de celle du second frère.

Faisant preuve d'une discrétion sans égale tu restes caché dans l'ombre. De là, tu peux apercevoir ta cible violenter une femme. Tu sens lentement la rage se répandre en toi tel un venin mortel. La créature en toi se met à hurler au rythme du viol qui se déroule sous tes yeux. Tu voudrais intervenir mais la loi de la Confrérie t'en empêche. Tous les témoins d'un meurtre de la Main Noire doivent périr. Alors tu restes là, dans l'ombre, à regarder cette abomination sans nom qui te replonge dans la partie la plus sombre de ton enfance. Tu étais jeune et innocente. Une douce créature ignorant encore la couleur du sang et le bruit des armes. Tu vivais une vie dorée avec tes parents qui te chérissaient plus que leur propre vie. Puis un jour, tout a basculé. Augustus avait ruiné tes parents, ils lui avaient donnés tout leur argent et se retrouvaient à présent sans le sous. Tu étais leur unique espoir Jodhaa, leur seule ressource. Ils t'ont vendus au plus offrant, encore et encore. Nuit après nuit, salissant ainsi ton corps, ton esprit et ton honneur. Ta fierté a toujours été très forte, c'est certainement pour cela que le monstre c'est réveillé. Cette petite voix dans ta tête qui après chaque viol t'ordonnait de te rebeller. Tu as tenté de lutter, c'est vrai, mais elle était trop forte. Alors une nuit, après un énième viol tu as brisé le crâne de cet homme qui venait d'abuser de toi. Sans l'ombre d'un doute, guidé par un instinct sauvage, tu as attrapé un morceau de beau et, avec une force presque surhumaine, tu as frappé encore et encore jusqu'à ce que le sang se répande à tes pieds. Cette couleur, ce rouge. Magnifique, éclatant, signe de la libération. Tu as attrapé le poignard de l'homme et pleine de rage et de détermination tu as lavé ton honneur. Tu as assassinée tes parents. D'abord ton père sous les plaintes incessantes de ta mère. Tu l'as accusé de t'avoir vendu, de ne pas avoir su te protéger du monde extérieur, il ne méritait pas de vivre. Il ne méritait pas de te regarder dans les yeux, alors tu l'as rendu aveugle. Le sang coulait, et plus il y en avait, plus le plaisir grandissait en toi. Après avoir achevé ce géniteur indigne, c'est vers ta mère que tu t'es retourné. Elle n'était qu'une pauvre loque roulée en boule par terre à supplier tu ne savais quel dieu stupide. Elle aussi devait payer pour avoir laissé faire cela. Quelle mère digne de ce nom laisserait souffrir son enfant de la sorte ? Elle était sans coeur, et c'est cet organe que tu as décidé d'arracher. Poignardant, découpant, tu lui as pris son organe vital et tu l'as écrasé. Tu as sauté dessus une heure entière hurlant au monde ta colère et ton plaisir. Le sang avait coulé, le prix était payé.

Assister à un viol est toujours pénible pour toi. Tu as assassiné tour à tour tout ceux qui avait abusé de toi. Tu as une mémoire sans faille et tu sais t'en servir. L'homme s'est soulagé, et à tes côtés Svanhilde est désormais là. Dans ses yeux la mort règne. Elle est belle ainsi, fière, le visage remplit de sang. Il n'y avait pas eu un bruit. Elle est ton contraire, elle veut tuer vite et oublier, tandis que toi, toi Jodhaa, tu désires voir tes victimes souffrir, tu en tires un plaisir inhumain qui te vaut cette réputation de folle à lier. Alors lentement, à pas de loup tu es sortie de l'ombre, ton visage entièrement caché. L'homme s'est retourné et à la vue de ta silhouette de femme il a éclaté de rire. Tu souris déjà de sa bêtise, les hommes et leur ego tous les même. Ils ne peuvent imaginer qu'une femme soit à l'origine de leur mort. « allons ma toute belle, tu vas te blesser », stupidité maladive, leur confiance causera leur perte. D'un geste rapide tu lui tranches la main droite. Il hurle et tu restes là, les yeux fermés à savouré ce son si doux à tes oreilles. A la vue de son sang une agréable chaleur envahi ton ventre. Tu viens de retrouver ton doux et tendre ami, l'homme est jeune son sang est d'une belle couleur rougeâtre. Il est à genoux devant toi, te suppliant déjà de t'épargner. « la Confrérie Noire vous condamne à mourir » , la folie commence déjà à pointer le bout de son nez dans ta voix. Tu t'avances vers lui quand soudain il sort de sa poche une dague. Il ne semble pas très à l'aise avec la main gauche, mais sa résistance te plaît, ce soir, tu auras ce que tu veux. Tu esquives ses maigres tentatives d'attaque avec une facilité déconcertante. Tu es souple Jodhaa, telle un félin tu tournes autour de ta proie frappant ici et là, tranchant une oreille puis l'autre. Une flaque de sang commence à se former aux pieds de ton adversaire, tandis que les battements de ton coeur s'accélèrent. Tu la sens arriver, la Mort. Cette vieille connaissance qui te fascine et qui te fait plonger chaque fois un peu plus dans les tourments de la folie. Tu es maître d'une vie en cet instant précis il est essoufflé, poignardé d'un peu tous les côtés, tu ne lui as laissé aucunes chances cette nuit. Mais le jeu doit s'arrêter, Svanhilde patiente alors, tu te fais l'instrument de la mort. Comme une chorégraphie parfaitement répétée tu te jettes sur lui en lui coupant la seconde mains avant de t'acharner sur son corps que déjà la vie avait quitté. Combien de femmes ce porc avait-il condamné ? Alors tu frappes, encore et encore, son sang t'éclabousses le visage et tu ris, encore et encore jusqu'à n'en plus pouvoir.

Il ne reste plus rien à présent que quelques bouts de chair éparpillés dans la pièce. Aucune chance non. Essoufflée tu t'arrêtes quelques instants les yeux fermés devant ce carnage. Ce soir encore, l'épine de la Confrérie Noire aura fait ses preuves, cette nuit tu aura une fois de plus distillé ton poison dans le coeur de Svanhilde. Tu sens son regard posé sur toi, cette étincelle d'envie dans ses yeux. Il fut un temps où elle ne pouvait observer tes meurtres sans détourner le regard, aujourd'hui tu sais qu'elle admire, qu'elle observe. Tu voudrais la serrer dans tes bras et lui faire l'amour là, dans tous ce sang. Tes pensées se bousculent mais ta raison refait surface. Il faut rentrer, Sigvald attend.

Pervers.

Hem. Bienvenue jolie demoiselle !

Courage pour le bac. Tu verras, c'est après que ça devient dur. *out*

Bienvenuuue Miss Jodhaa !
Freida *-*

Bienvenuuue Bon courage pour ta fiche, amuse-toi bien ici et bienvenue dans l'équipe même si j'y suis plus *sors*

Castiel de Sombreflamme a écrit:

Oh oui, battez-vous pour moi.
Nues, de préférence, les filles.