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 Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..."

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MessageSujet: Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..."   Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..." I_icon_minitimeMer 23 Mar - 2:17


Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..." Vannesssign
© Kurika

« En voyageant, j'ai compris que l'homme libre est nomade. Je choisis donc la liberté avant qu'il ne soit trop tard. »


feat. Vanness Wu
Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..." Vanness-ava-1-26e9722
© Kurika
Galaad Al'Cid

    ¤ AGE : 36 ans
    ¤ NE(E) LE : En mai 766, la date exacte est perdue dans le sable du désert
    ¤ A : Erebor
    ¤ LIEU DE RÉSIDENCE : Galaad est nomade, il n'a pas de résidence mais plutôt un campement qui déménage souvent. Le nom donné à ce campement par ceux qui le font vivre est Luveriya.
    ¤ NIVEAU SOCIAL : Bas sur le principe, mais il a de très nombreuses ressources.
    ¤ GROUPE : Guilde des voleurs
    ¤ ALLÉGEANCE : Aux hommes qu'il commande dans le désert.



TEST RP (20 lignes minimum)



Le désert…. Et seul le vent pour égayer les dunes. Un royaume brûlant quand veillait le soleil et gelé quand tombait la nuit. Inhospitalier, dangereux et craint… S’étalant sur plus de surface que des villes entières et gagnant chaque année du terrain, innarrêtable. On n’avait pas d’emprise sur le sable. Il glissait entre les doigts qui tentaient de s’en saisir et ceux qui le mettait en bouteille ne pouvait que le contempler alors qu’il s’égrenait paresseusement, distillant ses grains jusqu’au dernier, donnant au temps un visage.

On n’était pas maître d’un tel royaume. Ceux qui y vivaient, en peuples nomades, étaient ceux qui l’avaient apprivoisé au mieux. Galaad faisait partit de ces fils du désert. Il avait parfois combattu sur ces dunes dans ses jeunes années, alors qu’il n’était encore qu’un homme avili à une cause plus grande que lui. Si le sang qu’il avait fait verser avait pu se répandre, telle une mer rouge, sur cette étendue dorée, bon nombre des grains qu’il foule jour après jour serait souillé de ce sang…

Homme devenu assassin. Assassin devenu exilé. Exilé devenu nomade. Nomade devenu voleur. Voleur devenu légende du désert. Légende devenu libre. Galaad aimait à se voir comme ce vent qui soufflait en surface du sable chaud, le faisant avancer, inexorablement. Libre d’aller là où il le désirait, de peupler ce territoire que personne ne réclamait. Et il ne le domptait pas. Il communiait avec lui, prenant ce qu’il pouvait et donnant en échange. On était libre que si on savait exercer une discipline sur soi même. Ne pas écraser les autres. C’était la leçon de toute une vie.

La nuit était presque tombée… Silencieuse. Galaad était partit à l’Ouest du campement, marchant tout en observant autours de lui. Réfléchit, silencieux, son regard, seule partie de son visage qui n’était pas camouflé pour le tissu était celui d’un homme intelligent qui ne s’arrêtait peut être jamais d’être sur ses gardes. A ses côtés, Efenri, le lynx du désert qu’il avait… « Recueillit » ? Il lui arrivait parfois de penser que sa brave Efenri voyait les choses dans l’autre sens.

Il l’avait trouvé, agonisante alors qu’elle ne portait encore que son duvet de nouvelle-née. Galaad était de ceux qui ne laissent pas les bêtes souffrir. Qui les abattait pour leur éviter les plus grands maux. Mais il avait vu quelque chose dans ce regard félin… Dans ces pupilles fendues… Alors il avait nourrit la bête et élevé l’animal comme il le pouvait compte tenu de sa méconnaissance des instincts de ces animaux. Une chèvre l’avait allaité les premières semaines. Ca l’avait rendu malade… Galaad avait rapidement dû lui apprendre à se nourrir autrement. Il lui avait apprit la chasse, s’aidant des instincts de chasseur de la bête… Et quand elle avait été assez solide, plusieurs mois plus tard, il lui avait rendu sa liberté. C’était son tribu au désert…

Mais Efenri n’était pas partit. Trop fidèle et pourtant si indépendante. Elle agissait parfois comme si sa présence était une grâce qu’elle lui faisait. Et Galaad ne l’avait pas empêché. Il ne la retenait pas non plus et si l’animal disparaissait des heures durant, il ne s’en inquiétait pas. Efenri et lui vivaient une entente d’égal à égal… Pas de maître à serviteur. Elle était toujours un peu sauvage, n’appréciant jamais qu’on l’approche. Si elle était d’humeur joueuse ou sociable, c’était elle qui faisait le premier pas, trop fière sans doute pour agir autrement.

De sa gueule féline, Efenri pousse un petit cri enroué et Galaad laisse sa main retomber le long de son corps pour caresser le dessus de sa tête. Elle était un peu toquée cette bestiole. Normal… Elevée par un être humain, nourrit par une chèvre, vivant dans une communauté nomade…

Galaad finit par s’accroupir devant le lynx, saisissant sa gueule dans une main tandis qu’il fixe les pupilles fendues. Elle essai de se dégager un instant, pinaillant, mais il ne la relâche pas, ferme. Et l’animal cesse de bouger, lui rendant alors son regard.

Il y avait toujours là ce quelque chose qui avait retenu sa lame cinq ans plus tôt. Cette étrange impression qu’Efenri était son totem dans ce grand désert en quelque sorte. Le chasseur solitaire devenu le compagnon d’infortune… Et c’était comme si Efenri le voyait aussi en regardant dans ses yeux noirs…

Le nomade relâche l’animal qui vient donner un coup de dent sans force dans ses mains bandées. Il était temps de rentrer… Le campement devait attendre après lui…



CARACTERE (8 lignes minimum)


Caractère :

Solitaire mais paternel : Elevé comme un assassin, Galaad à tendance à préférer agir seul. D’ailleurs, ses premiers exploits furent ainsi accomplis en solitaire. Ce n’est qu’avec le temps qu’il réussi finalement à se rapprocher des Hommes du campement de Luveriya. Si aujourd’hui encore, il a tendance à s’isoler, il ne rechigne pas non plus à profiter de la compagnie de la meute du sable. Il se considère comme un protecteur vis-à-vis d’eux et le nombre de ses propres méfais diminue. En contre partit, il élabore des plans sophistiqué et suit parfois de jeunes loups pour s’assurer qu’en cas de soucis, il ne leur arrive pas malheur.

Saint d’esprit : Bien qu’il n’ouvre pas forcément beaucoup la bouche et qu’il ne paie pas forcément de mine intellectuellement parlant, Galaad à profité d’une éducation généreuse et pour ainsi dire complète quoi qu’orienté grandement sur des notions qui lui seraient utiles dans son domaine : l’assassina. Loin d’être un puits de science, Galaad jouit d’une très bonne capacité d’analyse et d’un grand sens tactique, ce qui fait de lui un homme charismatique pour mener la meute.

Saint de corps : Le sien, de corps, est entretenu. Bien que la plus part des voleurs compte uniquement sur leur rapidité, leur souplesse et leur discrétion, Galaad à du compter, il y a de cela presque dix ans maintenant, sur les capacités de son corps pour se battre. Il n’est pas le meilleur voleur de son groupe, loin s’en faut, mais il est celui qui a le plus haut instinct de survie et celui capable de s’en tirer le mieux au cas où il se ferait prendre. Plus d’une fois, il a été secourir des membres du groupe qui avaient manqué de vigilance ou qui s’étaient fait prendre. Il entretient sa forme physique et n’hésite pas à aller gagner un peu d’argent en combattant en ville, dans des arènes clandestines dans les bas fonds.

Calme, patient : Galaad profite d’une tempérance et d’une maîtrise de lui-même chèrement acquise. Il se souvient parfaitement de l’époque à laquelle il fut craint et dans laquelle la bête en lui avait prit le dessus. Aujourd’hui, il fait au mieux pour la garder tapis au fond de son âme et les seules occasions pour cette dernière de sortir, c’est lorsqu’il se bat pour la survie de la meute ou d’un de ses membres.

Mystérieux : Personne ne sait qui il fut avant d’être Galaad Al’Cid du Désert. On raconte beaucoup de choses à son sujet. Les rumeurs les plus folles courre sur lui et il n’en dément ni n’en confirme aucune. Son passé d’assassin est derrière lui mais encore trop proche. Assez pour qu’il le voit en regardant par-dessus son épaule. Il n’est pas fier et ne désire pas encore s’entretenir sur le sujet.

Pour finir, il faudra reconnaître à Galaad qu’il ne pense pas qu’il faut toujours empêcher les enfants de tomber. Il leur évitera toujours le pire mais les laissera dans leur problème juste le temps aux jeunes loups de comprendre la leçon. Il ne pense pas devoir les tenir par la main et en fait, il n’aime pas vraiment ça. Galaad aimerait les rendre tous autonome très rapidement, ce qui peut parfois lui donner des airs un peu buté ou bourru. Il lui arrive même de donner quelques taloches à ceux qui ne comprennent pas autrement… Trahir le clan, c’est aussi accepter de se retrouver un jour face à Galaad et si ce dernier peut accepter une trahison envers lui, il ne la tolère pas envers la meute du sable. Ceux qui mettent Luveriya en danger risquent fort de passer sous ses poings, si ce n’est ses lames. Il discute peu voir pas avec les traîtres.



HISTOIRE (10 lignes minimum)


Mai de l’an 766, Erebor.

Il cri. C’est un garçon. L’air pénètre ses poumons, ouvrant grand les alvéoles de ce petit corps pour la première fois. L’air est épais, douloureux… Il pleure. C’est sa première bouffée d’oxygène hors des entrailles de sa mère et ses larmes de douleur de naître enfin se mêlent aux larmes de bonheur de sa mère. L’accouchement ne fut pas sans efforts c’est vrai, et il fallu à cette femme près de huit heure de travail pour mettre le bébé au monde. Mais il ne fut pas dangereux pour sa santé. Tout au plus en sortit elle fatiguée. Harassé même. Mais heureuse.

D’un mariage d’amour était né ce petit être fragile aux yeux noirs. Un bébé qu’on avait posé sur sa poitrine en sueur et qu’elle avait regardé avec cette tendresse infinie que seule une mère peut porter à son fils. Elle lui avait donné un nom ce matin là, dans la langue qui lui était propre, avec cet accent suave qu’on utilisait dans ces contrées ci. Un nom qui s’est un jour perdu entre les dunes.

Les pleurs cessent finalement quand l’enfant, à bout de force, n’a plus l’énergie de crier à plein poumons. Un homme se penche, dépose un baiser sur le front de sa femme, la remercie, salue son courage dans cette épreuve que seule une femme avait les épaules de supporter. Il n’y avait rien de plus beau et de plus terrible que de voir une femme donner la vie. Car elle le faisait pour un petit être si fragile, si dépendant, voué à un jour vieillir et mourir… Qu’on eu facilement cru cet acte d’amour rempli de cruauté et de perversité.

S’il avait su quel destin serait le sien, peut être cet enfant aurait il pleuré plus longtemps…


Janvier de l’an 768, sur la route de Souffleciel.

Ils n’étaient même pas encore sortit du désert lorsqu’ils avaient été attaqué. La caravane, longue de 12 chameaux et d’une trentaine d’âmes n’avait pour ainsi dire rien vu venir. Les bédouins qui la composaient n’étaient que des marchands et des hommes en quête de rêve qui partaient rejoindre le duché d’Outrevent. Ils espéraient en des temps plus clément alors que chaque région de ce monde tentait de garder un équilibre précaire entre les époques glorieuses et le chaos.

L’attaque avait été éclaire. Le feu avait dévasté la plus part des carrioles. Le sang avait rapidement noirci sous le soleil de plomb, gonflant le sable brûlant. Proches d’une ville d’une centaine de kilomètres seulement, les corps de quelques hommes avaient attiré là des charognards qui volaient en cercle, morbides, pas très haut au dessus de ce champ de mort. Les vivres avaient été volés, le peu d’or possédé dépouillé et des femmes, il n’y avait plus aucune trace. S’étaient elles enfuient ? Avaient-elles été capturées ?

On ne trouvait que certains des hommes du convoi, morts ou agonisants, leurs yeux voilés se brûlant une rétine devenue opaque sous la morsure du soleil. Les enfants capables de marcher avaient été emmené, nul ne sait où. Seuls survivant du massacre, trois bambins âgés de quelques mois à trois ans. Le plus jeune était mort de déshydratation durant les presque huit heures où aucune âme n’avait approché la caravane…

C’était seulement au début de la nuit, quand la chaleur mordante avait commencé à laisser sa place à une tiédeur presque fraîche que, des dunes, avaient émergés des hommes. Ils avaient fouillé les décombres, soldats arrivés après la bataille et avaient trouvé les deux enfants rescapés, presque mort sous la chaleur, la soif et la faim, blottis sous une toile sèche de ce qui fut leur abris de voyage.

Ils avaient quitté les lieux du carnage à dos de cheval plutôt que de chameau. Les pupilles noirs de Galaad, quoi que voilées par les souffrances d’un tel périple, s’étaient posées une dernière fois sur le paysage dévasté. A peine plus de deux ans, peut être… Mais marqué à tout jamais par la cruauté qui c’était faite homme…

Octobre 776, Souffleciel.

Galaad. C’est ainsi qu’il avait été renommé. En réalité, comme tous les enfants présents dans ce qui ressemblait à s’y méprendre à un orphelinat, il s’était un jour renommé tout seul. Il n’avait pas de nom de famille mais n’en avait pas besoin, trop certain qu’il était, comme tous les enfants, que seul son prénom suffirait à le faire connaître !

Il faisait vraiment froid, cette année là et la neige était précoce. La nourriture venait parfois à manquer sur la table mais les femmes qui s’occupaient du petit refuge étaient bonnes et faisaient au mieux avec leurs maigres moyens. Les lits, trop peu nombreux, étaient partagés avec les couvertures et les cuves d’eau chauffées sur le feu. Les enfants étaient vifs pour la plus part, joueurs pour ne pas dire bagarreurs et s’il leur manquait l’amour d’une mère et d’un père, ils n’en semblaient pas moins équilibré pour la majeur partie.

D’aussi loin qu’il se souvienne, Galaad revoit le refuge des « enfants du peuple » comme il avait été baptisé, comme une époque dorée et un havre de paix dans sa vie ensuite plus tumultueuse. La vie là bas aurait pu y être paisible. A douze ans il aurait apprit le travail de la ferme, à quinze il aurait pu réclamer un petit lopin de terre… A dix-sept il se serait marié et à vingt, il aurait déjà pu être père. Mais les ravages d’un monde prêt du chaos ne permirent aucune de ces ambitions peu regardantes.

Galaad fit partit de ces rafles d’enfants qui ravagèrent certains refuges comme celui des « enfants du peuple ». Tous les garçons de plus de dix ans furent emmenés. Quelques filles parmi les plus robustes également. Ces dernières, ainsi que les garçons de constitutions plus faibles, furent envoyé dans de petits bourgs de construction d’armes et d’armures. On avait besoin de ces petits doigts tout fins et habiles pour tisser ou fignoler les plumes des flèches et des carreaux.

Galaad lui, comme tous les garçons robustes et turbulent fut envoyé dans ce qui ressemblait assez à une école militaire. Le front manquait d’hommes et comme il était souvent difficile d’en trouver à présent, on les prenait avant même qu’ils en soient ! Dans ces écoles, on leur apprenait plutôt à tenir une épée que la lecture ou les mathématiques. On leur mettait dans la tête des idées sauvages qui ne leur appartenaient pas, des idéaux auxquels ils n’entendaient rien et des ambitions qu’ils n’auraient probablement jamais eu seuls.

Il n’en fut jamais un pour se rebeller. Ils n’étaient pas mal traités, étaient même considéré comme le futur par ceux qui leur enseignait l’art de la guerre. Ils devaient gonfler les rangs de tel ou tel duché, mercenaires sans roi et sans patrie. Et on payait à bon prix ceux qui les envoyaient ainsi. On aurait pu croire à une guilde s’il y avait eu une notion filiale ou au moins, l’attachement à leurs paires. Mais cette communauté de jeunes loups n’était qu’une ferme. Un élevage de petits soldats à qui on aurait vendu n’importe quelle cause pour peu qu’on leur promette la gloire.

Galaad n’était, à l’époque, ni pire ni meilleur que les autres. Il ne voyait pas le mal en une telle organisation. Il faisait trois repas par jour, portait des vêtements propres presque tous les jours… Bien sûr la discipline était plus stricte mais chaque enfant avait son propre lit et sa propre ration d’eau chaude. C’était un luxe.

Il avait douze ans lorsqu’il le vit pour la première fois. Un homme entre deux âges qui disait s’appeler Beauvert Al’Cid. Le prénom semblait presque aristocratique comparativement à ce nom de famille qui sonnait plutôt bohémien. Quoi qu’il en soit, l’homme était venu régulièrement, pendant tout un an, observant les enfants qui s’entraînaient et se battaient. Dans les rangs de la marmaille, on disait que c’était un homme très important vu comme il était craint de l’homme qui dirigeait tout ici. Et de fait, chacun d’entre eux mettait le double d’ardeur quand il les regardait. Tous voulait être choisit par cet homme là sans même savoir s’il était vraiment là pour ça.

Il faut croire que oui. Il y eu un jour un entretient entre Beauvert et une dizaine d’enfants parmi lesquels Galaad. Beauvert avait posé des questions qui semblaient anodines et même plutôt ennuyantes pour les enfants qu’ils étaient. Il ne semblait jamais y avoir de réponses bonnes ou mauvaises et ça en avait déstabilisé nombre d’entre eux. Galaad n’avait pas fait exception d’ailleurs, tâchant au mieux de répondre même s’il était un enfant d’ordinaire plutôt dissipé.

Qu’est ce qui dans le contenu de ses réponses avait convaincu Beauvert… ? C’est une question qui demeurera à tout jamais sans réponse. Tout ce qu’il est permit de savoir sur cet étrange choix, c’est qu’un beau matin, on l’avait réveillé plus tôt que tous les autres et qu’on l’avait exhorté à s’habiller et à prendre quelques affaires. La nuit suivante, après un long voyage qu’il avait fait à pied tandis que Beauvert était à cheval, il avait dormit dans un endroit plus accueillant. Sa propre chambre, avec un feu, des vêtements qui n’étaient plus de seconde main…

Pendant les quelques années qui suivirent, Beauvert lui fit profiter d’un entraînement de pointe aussi difficile qu’efficace. Il lui enseignait la discipline de soit, l’habileté, le silence, le respect… Et les choses ne se firent pas toujours de façon fort agréable. Certaines leçons ne rentrent qu’à coup de ceinture mais qu’on ne se méprenne pas… Une réelle relation filiale était tissée entre Beauvert et lui. Assez pour qu’un jour, ce dernier ne lui donne son nom. Galaad Al’Cid était né. Adolescent déjà bien entraîné aux rudiments des combats singuliers

En plus de cet entraînement difficile et quotidien, Beauvert lui apprit la lecture et les mathématiques. La géographie fit également partie de son apprentissage et d’autres matières se greffèrent par-dessus. Ainsi, la botanique lui fut enseignée. Reconnaître une plante à sa vue, son odeur, son toucher ou bien son goût. Connaître ses propriétés, les différents mélanges et la façon de les neutraliser.

L’art de la guerre enseigné par Beauvert était très différent de ce qu’on lui avait enseigné jusque là. Le sien était plus personnel, plus discret. Plus efficace aussi. Il ne considérait pas l’homme comme celui qui tenait l’arme, mais comme un outil… Une extension de son arme. Et même sans, il se devait d’être efficace.

Assassin.

C’était bien là ce qu’était Beauvert. Et à l’aube de la vieillesse, il avait décidé d’enseigner à un autre ce qu’il savait. Il avait épluché les « dossiers » de centaines d’enfants pour un trouver un à qui il passerait le flambeau. Comment savoir ce qui l’avait retenu au moment de choisir Galaad ? Toujours est-il que l’enfant grandit en étant attentif à cet enseignement riche, difficile et mortel…

Galaad ne sut jamais vraiment qui était l’homme auquel Beauvert avait prêté serment. Ce dernier, lorsqu’il était le plus bavard, lui affirmait qu’il était le bâtard dans l’ombre. Celui qui exécute avec ferveur quoi que bêtise. Il lui disait qu’un jour, il lui transmettrait le nom de cet homme qui n’était pas bon mais à qui il avait prêté allégeance afin que Galaad lui soit aussi fidèle. Et quand l’adolescent lui demandait pourquoi il fallait obéir et jurer fidélité à un homme qu’on pouvait aller jusqu’à haïr, Beauvert lui répondait simplement qu’il fallait ainsi prêter son bras à celui qui savait quoi en faire jusqu’à ce que soit même, on soit capable de le guider.

Galaad ne sut jamais pourquoi Beauvert n’eu jamais trouvé cette force et cette vision. Jusqu’à la fin, son mentor fut sous la coupe d’un homme sans nom et sans visage pour lui. Un homme pour lequel il avait accomplit ses premières missions, pour qui il avait fait couler le sang sans avoir même jamais entendu le son de sa voix. Parce que la fidélité n’avait ni oreille, ni yeux, ni cœur d’après Beauvert. User de l’un des trois, se serait risquer de se tromper, de douter.

Jusqu’à l’âge de vingt cinq ans, Galaad fut ainsi l’apprenti de l’assassin. Un apprenti qui cependant, avait déjà fait couler le sang à de très nombreuses reprises. On l’avait surnommé, dans les villes, « Elesha ». Un terme perdu pour signifier « la nuit sans rêve ». Ainsi, à cet âge là, il avait déjà une longue, très longue liste de contrat à son actif. Il n’en était pas moins humain mais avait apprit à dissocier le « travail » de la vie.

C’est à l’aube de ses vingt-six ans que tout changea…

Les querelles intestines et les frontières floues étaient grondantes. Le climat chaotique installé était propice à l’ère des assassins mais une chasse leur était faite. Beauvert avait été piégé par l’homme à qui il avait voué une telle fidélité et bien qu’il eut éloigné Galaad, sentant le mal gronder autours de lui, il resta jusqu’au dernier moment, attendant ceux qui viendraient le chercher. En homme fier, attaché à cette fidélité aveugle…

Il avait été pendu haut et court. Son corps s’était balancé au bout d’une corde trois jours durant et quand sa nuque, trop faible, avait cédé, laissant sa tête se décrocher de son buste, on l’avait enfin enterré, sans discours et sans honneur.

Galaad ne sut jamais le nom de cette épée de Damoclès brandit au dessus de la tête de son maître. Récupérant quelques contrats là où il pouvait les trouver, Elasha ne devint plus l’assassin d’un seul homme mais du plus offrant, vendant sa technique de mort. A vingt huit ans, son surnom était associé à celui du croque mitaine. Il venait pour tuer les enfants qui ne dormaient pas ou ne finissaient pas leur repas. Il était l’ombre que certains craignaient et cherchaient par-dessus leur épaule. L’homme qui n’en était pas un.

Et un jour… Galaad comprit enfin pourquoi Beauvert avait préféré vouer sa fidélité à un seul homme, sans condition et sans autre récompense qu’un peu de pain sur sa table et une demeure chaude.

Il s’était cru libre, délivrer de cette allégeance forcée. Il croyait diriger lui-même son bras. Mais il était l’esclave de sa condition d’assassin. Craint, redouté… Sa réputation tuait ses adversaires avant ses lames. Beauvert avait raison… Il connaissait la bête tapis en lui et avait apprit à la dompter, refusant de la laisser sortir jusqu’à la dernière minute.

Cette prise de conscience sonna le glas d’Elasha. Il disparu ainsi du jour au lendemain et on le prédit mort, emporté par la dernière épidémie qui avait sévit.

La vérité était toute autre et Galaad était repartit pour le duché d’Erebor. Mais il n’y avait pas de vie pour lui là bas. La réhabilitation était trop ardue pour cet homme solitaire mais de tête. C’est ainsi qu’il avait migré pour rejoindre un campement de nomade composé de petits voleurs sans ambition qui tiraient leur affiliation à la guilde des voleurs. Galaad y trouva une nouvelle famille qui ne lui demanda jamais rien et à laquelle il s’intégra.

Bientôt, son charisme d’homme de combat lui conféra un statut particulier. Certains le disait soldat enfuit, d’autres héros de guerre déchus. Ce mystère autours de sa personne commença à faire naître sa légende auprès des hommes du sable. Une organisation se forma autours de lui. Leur meute de voleur devint plus disciplinée, plus soudée, plus aguerrit. Bientôt, la « meute du sable » comme Galaad se plaisait à l’appeler devint une vraie bretelle rattachée à Arven. Chacun y choisissait son chef et bon nombre d’entre eux le choisirent lui.

Galaad devint un chef pour un peuple nomade et libre. Libre mais fidèle, car les électrons trop libres étaient à craindre et à remettre dans le droit chemin avant que la bête en eux ne sorte et ne les dévore de l’intérieur comme ça avait si bien faillit lui arriver. Quiconque voulait asile pouvait se poser près d’une de leurs oasis mais pour entrer dans le campement, il fallait accepter une certaine allégeance et hiérarchie.

A Luveriya demeuraient ceux qui n’avaient pas de passé, pas d’avenir.

A Luveriya demeuraient ceux ivre de sentir le vent dans leurs voiles.

A Luveriya demeuraient les fils du sable, de la liberté.

Et dans le cœur de chaque homme sous ce soleil de plomb demeurait Luveriya.




LIENS (4 lignes minimum par lien)


Nanashi :

Je l’ai recueilli il y a quatre ans, alors qu’il était à deux doigts de la mort, étendu en plein désert. Je ne sais pas ce qui a guidé ses pas chez nous, mais il fait partit de notre famille même si l’adaptation fut parfois difficile. Il me fait penser à Efenri parfois… Il voudrait de l’attention et dès qu’on la lui donne, il devient grognon. C’est un petit animal sauvage de notre désert. Un peu trop sauvage… Je m’inquiète de savoir ce qu’il pourrait advenir de lui, seul et loin de Luveriya.


EN VRAI


¤ PRENOM ; PSEUDO : Freya/Pandaa
¤ AGE : 25
¤ OU AS-TU CONNU DRAGONVALE ? Lolo et Kurika sur msn
¤ TON AVIS ? DES SUGGESTIONS ? A venir
¤ AUTRE(S) COMPTE(S) : //
¤ LE MOT DE LA FIN : RAMPE (ça faisait longtemps)
Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..." Vanness-ava-3-26e994a
© Kurika




Dernière édition par Galaad Al'Cid le Jeu 24 Mar - 4:34, édité 15 fois
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MessageSujet: Re: Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..."   Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..." I_icon_minitimeMer 23 Mar - 2:19

OMYFREAKINGGOD

Mon Galaad ! *s'incline* Bienvenue parmi nous, cher chef Robin des Déserts *ZBAM* Je veux des RPs à Ereboooooor avant qu'on soit sur notre départ =D ♥
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MessageSujet: Re: Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..."   Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..." I_icon_minitimeMer 23 Mar - 2:22

Minute papillon !

Je réfléchis à l'ensemble du personnage là... Je remplirais bien dans la journée... x)
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MessageSujet: Re: Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..."   Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..." I_icon_minitimeMer 23 Mar - 2:28

Ben j'ai pas fini ma fiche de toute façon alors tu ferais du RP tout seul x)
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MessageSujet: Re: Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..."   Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..." I_icon_minitimeMer 23 Mar - 3:16

Bienvenue et bon courage pour ta fichounette :copain:
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MessageSujet: Re: Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..."   Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..." I_icon_minitimeMer 23 Mar - 3:39

Bienvenue et bon courage pour ta fiche ! :pompom:
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MessageSujet: Re: Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..."   Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..." I_icon_minitimeMer 23 Mar - 4:02

Merci =)

Message pour signaler que mon test RP est fait, merci.
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MessageSujet: Re: Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..."   Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..." I_icon_minitimeMer 23 Mar - 4:52

Test validé tu peux faire la suite Wink
J'enverrai le tout par MP à Svanhilde pour avoir son avis, mais bon elle te fait confiance (et à moi aussi xD) What a Face
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MessageSujet: Re: Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..."   Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..." I_icon_minitimeMer 23 Mar - 8:15

Bienvenue :copain:
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MessageSujet: Re: Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..."   Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..." I_icon_minitimeMer 23 Mar - 9:18

Merci à vous tous. Histoire terminée, je ferais probablement le caractère dans la soirée Wink
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MessageSujet: Re: Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..."   Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..." I_icon_minitimeJeu 24 Mar - 4:34

Ma fiche est terminée =)

Enjoy
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MessageSujet: Re: Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..."   Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..." I_icon_minitimeJeu 24 Mar - 7:22

Moi, j'aime. C'est exactement le Galaad que j'avais en tête ♥ Je savais bien qu'il n'y avait qu'une personne pour le jouer !
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MessageSujet: Re: Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..."   Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..." I_icon_minitimeJeu 24 Mar - 8:05

J'ai adoré ta fiche !

Je réclame un RP ! :vv:
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MessageSujet: Re: Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..."   Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..." I_icon_minitimeJeu 24 Mar - 8:25

Merci Nanashi, ça me fait plaisir qu'il soit comme tu l'avais imaginé^^

Merci Aileen, on voit ça quand je serais validée déjà x)

Par contre je prendrais que 2 RPs en même temps (et je serais pas forcément super rapide pour répondre...) et y en a déjà un de prit par Nanashi x)
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MessageSujet: Re: Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..."   Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..." I_icon_minitimeJeu 24 Mar - 8:38

Bon ben tu es validée :saut:

J'ai beaucoup aimé la fiche, Svanhilde est d'accord pour te valider ! C'est parfait, j'aime beaucoup le caractère.
Je t'invite à faire ta fiche de rp (ne t'inquiète pas pour le rp moi aussi j'en prends que 2), ta fiche de liens ... Voilà ^^

Moi je vais rajouter cet avatar au bottin :war:
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MessageSujet: Re: Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..."   Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..." I_icon_minitimeJeu 24 Mar - 8:41

Merci beaucoup, je fais ça dans la soirée probablement ou d'ici demain =)
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La Sombre Mère
La Sombre Mère
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MessageSujet: Re: Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..."   Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..." I_icon_minitimeVen 25 Mar - 12:05

Bravo ma Freya :roooh:
C'est tellement WAOUUUH ce que tu as fait pour ce personnage. *_*
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MessageSujet: Re: Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..."   Galaad Al'Cid *Parce qu'au désert, tout n'est pas que sable..." I_icon_minitimeVen 25 Mar - 12:17

Merci ♥♥♥
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