Admin ♥ Sang de colèreOctavius Sang-d'Argent Messages : 51 Je réside : à Hacheclair Mon occupation est : capitaine de la garde royale de jour d'Augustus Poing-d'Acier de Bellifère et tête de la Guilde des Guerriers Mon allégeance va : à Augustus RegistreÂge du personnage: 32 ansTitres: Autres visages: Castiel de Sombreflamme & Louis de Brunante & Bérénice du Nénuphar-des-Lys | Sujet: OCTAVIUS ¤ La colère est un bien mauvais maître Dim 17 Fév - 21:02 | |
| Octavius Sang-d'Argent damned deadpool deadpool ft. Liam McIntyre 29 août 771 à Nimrod 31 de Bellifère à Augustus Poing-d'Acier issu des classes populaires, mais tout de même fiancé à Diana de Rocnoir, fille d'un seigneur d'Outrevent. Avant tout, je suis un guerrier Témoin « Mais qu'est-ce que t'as pas compris dans "pas avant le mariage", bougre d'idiot de Bellifère ? Tu es à moi, sale petite garce, je fais ce que je veux. Je t'appartiens pas ! Je suis pas une de tes putains de ton duché d'ânes, pas comme ta mère ! » La gifle vola, une gifle donnée de cette main immense, musculeuse et rêche, venant s'écraser sur la joue de la rouquine. Qui répliqua elle-même d'une gifle cinglante avant que les lèvres d'Octavius s'écrasent sur les siennes, en un baiser brutal et exigeant. Petite conne. C'était la même chose à chaque fois qu'ils se voyaient, jamais assez souvent au goût d'un guerrier qui voyait un certain attachement se développer face à l'Outreventoise tout feu tout flammes. Ils s'embrassaient, rigolaient, il tripotait son corsage, elle le repoussait, il insistait, elle répliquait, il sortait sa dague pour en couper les cordons de cuir, elle le frappait, il gueulait, elle l'énervait, il la frappait, ils s'embrassaient encore. À croire qu'ils aimaient ça. Peut-être un peu, tout de même. Ses bras puissants soulevèrent la femme contre le mur de pierres, la calant contre son bassin qui effectuait des mouvements évocateurs auxquels elle répondit par instinct, sans vraiment savoir, leurs vêtements créant une barrière bien mince face à l'envie de l'homme, avant qu'elle dégage son visage et interrompe le baiser. « Repose-moi, Octavius. Et pourquoi je ferais ça, hein ? Ce serait si facile de continuer, t'écartes déjà les jambes, t'attends juste ça. » Son sourire était gourmand, mais il se crispa quand la main de la femme enserra son héritage familial, dirons-nous, d'une poigne qui ne laissait pas place à la discussion. Garce. Il relâcha sa prise et l'Outreventoise reprit pied, repoussant son fiancé pour replacer ses vêtements un peu... défaits, avant de rassembler sa crinière de feu en une longue tresse. Il soupira, se laissa tomber sur le fauteuil défoncé, un des rares meubles de la pauvre masure qu'il occupait. « Tu reviens quand ? » Un haussement d'épaules. « J'vais pas t'attendre que Dragonvale nous tombe encore sur la gueule, Diana. » Surtout pas sur sa jolie gueule à elle. Sa voix s'était fait menaçante et elle se retourna, répondant sèchement : « Je reviendrai quand j'en aurai fini avec mon père. Un truc à régler qui te plairait pas trop. Et après, on va se marier, foutre de merde ? Ta main droite ne te suffit plus ? » Voix moqueuse, voix rieuse, il se releva pour attirer à lui Diana et la faire s'asseoir à califourchon sur lui, l'embrassant une nouvelle fois à pleine bouche. C'était une réponse comme une autre. Il savait ce qu'elle allait faire, soit continuer la révolution en Outrevent, tout comme elle savait ce que lui allait faire, se battre pour le tyran en Bellifère. Ils allaient se haïr, se hurler dessus encore plus, se battre, se frapper, se mordre, pour tout ça. Le baiser se termina presque doucement, presque tendrement. Les mèches folles rousses chatouillèrent le nez d'Octavius. « Oui, après, on va se marier. Foutre de merde. En attendant.... » ... fais attention à toi. Nimrod. Un village de Bellifère presque frontalier à la fois d'Erebor et de Nightingale. Un village pauvre, d'illettrés qui ne faisaient que des enfants pour ensuite les envoyer à la guerre, faute de pouvoir leur donner mieux. Octavius. Le huitième derrière sept autres enfants, des filles mortes en bas âge, des aînés tués trop tôt au combat, un enfant de plus à nourrir. Seulement, celui-ci était un battant. Un violent. Un agressif qui voulait vivre, se battre, et qui réussit là où ses aînés avaient échoué. Un petiot élevé dans l'admiration inconditionnelle d'Augutus, un homme bon qui avait su récompenser le Bras armé d'Arven, qui lui serait toujours reconnaissant. Sans doute cette idée de le servir lui avait-elle toujours trotté dans la tête, sans qu'il puisse clairement la formuler avant sa vie de jeune adulte. Le Belliférien apprit à manier l'épée très jeune, y démontrant une grande adresse qui en fit que devenir plus affirmée en grandissant, se couplant de plus à un physique de combattant qui n'avait rien pour le désavantager. À dix-sept ans, alors qu'il n'avait même pas fini de grandir et n'était pas encore la montagne de muscles, de cicatrices et de rares sourires qu'il est désormais, il laissa ses parents pour partir gagner sa vie, mais surtout des combats.
Il fit le tour de Bellifère, se battant contre tous les volontaires et les mettant tous à terre. Il fut mille fois blessé, guérit, frappé, mordit la poussière plus que son quota de fois, mais toujours il revenait à la charge et ne quittait jamais un village sans avoir gagné. Jamais. Une ténacité qui le mena jusqu'à Hacheclair, centre névralgique de Bellifère, où il commença lentement son ascension guerrière jusqu'à devenir favori d'arène. Octavius y fit d'ailleurs la rencontre de sa fiancée, l'explosive Diana, qu'il défit en duel, gagnant du même coup sa main qui jamais n'hésitait à l'épée - une femme qui le voulait lui, coûte que coûte, tant pis pour la noblesse et les manières. Fort de son titre, très convoité dans le duché de la guerre, il quitta pour Lorgol, sortant pour la première fois des terres de Bellifère. Son but ultime : se faire voir par Augustus, son idole, son Empereur. Son rêve d'enfant, soit de devenir Augustus, s'était mué jusqu'à devenir celui de le protéger, d'être son bras fidèle, de lui devoir sa vie. Malheureusement pour lui, Dragonvale chuta du ciel bien trop tôt, bien avant que l'homme puisse voir en lui celui qu'il recherchait pour être son garde le plus loyal. Octavius suivit évidement l'ancien tyran en Bellifère, où il devint roi. Son objectif n'a pas faibli, il est même plus fort, et pour son roi, il est prêt à tout. Il fait peur, Octavius. Il effraie, avec son faciès éternellement sérieux et son épée dont il ne nettoie jamais tout le sang, dont il laisse la lame rouge, comme un avertissement pour tous ceux qui le croisent. Il exhale une aura de danger, de puissance, renforcée par un physique imposant et, au final, un caractère belliqueux, hargneux, qui semble être inspiré de tous les archétypes bellifériens. Un guerrier assoiffé de sang, de victoire, de vengeance si quelqu'un lui fait une quelconque crasse, un homme dont la seule once de morale se situe dans une loyauté fanatique et sans failles, dans une adoration obsessionnelle de ce tyran déchu qui est désormais son roi. Un homme à la franchise aussi tranchante que son épée, élevé pauvrement et sans dignité réelle, à respecter les lames plus que les hommes. Une brute intolérante, violente, qui prend ce qu'il exige, de gré ou de force, qui jure, qui crache, qui frappe et qui ne se laisse que difficilement approcher, toujours en rendant chaque coup et aucunement chaque caresse, qui ne croit que difficilement à la magie et se retrouve sans défense, quasi terrorisé, par cette chose contre laquelle il ne peut rien. Octavius a constamment besoin de prouver qu'il est le meilleur. Le plus fort. Le plus agressif. Celui qui crie plus fort que les autres, qui en fera toujours plus, qui est infatigable. Il vise à devenir général d'armée, ou sinon celui qui sera le plus près d'Augustus, prêt à donner sa vie pour la sienne. Et pourtant, il sait bien qu'il ne pourra jamais devenir général d'armée. Il n'est pas une flèche, comme on dit. Pas particulièrement malin, élevé à la brutalité, à la rudesse, dans un monde où l'intellect est réservé à une caste supérieure et non pas aux roturiers, aux pauvres comme lui qui ne savent ni lire, ni écrire, à peine compter. L'art de la stratégie, la diplomatie, la ruse ça lui échappe complètement. Lui est bon pour cogner, frapper, et après réfléchir. Parfois. Ça ne l'empêche pas d'espérer qu'un jour, on le remarquera un peu plus, toujours plus. Revanchard Brutal Agressif Loyal Obsessif Vulgaire Susceptible Franc Intolérant Augustus Poing-d'Acier Gerard Butler Calices Il a été élevé dans l'adoration totale du tyran et cette admiration sans bornes pousse le Belliférien à un fanatisme effrayant. Qu'un homme de son genre, aussi violent et tenace, puis être à la botte d'un homme comme Augustus, ça n'a rien de rassurant. C'est pour lui qu'il était venu à Lorgol et c'est pour lui qu'il est retourné en Bellifère, pour servir l'objet de son idolâtrie terrifiante et être le plus fidèle de ses hommes, le plus vaillant de ses généraux peut-être même. Diana de Rocnoir Kate Mara Détresses Une jolie garce que la flamboyante rouquine. Du mordant plein sa langue acérée, une poigne de fer et un coup d'épée à ne jamais sous-estimer. Elle-même est venu se chercher fiancé en Bellifère, suivant la tradition familiale, et c'est dans un combat contre Octavius qu'elle trouva chaussure à son pied, si l'on peut dire. Explosifs et butés, ils ne s'entendent sur rien, finissent toujours par se battre à mains nues lorsqu'ils se voient et réussissent quand même à s'apprécier, sans trop savoir comment. Impossible de s'ennuyer, au moins. Melsant de Séverac Jake Gyllenhaal Témoins Champions de l'arène chacun de leur côté, ils ne se sont jamais rencontrés sur le sable, pourtant. Sans doute le hasard a-t-il voulu étirer l'attente, échauffant les nerfs d'un Octavius qui a toujours désiré, depuis son arrivée à Lorgol, écraser Melsant. Besoin malsain d'être le meilleur, le plus fort, le plus admiré, de surpasser ce prétentieux qui parle presque trop bien. Oh, ils ne se sont plus revus depuis la chute de Dragonvale, qu'on se le dise, mais si un jour, Melsant désire récupérer Waldemar, il devra passer par Bellifère... et par Octavius. Eram de Rocnoir Peter Mooney Sérénités Ce petit Outreventois n'impressionne pas Octavius pour deux fleurons... et pas seulement parce qu'il a surpris son regard un peu trop long sur lui. De quoi le dégoûter : ces choses-là ne se peuvent pas en Bellifère. Leur seule rencontre s'est mal déroulée, ils ne se sont plus revus, et Eram a renoncé à tenter de comprendre ce que sa sœur peut bien trouver à ce rustre de la plèbe. Vu leur allégeance respective pas étonnant qu'ils veulent toujours s'arracher la tête ! Le seul point d'accord entre les deux hommes est la haine qu'ils portent à l'empire karshien. La guerre peut parfois rassembler, non ? Marcus de Rocnoir Sean Bean Témoins Sa dragonne de fiancée ne tient pas du seigneur voisin, ça, le Belliférien l'a su en rencontrant Marcus. Une rencontre explosive, qui s'est soldée par une mémorable engueulade - le sujet d'Augustus ayant été abordé, mais qui a laissé un bon souvenir dans la mémoire d'Octavius. Il fait bien plus confiance à un homme comme Marcus, qui assume ses opinions, même contraires aux siennes et dangereuses, et est prêt à les défendre de sa lame, que quelqu'un qui se cache derrière des mensonges. Bah finalement j'ai trois comptes et non plus deux Ça manquait de gens réellement brutaux et de guerriers Et dans Spartacus (la série), Liam McIntyre donne envie de lui jeter tous nos sous-vêtements. Il est tout moche
Dernière édition par Octavius Sang-d'Argent le Jeu 21 Fév - 0:06, édité 25 fois |
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