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« Pour parler de la guerre ~ Il n'y a que des larmes. »

feat. Logan Lerman © Honey

LIAM WOLFINGER ¤ AGE : 21 ans ¤ NE(E) LE : Mars 783 ¤ A : Edenia ¤ LIEU DE RÉSIDENCE : Hacheclair ¤ NIVEAU SOCIAL : Pauvre ¤ GROUPE : Guilde des Guerriers ¤ ALLÉGEANCE : Rebelles

TEST RP (20 lignes minimum)

Je n’ai jamais compris et ne comprendrais certainement jamais ce qui m’avait amené à tant désirer la guerre. Depuis ma plus tendre enfance, j’idolâtrais les guerriers et les sanglantes batailles, considérant les combattants comme des Dieux et les champs de batailles comme des arènes offertes à la colère des divinités. Je m’étais juré qu’un jour, j’aurais ma place parmi eux. À présent, je regrettais d’avoir été aussi aveugle, je n'étais pas aussi doué que j'aimais à le prétendre … Je ne gagnerais certainement aucun honneur, aucune gloire à en être arrivé là, plutôt de la tristesse et de la douleur. J’étais furieux contre ma bêtise, même dans un moment pareil, je me sentais encore maladroit et stupide ! Étendu dans l’herbe ensanglantée, les cadavres transpercés de toute part et les guerriers chutant autour de moi, j’attendais, en souffrance, que la mort arrive. Je l’attendais, l’appelais de mes respirations saccadés, mais elle ne venait pas, m’ignorait, choisissant de prendre les autres soldats plutôt que moi. La douleur tordait mes cotes là où la lame de l'épée avait glissé, trouant douloureusement mon corps, répandant mon sang dans l'herbe verte. La souffrance était tout simplement insupportable, j'avais le sentiment d'être littéralement transpercé par des milliers d'aiguilles

Alors que les minutes s'écoulaient, toujours plus longue que les précédentes, j’ai commencé à penser que, finalement, mon heure n’était pas venue et que quelqu’un surgirait pour me sauver, panser mes blessures et me permettre de reprendre le chemin de la guerre. J'étais fou, par la douleur, naïf, par l'espérance et à l'article de la mort, par ma bêtise ! Et j'espérais encore partir, brandissant devant moi un misérable bout de ferraille en pensant que j'étais capable de me protéger seul. Les minutes semblaient s'écouler comme des heures, j'avais le sentiment que le temps ralentissaient, mais également que les guerriers chutaient moins fréquemment que quelques instants plus tôt. Je ne parvenais pas à me redresser pour voir ce qu'il se passait, l'action n'était qu'une idée qui traversait mon esprit, la force n'était plus mienne, j'étais devenu incapable d'accomplir des taches simples. Je serrais la mâchoire et me tordais de douleur dans l'herbe. Enfin ! Je me sentais partir, bientôt, tout cela serait finis ... C'était une sensation étrange, un engourdissement progressif des extrémités, un picotement gênant sur une grande partie du corps, une sensation de relâchement alors que la vie me quittait lentement. J'avais de moins en moins mal, et ainsi, il me vint à l'esprit qu'il y avait au moins quelque chose d'agréable là-dedans. Je percevais mon cœur battre dans le silence du champ de bataille ... Je regrettais de ne pas avoir été quelqu'un de meilleur, je m'en voulais d'avoir abandonné ma mère dans ma jeunesse, la laissant, avec mes sœurs, se débrouiller seule. Et si j'avais eu la possibilité de m'excuser auprès d'elle, si j'avais été capable de me lever et d'aller la rejoindre en cet instant, je n'aurais pas hésité une seule seconde.

Dans un souffle rauque, j'exhalais ma dernière respiration.

CARACTERE (8 lignes minimum)

Les gens me trouvaient bizarre, paradoxal, étrange … Peut-être que je l’étais, en fin de compte. Je pouvais tout être.

Gentil, généreux, extraverti ; J’étais quelqu’un de très ouvert d’esprit, à la générosité sans borne, modeste et loyal envers les bonnes causes. Mais et je détestais cela, j’avais une sale tendance à être trop sensible et à m’accrocher aux êtres vivants avec bien trop d’ardeur. Je refusais de l’admettre, mais cela avait bien souvent contribué à mon malheur. C’est certainement pour cela que je me suis tourné vers la guerre et les champs de batailles, où s’attacher à une personne n’est pas envisageable, pour remédier à ce handicap.

Triste, solitaire, introverti ; Comme tout le monde, il m’arrivait d’avoir des coups de blues, comme on dit. J’étais capable de me renfermer totalement sur moi-même, sans pour autant être obtus, ou agressif. L’absence de sourire, de gaité et mon silence auraient pu vous pesez ou vous mettre mal à l’aise en pareil instant, ce qui vous aurez poussé à quitter les lieux au plus vite.

Joyeux, maladroit, drôle ; La joie était plus souvent au rendez-vous que mes nombreuses autres facettes. J’étais d’ailleurs capable d’illuminer la journée d’une personne, ce qui aurait poussé n’importe qui à penser que mon sourire lui était uniquement destiné. Mon bonheur était contagieux, personne n’était en mesure d’y échapper, vous aviez le sentiment d’avoir accompli une bonne action si l’on me redonnait le sourire. J’étais cependant très maladroit dans ces moments là et me confier une épée était très risqué, voir dangereux.

Arrogant, cynique, asocial ; Je n’étais pas toujours de la meilleure compagnie, je devais l’avouer. Il m’arrivait de me lever du mauvais pied, me promettant parfois d’incendier la première personne qui passerait sous mes mains, peu importe le prétexte, me créant plus d’ennemis dans ces moment là. J’étais ainsi capable de me montrer parfois hautain, sarcastique, cruel et voir le visage de mes interlocuteurs virer au rouge à mesure que j’envoyais mes piques dérangeantes était, pour moi, magnifique.

On avait longtemps dis de moi que j'’étais également quelqu’un de très communicatif, pas forcément physiquement, car mes yeux étaient à même de faire comprendre ce que je voulais à n’importe qui. J’avais eu également quelques grandes passions et mise à part les horreurs de la guerre, j'aimais aussi la musique. J'avais toujours débordé d’imagination et de créativité ! Un moyen de m’évader, d’oublier le monde autour de moi et qui était parfois nécessaire, pour me calmer et redevenir le garçon gentil et attachant que j'étais d'ordinaire.

HISTOIRE (10 lignes minimum)

Liam n'a pas acquis son caractère si lunatique pour rien. Assis sur la maigre couverture qui lui servait de lit, le jeune garçon écrivait avec ardeur dans un petit carnet, décrivant des sentiments qu'il avait été seul à éprouver.

5 Février 792

Cher journal,

Aujourd'hui, j'ai fais quelque chose de grave. C'était vraiment horrible ! Je ne crois pas que quelqu'un s'en rendra compte, j'ai été discret et j'ai caché tout ce qui pouvait trainer dans les parages et qui était susceptible de me trahir. Journal, j'ai si peur que Maman le remarque, si elle découvre ce que j'ai fais, je serais puni et pas qu'un peu, elle ne se contentera pas de me gifler cette fois-ci. Mais à toi, je peux tout dire ! Et il faut que je te raconte, sinon je ne sais pas comment je vais tenir, je vais finir par craquer. C'était tôt ce matin, je suis parti jouer dans la forêt, comme j'en ai l'habitude et je me suis aventuré plus loin que d'ordinaire, plus loin que la rivière, tu te rends compte ? J'ai réussi à la traverser.
Jacob était là et comme moi, il se baladait, ayant bravé l'interdit. Il m'a bientôt remarqué, alors que je me suis montre discret et il a rit, d'un rire à vous glacer le sang, puis il m'a couru après ! J'ai lutté tant que je pouvais pour lui échapper, mais je n'ai pas eu le choix, la fatigue me gagnait. Alors, j'ai dû me retourner contre lui. J'ai saisis la première arme qui me passait sous la main, la plus dangereuse, celle dont je n'avais pas le droit de me servir. Bien sûr, j'avais eu beaucoup de possibilités ! Mais la plus sûre restait le petit couteau qui ne me quittait jamais, celui qui appartenait à mon père, un symbole du passé. J'ai pivoté, j'ai brandis l'arme et de lui-même, comme s'il désirait ce qui allait se produire, le garçon à foncer sur moi. Je crois bien qu'il a gémis avant de s'écrouler par terre, il m'a alors supplié de l'aider, ce qu'il n'avait jamais fais, alors que son sang se répandait sur le sol terreux, mais je ne savais pas quoi faire. Après de longues minutes, il a enfin cessé de gesticuler, j'ai pris le temps de recouvrir son corps avec des feuilles mortes et je suis parti, le cœur lourd, les larmes roulant sur mes joues. Maintenant, je regrette tant de l'avoir laissé seul, dans la forêt ! J'aurais dû faire quelque chose, mais quoi ? Je l'ignorais. J'ai donc lavé le ... son sang sur mes vêtements dans la rivière et je suis retourné à la maison. Maman n'a rien remarqué, personne ne remarquera jamais rien, je le sais !

Je ne franchirais jamais plus la rivière.

LIENS (4 lignes minimum par lien)

Reformule ici les liens de ta fiche du point de vue de ton personnage.

EN VRAI

¤ PRENOM ; PSEUDO : Top secret ! ; Honey ¤ AGE : 16 ans et toutes mes dents. ¤ OU AS-TU CONNU DRAGONVALE ? J'ai dû soudoyé l'une des administratrices pour obtenir l'adresse, mais chut ! Je ne vous ai rien dis. ¤ TON AVIS ? DES SUGGESTIONS ? C'est un très beau forum , avec un bon contexte qui est fort bien écrit, une histoire originale qui mérite le détour ! ¤ AUTRE(S) COMPTE(S) : Rien à signaler pour le moment. De toute manière, je n'en aurais certainement pas, car depuis quelques années, je suis incapable de maintenir en vie deux comptes sur un même forum, allez savoir pourquoi ! ¤ LE MOT DE LA FIN : J'éditerais si j'ai quelque chose à ajouter. Mais j'avais une question, on est pas censé mettre une photo de soi juste à droite ?

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