© Paolo Pellegrin

"Nous ne sommes pas des héros, mon fils. Nous sommes des combattants."

© Nightmare Feat. Robert Downey Jr Sympathy for the Devil

Magnus D'Anthenor J'ai vu le jour le 13 mai 763 à à Port-Liberté, plus précisement à la cour du duc d'Ansemer, où mes parents résidaient à ce moment là. J'ai 39 ans. Je viens du Duché de Ansemer. Mon allégeance va aux rebelles. Je suis un noble déchu : autrefois, j'étais comte d'Anthenor.

TEST RP (20 lignes minimum)

"Père, vous ne pouvez pas faire çela...c'est purement injuste !"
Les pièces de l'armure produisaient un bruit métallique, alors que Magnus tentait de rattraper son père Lancehild à travers le chateau. Il ne comprenait pas, ne comprenait plus ce qui avait poussé le vieil homme, lui, Lancehild d'Anthenor, son père, ce vieillard sage et aimé de tous, avec sa barbe blanche et ses yeux bleus, à prendre maintenant cette décision.

Le vieil homme s’arrêta enfin devant l'immense vitrail du hall du château, celui qui représentait la rose gueule sur fond noir, symbole des Anthenor depuis 800 ans. C'était une allégorie représentant Roseburn, la rose brulée, l'épée d'or que portait traditionnellement le Comte régnant. Lancehild contemplait le vitrail, derrière lequel s'étendait les terres de la famille, puis la mer sur laquelle brillaient les voiles blanches l'Astoria, navire du nom de la mère de Magnus, morte il y a bien longtemps.

Derrière lui, venait Magnus, unique héritier de la couronne comtale. Il revenait de son entrainement quotidien, celui qu'il pratiquait pour rester en bonne forme et assurer sa maîtrise de l'épée. Il portait l'armure noire décorée d'arabesques dorées que son père lui avait remise quand il avait atteint l'age adulte. Sur le plastron se découpait fièrement la rose rouge des Anthenor. Magnus avait enlevé son heaume, qu'il tenait à la main.

"Ce n'est pas injuste, Magnus. Seules une poignée de personnes sont vouées a diriger un peuple. Nous n'en faisons pas partie. Nous, les Anthenor, servons dans l'ombre le bien, depuis des générations. Nous ne sommes cependant pas des héros, mon fils. Nous sommes des combattants. Comprends-tu ?
- Oui, père, mais...
- C'est pour cela que je refuse que tu prennes la tete d'un réseau rebelle, que tu en créé un, mais que j'accepte que tu rejoignes ceux existants.
- Mais vous, père...
- Je suis trop vieux. Augustus n'a pas d'interet à m'éliminer, je ne représente rien. Et je serais inutile aux rebelles. Toi, en revanche, tu es l'un des meilleurs guerriers que j'ai jamais vu. Avance, mon fils, ais confiance. La rose brulée resplendira de nouveau.
-Père ?..."

Magnus fronça les sourcils. Lancehild avait tiré Roseburn. Et il avait prononcé la phrase sacramentelle, celle qui lançait la cérémonie d'intronisation du futur comte...

"A genoux, Magnus.
- Mais...
- A genoux."

Il obéit. Lancehild reprit :

"Moi, Lancehild, comte d'Anthenor, fils de Siger et de Mélusine, par les pouvoirs qui me sont conférés, je juge et je donne. Au nom de tes Ancêtres, Magnus, fils de Lancehild et d'Astoria, tu me succède et deviens comte d'Anthenor. Jures-tu fidélité, honneur et d’être juste envers ton comté et tes sujets ?
- Je jure."

Lancehild toucha les deux épaules de son fils, puis sa tête, du plat de l'épée. Le sort était scellé. Magnus n'avait pas eut le choix, cette fois là. Il avait été obligé d'accepter.

"Prends l'épée, comte d'Anthenor. Elle est tienne, à présent."


Magnus se souvient. Monté sur son cheval de guerre, il brandit l'épée d'or, encore et toujours. Il rabat son heaume d'un geste. Ce combat, il le méne pour la liberté. Et pour ce veil homme, mort à présent, qui croyait en lui.
"Regarde moi, père. Nous les vaincrons."

CARACTERE (8 lignes minimum)

Le moins qu'on puisse dire, c'est que Magnus n'est pas un caractère banal.

Il est excessivement têtu, et rancunier, et il est très dur de lui faire admettre qu'il a tort sur un point. Oui, on peut dire qu'il est de mauvaise foi. Dans l'ensemble, c'est plutôt un homme calme, mais lorsqu'il se met en colère, c'est très impressionnant, et surtout il est incapable de s’arrêter dans ce genre de phase. Cependant, il finit toujours par s’arrêter de lui-meme.

C'est aussi un homme loyal et fidèle, qui, lorsqu'il accorde son amitié, ne la reprend jamais. C'est un homme de parole, il essaye de respecter ses promesses. Son tempérament obstiné fait que lorsqu'il défend quelque chose ou quelqu'un il va jusqu'au bout. Cela vient peut etre du fait que sa mère Astoria de Malibren, venait du duché d'Outrevent, duché de l'honneur et de la loyauté.

Un des gros problèmes de Magnus, c'est aussi son penchant dépensier et flambeur. Surtout pour plaire à ces dames. Bien qu'il ait une femme et une fille, c'est un cavaleur, et il enchaîne les conquêtes.

Autrement, c'est un homme jovial, sympathique, à l'humour un peu cynique, mais en général apprécié. Toujours de bonne humeur, il ne se considère vaincu que lorsqu'il est mort.

En tant que comte, il essaye, essayait, devrions-nous dire, c'est plus exact d'employer le passé, d’être juste et impartial. Généreux avec ses sujets, il s'est toujours préoccupé de leur sort, avant meme de s'occuper du sien.

Homme cultivé, libre penseur, son père l'a laissé se faire une idée seul sur le régime de Lord Augustus : Magnus en a conclut qu'il fallait rétablir un roi ou une reine légitime. Le régime est injuste, il faut donc le modifier. Pour le modifier, il faut se rebeller. Pour se rebeller, il faut éliminer ceux qui doivent mourir.

Homme d'une logique implacable, il est pret à tuer pour rétablir un jour un monarque légitime. Assassiner quelqu'un ne lui fait ni chaud ni froid, du moment qu'il a offert à son adversaire la possibilité de se défendre. Certes le mot assassiner ne va pas bien avec le mot honneur, Magnus le reconnait. Mais il est comme ça : plutot mourir que de trahir son honneur. Meme si ça compromet sa mission. Cependant ce genre de cas n'est jamais arrivé : le comte d'Anthenor remporte toujours les duels qu'il engage.

Ajoutons enfin que Magnus (Mag, comme on l'appelle souvent) est un excellent bretteur et un cartographe reconnu. L'épée et l'escrime n'ont pas de secret pour lui, et aussi bien sur le plan pratique que théorique, il n'a d'égal que dans la ligue des guerriers. Quand à la cartographie, il y est passé maitre, venant d'une famille de navigateur.

HISTOIRE (10 lignes minimum)

"Comment osez vous ? De quel droit ?..."
Magnus est debout, encore une fois en armure. L'épée et la masse d'arme, ses deux armes favorites, sont comme d'habitude accrochées à son ceinturon. Il fait les cent pas devant le trône des comtes d'Anthenor.

Il se rappelle. Son enfance tranquille, passé à courir près du bord de mer, ses voyages, ses études...le jour où il a été intronisé duc, le serment qu'il a fait au duc d'Ansemer, celui qui lie ces deux familles depuis la nuit des temps. Ses multiples voyages La rencontre avec sa femme, Catharina de Loeran. La naissance de sa fille Astoria. La mort de son père, Lancehild. Oui, tout revient d'un coup au comte Magnus d'Anthenor.

Né un jour de mai à Port-Liberté, son enfance est banale, semblable à celle de tous les enfants issus de la noblesse. Son père Lancehild, XXIème du nom, 4éme comte d'Anthenor l'élève seul : la mère de Magnus, Astoria, est morte en lui donnant naissance.

Il lui donne une éducation complète : maniement des armes, études des textes anciens, navigation, cartographie, commerce...tout y passe. Les comtes d'Anthenor sont connus pour deux choses : leur sens du commerce, et leur connaissance de tout ce qui touche de près ou de loin à la navigation navigation. Magnus ajoute à ces deux qualités une connaissance très sur de l'art militaire.

A vingt et un ans, il devient comte d'Anthenor, lorsque son père décide qu'il est temps pour lui de se retirer. Quelques années s'écoulent lentement. Lancehild meurt à l'age avancé de 98 ans. Le comté prospère, gouverné de manière juste. Magnus s'occupe tour de la justice, de l'art, ou des conditions de vie de ceux qui habitent Anthenor, l'un des cent ports du duché. Il inspecte aussi les quelques terres qui se trouvent autour : il y en a peu. Le domaine sur lequel il règne, c'est plutot la mer.

Magnus se marie à la Baronne Catharina de Loeran, fille du Baron Vener de Loeran, général d'Augustus originaire du duché de Bellifère. Les parents de Catharina soutiennent le Lord. Pas elle, qui cherche à fuir sa famille, qu'elle considère comme folle à lier et dangereuse, entre son père le général, et sa mère qui domine son monde. Magnus adore Catharina. Il lui promet de l'emmener loin de ses parents si elle l'épouse. Elle est amoureuse. Alors elle accepte.

Mais Magnus ne lui est pas toujours fidèle : peu après son mariage, il lui annonce qu'il a eu une liaison avec la vicomtesse Adelaide de Barançon, et qu'il a un fils batard : Tristan d'Anthenor, qu'il a reconnu. Catharina lui pardonne, et élève Tristan comme son propre fils. Ils n'ont qu'une fille, Astoria, née en 786, aujourd'hui agée de 16 ans. Tristan, agé lui de 19 ans, est donc le comte héritier d'Anthenor.

Si à travers ses voyages et ses lectures Magnus s'est résolu à soutenir les rebelles, Lord Augustus ne s'interesse guère à son comté. Pourquoi ? La raison en est simple. Les Saldenow lui garantissent que Magnus ne fera rien contre eux, et donc contre Augustus. Tout ceci en vertu du serment solennel qui unit ces deux familles depuis le Ier siècle avant Ortarius.

L'histoire de ce serment est simple : Elle remonte aux temps où les Saldenow étaient rois d'Ansemer. On raconte que le premier serment fut passé entre Tristan Ier d'Anthenor, et son oncle le roi Mark d'Ansemer. Ils étaient amoureux de la meme femme : Yseult, qui devait épouser Mark et qui aimait, devinez qui...Tristan. Le roi la laissa au comte. Mais ils passerent un serment : les comtes d'Anthenor seraient toujours fidèles aux Saldenow, et ceux ci seraient toujours leurs suzerains.
Lorsque les Saldenow devinrent Ducs d'Ansemer, fidèles aux descendants d'Ortarius, la famille d'Anthenor considèra que leur allégeance irait elle aussi à ces rois. Quand Augustus prit le pouvoir, ce fut le premier sujet de discorde entre les deux familles. Magnus IV (le notre est Magnus VIII) alla alors voir la duchesse d'Ansemer, et lui dit :
"Nous avons à vivre et mourir par l'épée. Vous pour Augustus, nous pour la liberté. Nous respecterons notre serment. Seulement, souvenez vous que vous aussi devez le faire."

Magnus sort de ses pensées. C'est de l'histoire anciennne. Il faut se concentrer sur le présent.

A ses cotés, sa fille, si belle, comme un ange blond aux yeux bleus. Elle ressemble à Catharina, sa mère. Dieu que cette femme est belle. Dieu qu'elle va lui manquer. Tristan lui manque aussi. Il est parti en voyage sur la mer, commandant un vaisseau d'exploration. Qui sait quand il reviendra, s'il revient ?

Pour peu, Magnus en pleurerait. Il voit bien que tout s'effondre autour de lui. Mais il sait qu'il doit rester digne. Sinon, c'est fini, bien fini.
Et l'autre qui se pavane, qui reste. Martial de Bellifère, duc héritier du duché du meme nom. Fidèle à Augustus. Traître au royaume. Allons. Quelque temps encore, rester poli. Ce n'est qu'un gamin. Il ne peut rien contre lui. Magnus sait, pourtant. Un jour Martial sera bien plus puissant que lui. Mais pour l'instant, il est maitre chez lui.

Le gamin reprend :

"Lord Augustus vous donne le choix : soit vous rallier à sa cause, soit etre déstitué."

Magnus a un rire sec :

"Lord Augustus n'a pas d'autorité sur moi, je ne le reconnais pas comme roi. Toi non plus, mon garçon.
- Vous le reniez donc ?
- Oui.
- Alors vous serez destitué, comte Magnus.
- Pas par toi, mon garçon ! Réplique celui-ci avec un grand rire. Les dernieres personnes dont je reconnais la légitimité dans ce duché sont les ducs d'Ansemer. Mais toi..."

Il regarde son heaume, qui repose, bien droit, à quelques centimètre de lui, sur un coussin à coté du trône. La couronne d'or des comtes d'Anthenor y est soudé. Ainsi si quelqu'un veut la prendre, il doit prendre le heaume de Magnus, ce qui n'est pas chose facile, puisqu'en général, soit il le porte, soit il le garde à ses cotés.
Lentement, l'autre tire son épée. Un duel s'engage. Chacun tourne, attaque, pare. Mais Magnus finit par mettre l'autre en déroute. Il faut dire que l'épée a toujours été son domaine de prédilection. La bataille est gagnée. Pas la guerre. Le comte d'Anthenor sait que maintenant, il n'a plus le choix, il faut partir. Il envoie alors sa femme et sa fille au domaine des Loeran. Là, elles seront en sécurité, car Vener de Loeran, son beau-père, est un des plus fidèles partisans d'Augustus. Bien lui en prend.

Alors que lui-meme est en chemin pour rejoindre Lorgol, il est attaqué par Dolph Saldenow. C'est la fin du serment qui unissait ces deux familles. Depuis la fondation du royaume, la famille Anthenor jure de protéger les ducs d'Ansemer. Jusqu'à là, malgré les différences de points de vue (les Anthenor contre Augustus, les Saldenow pour), le serment a toujours été respecté. Maintenant il est trahi, et nul ne peut revenir en arrière.

Au final, Magnus arrive entier à Lorgol. L'éveil est commencé, on est 802. S'il n'est plus comte de grand chose, car à proprement parler, il ne reste plus au fils de Lancehild que son titre, il rejoint la confrérie noire. La famille Anthenor est connue pour toujours s’être opposée à Augustus. Magnus ne fait pas exception à la règle.

Pourquoi la Confrérie noire plutôt que la Guilde des rebelles ? Parce qu'Agustus est allé bien trop loin dans la folie et dans le crime. Oui, les méthode de Svanhilde Nightingale sont extremes, Magnus le reconnait volontiers. Oui, ces méthodes, qu'il a aussi adoptées, sont terribles et au memee niveau que celui d'Augustus. Mais y-at-il un autre choix possible ? Le royaume en est arrivé à un stade où il n'y a plus d'autre possibilité que de combattre le mal par le mal.
Activiste, et engagé, il participe à toutes les missions et aide à établir les plans d'actions. Son nom de code : l'épée, en référence à Roseburn, son arme de prédilection.

Il respecte aussi beaucoup la Guilde des rebelles, malgré les différences entre celle-ci et la Confrérie noire. Cependant, il préfère les méthodes de celle-ci, plus active selon lui. Excellent combattant, il a depuis longtemps abandonné l'armure du comte d'Anthenor pour la tenue noire et discrète de l'assassin. Seule constante : chaque meurtre qu'il commet se fait à l'épée, non pas au poignard. Il offre toujours une chance àses ennemis de s'en sortir.

Magnus attend beaucoup de l'Eveil. Il y voit une chance que des Magiciens se joignent à eux pour aider à renverser Augustus. Ainsi, peut-etre un nouveau roi, ou une nouvelle reine, accédera-t-il au trone et rétablira la justice.
Peut-etre pourra-t-il alors revoir sa femme et sa fille, et récupérer son comté...

LIENS (4 lignes minimum par lien)

Svanhilde Nightingale. L'oracle de la confrérie noire. Grande magicienne, Magnus lui voue une loyauté sans faille, plus encore qu'aux Saldenow. Il serait pret à mourir pour elle si elle lui ordonnait. Entre ces deux-là, il y a beaucoup de respect mutuel, memee si aucun des deux ne l'avouera jamais : l'essentiel de leur relation se base sur des piques ironiques lancées à tout bout de champs. Si la duchesse héritière de Nightingale fait entièrement confiance à Magnus pour l'accomplissement de ses missions, elle reste cependant dubitative par rapport à la vision d'un assassinat qu'à Magnus. Que s'embarasse-t-il de proposer un duel à sa cible ? C'est inutile et dangereux. Enfin, nous terminerons en révélant que Svanhia déasprouve formellement le serment passé entre les Anthenor et les Saldenow, au moins pour Dolph qu'elle aimerait bien voir mort. Elle est plus partagée sur Chart, alors elle laisse faire, mais son avis est clair : un assassin n'a pas à s'embarasser de promesses d'honneur.

Liam d'Outrevent. Un allié potentiel, come tous les membres de la Guilde des rebelles. Malgré son jeune age, Magnus le considère comme quelqu'un de responsable, et comme un bon stratège militaire. Comme pour tous les rebelles, que ce soit de la confrérie ou de la Guilde, il estime que Liam mérite son respect. Il admire sa droiture, ais reste sceptique face à ses méthodes. Il devrait, selon Mag, parler moins et agir plus.

Martial de Bellifere. Un ennemi. Magnus le déteste, car c'est lui qui est venu lui annoncer le premier qu'il n'était plus comte. Arrogant, et sur de lui, le comte d'Anthénor lui ferait bien sa fête, et achèverait bien le duel commencé mais jamais terminé. Mag a d'ailleurs une cicatrice sur la lèvre inférieure due à un coup d'épée de Martial.

Chart Saldenow. Comme à tous les membres de la famille ducale d'Ansemer, Magnus est lié à Chart par serment solennel : il lui doit protection, en échange de quoi les Saldenow seront toujours alliés avec la famille d'Anthenor. Si Magnus s'estime par la force des choses délié de son serment envers Dolph et sa mère Océane, il le respecte envers Chart, qui en retour le considère comme un ami.

Dolph Saldenow. Autrefois, c'était l'homme qu'il avait juré de protéger quoiqu'il arrive. Depuis qu'ils se sont combattus, Magnus ne sait plus trop quoi penser ni trop quoi faire face à Dolph. Certes, c'est un ennemi, certes, comme il l'a attaqué, ils ne sont plus alliés, mais il répugne quand meme à le combattre ou à lui faire du mal. Il est partagé sur cet homme, dont il n'approuve pas les idées, mais dont il sert la famille depuis longtemps...

EN VRAI

Mon prénom, pseudo c'est Je suis une mystérieuse inconnue, mais vous pouvez m'apellez Nightmare. J'ai X ans. J'ai connu Dragonvale grace à Poudnoir, avec qui le forum s'est lié. Mon avis, mes suggestions sur Dragonvale rien, tout est parfait pour l'instant. J'ai d'autres comptes ? Non, pas du tout.

© Nightmare

Citation :

1: Robert Downey Jr est un PV en préparation, et assassin de la Confrérie Noire Ça m'ennuie de faire autant doublon avec un de nos PV. Il faudra que j'en parle avec toi au niveau des liens prédéfinis, voir si on peut fondre ton personnage dans notre PV, car le PV en question est super important pour la prochaine intrigue, on pourra pas faire sans, et Robert est le seul vava qui colle à 100% Va donc falloir mixer tout ça xD

2: Les liens justement. Tu n'as pas à remplir cette section, c'est juste pour les PV. Ca semble évident, les inventés n'ont pas de liens prédéfinis, car précisément ce ne sont pas des personnages prédéfinis

3: Pour l'entrée dans la Confrérie Noire, ça ne colle pas. On y rentre sur recrutement privé par l'Oracle et les lieutenants, pas comme ça sur un coup de tête xD Là aussi on en parlera, maintenant que Sigvald est joué aussi, pour écrire quelque chose de cohérent